OVNI et Extraterrestre

Les Observations d'ovnis en France

15 Décembre 2018 , Rédigé par Ovni France Publié dans #Dossier Ovni, #ovni

Les Observations d'ovnis en France

Les manifestations d'ovnis ne sont pas forcément plus nombreuses en France que dans d'autres pays. Cependant, la densité de population, le développement des moyens de communication font que les témoignages sont souvent répertoriés, diffusés et pris au sérieux par la gendarmerie et les enquêteurs privés. Dans les archives très officielles de l'agence spatiale française, il existe des cas extraordinaires qui n'ont toujours pas pu être expliqués par des causes "conventionnelles". A certaines périodes, les apparitions ovnis étaient fréquentes (vagues), la presse en faisait régulièrement échos. Les anciennes générations peuvent vous le dire: les observations d'aujourd'hui sont bien moins impressionnantes et fréquentes que celles des années 50 à 90. Voici donc quelques exemples de cas Français.

Les Observations d'ovnis en France
Les Observations d'ovnis en France

La France connaît quelques cas avant l'ère moderne. Après la 2nde guerre mondiale, les premières observations aéronautiques d'ovnis sont réunies et archivées au Q.-G. de l'armée de l'Air française, au Bureau Prospective et Etudes (EMAA/BPE). La même fonction est assurée aujourd'hui par le Bureau Espace. L'ère moderne des ovnis en France commence en 1950. En 1951, avec quelques observations (Fructus, Tours) et la création de la première association d'étude des ovnis, Ouranos. S'ensuivent d'autres observations en 1952 (La Roche-sur-Yon, l'aéroport du Bourget, Villacoublay, Draguignan, Gaillac) et en 1953 (Pau). En juillet 1952, le Gouvernement mis sur pied un comité de recherche qui sera confirmé dans son statut en 1954, à l’époque de la première grande vague française. C’est M.Catroux, Secrétaire d’Etat, qui demanda à Jean Nocher de créer une commission “pour étudier ce phénomène objectivement en extrayant la vérité des erreurs et des canulars”. En ce début des années 1950s, les gendarmes commencent à enregistrer des rapports d'observation d'ovnis. Étant des militaires, c'est tout naturellement qu'ils collaborent avec l'armée de l'Air et leur transmettent des copies .Cependant c'est véritablement en 1954 qu'une vague sans précédent va parcourir la France. Elle dépasse en ampleur celle de 1952 aux USA et revêt des aspects récurrents quand aux personnages observés notamment. On note des observations à Marignane, Arras, Lunéville, Erchin, Fontenay-Torcy mais aussi en Algérie (Constantine, Sétif, Ouled Djellal). 

Entre fin 1973 et début 1974, la France connut une seconde vague d’observations d’OVNI que la gendarmerie s’empressa de rapporter au Centre National d’Etudes des phénomènes Spatiaux (CNES). En 1974, le Ministre de la Défense Robert Galley annonça qu’un département avait été créé au sein du Ministère des Armées dont l’activité consistait à récolter et étudier les nombreux rapports d’observations d’OVNI qui s’étaient accumulées durant la grande vague de 1954.

Des dossiers complémentaires se trouvent ici:

Groupe d'Etude et d'Information sur les PAN (GEIPAN)
La vague d'observation de 1954 (France)
Les observations du 5 novembre 1990 (France)
La rencontre de Valensole (1965)
La Gendarmerie et les dossiers O.V.N.I
Les rapports troublants et officiels de Gendarmerie

Observations d'ovnis en France classées par régions sur Base-ovni France
 

28 Octobre 1958, près de Pont la Dame (Disque)

> Département : Haute Savoie (74)
> Lieu : près de Pont la Dame
> Date : 28 Octobre 1958
> Nombre de témoins : 1
> Nombre d'OVNIs : 1
> Forme de l'OVNI : Disque
> Carte géographique : Cliquez ici
> Conclusion de cette observation : Pas de conclusion
 


Citation:

Vers 19 h 55 Jean Boyer retournait chez lui à Beylon de Montmaur. Il était arrivait à 700 mètres du pont sur la Buech qu'il avait souvent traversé san même y penser. Arrivé près du pont dans la Cote des Egaux, il vit suspendue au-dessus du pont et de la vallée dessous, un disque lumineux. Un pont du chemin de fer passant au-dessus du pont routier et de la vallée, portait l'ombre ovale du disque. Il se risque sur le pont routier et s'arrêta à proximité du pont ferroviaire. Il sortit de voiture et leva la tête, constatant que l'objet était parfaitement rond et qu'il contenait une sorte de cercle plus petit. Le disque fut estimé par Boyer à 120 mètres de long et à une altitude de 300 mètres. Au bout de deux ou trois minutes d'observation le témoin fut vraiment effrayé quand le disque se mit à faire des étincelles d'un rouge foncé et s'éleva alors à la verticale à une vitesse faramineuse, sans produire de bruit. Ensuite il fut heurté par un vent violent, ainsi que les cinq autres témoins qui comme lui, avaient observé le phénomène. ("Ufo's : a Century of Sightings" by Michael David Hall, Galde Prss Inc. 1999, p. 259)
 

http://www.ufoevidence.org/cases/case951.htm

Témoignage : premier mars 1985, Chessy France

Voici un témoignage remarquable par son caractère atypique.

Suite à son observation, Monsieur Claude C. à confié son témoignage à plusieurs associations et a fait une déposition auprès de la gendarmerie de Lagny (77).

Le 1er Mars 1985, ayant accompagné une amie habitant la commune de Chessy 77, près de Lagny, je prends le chemin de retour vers Paris, il est 3 heures du matin. Arrivé sur la place du village, je remarque une vive lumière sur laquelle les arbres de la place se découpent en ombres chinoises. Intrigué, je pense à un tournage de film ou à un incendie, mais ne remarque aucune flamme. De cette place à la RN 34 (sortie centrale du village), il y a une centaine de mètres, bordés à ma droite d’un mur qui me cache ce "feu". Parvenu au Stop au bord de la Nationale 34, je découvre le spectacle dans toute son ampleur : une lumière vive, blanc brillant vers le centre, s’amenuisant en bordure pour se confondre avec la nuit, en forme régulière de demi-sphère, immobile, posée sur la RN 34 à environ 200 mètres de ma voiture. Après un moment d’observation, une minute peut-être, je décide de m’approcher prudemment après avoir pensé à la vue de ce spectacle insolite : "Ce n’est pas possible ; il n’y a tout de même pas une soucoupe volante dans le champ".

Peinture faite par le témoin pour rendre compte de son observation

Je m’approche lentement en lanternes, passé le chemin de la Communauté situé à gauche en direction de Paris, la lumière éclaire bien la route. A ma gauche, en bordure du champ, un curieux petit nuage de vapeur seul et isolé. J’avance encore, j’ai devant moi un mur de lumière qui se fait plus opaque, plus brillant, à ma gauche l’herbe du bas-côté de la route est devenue blanche, comme s’il avait neigé. Je fais plusieurs appels de phares mais la lumière dans laquelle je me trouve est bien plus puissante que ceux-ci. Je décide de continuer et pénètre au cœur de cette luminosité dans laquelle, à 3 h du matin, j’aurais pu lire le journal avec des lunettes de soleil. J’ai eu la désagréable impression d’être enfermé dans un tube de Néon. Remontant définitivement ma vitre avant gauche, j’accélère et me sors enfin de cette demi-sphère de lumière d’un diamètre d’environ 150 à 200 mètres, pour me trouver plongé dans une atmosphère verte, comme enfermé dans une bouteille de couleur verte. Je baisse ma vitre, penche la tête, au-dessus de moi une haute colonne de lumières vertes bien dégradées se découpe en trois tronçons verts sur fond de nuit. Je me trouvais à la base d’un quatrième tronçon. Hauteur totale environ 30 mètres, largeur environ 6 mètres. L’ensemble était d’une beauté féerique. Bien que ce ne soit pas mon genre, j’ai à ce moment une pensée mystique devant tant de beauté. Je continue et l’atmosphère verte fait place à une nuée de particules dorées, grosses comme des têtes d’épingles, bien équidistantes les unes par rapport aux autres, fixes, immobiles ne présentant aucune turbulences. Il y en avait partout sur un espace de quelques mètres. Puis l’aspect de la route redevient normal.

A ce moment un souffle puissant, unique, fait vibrer la végétation, des bruits divers : masse creuse heurtant le sol, frottement d’une masse sur le sol et, à ma gauche, à l’orée d’un petit bois bordant le champ, une flamme s’allume de droite à gauche à 20 mètres de moi. Rassuré de découvrir la cause, je me dis que je n’avais pas rêvé et qu’il y avait bien du feu.
 

Peinture du phénomène observé par Madame M., faite par Monsieur Claude C.

Alors que je cherchais une place pour me garer pour aller voir de plus près cette rangée de flammes "comme un sillon de labour dans lequel on aurait versé de l’essence et enflammé", cette rangée de flammes, d’un seul coup, en 1 à 2 secondes, s’élève et s’éloigne à 100 mètres au milieu du champ ; sous les flammes se découvre un immense trapèze de couleur vert vif au centre, vert émeraude en bordure des angles d’environ 60°, haut comme un grand talus d’autoroute, ceci dans l’espace au-dessus du champ. A ce moment les flammes qui coiffent ce trapèze en dansant mollement laissent entendre, paradoxalement, une énorme intensité de feu "comme une forêt entière de bois sec qui brûle". Pas très rassuré, je quitte les lieux et rejoins Paris.

Le lendemain soir, retrouvant à Paris la personne que j’avais accompagnée, celle-ci me dit d’emblée : "Oh, vous savez hier, dix minutes après votre départ, je ne dirais pas que j’ai vu une soucoupe volante mais, au-dessus de mon pavillon, est passé un disque plat comme une assiette, dix fois grand comme la Lune ". Ce qui, pour moi, confirmait ma toute première impression."

Vins sur Caramy le 14 avril 1957 Var (83)

Heure :15:00 heures
Météo :Beau temps, ciel clair
Type d'observation :Visuel : proche
Nbre de témoin(s) :3
Enquète officielle :Oui

Type d'effets constatés
Effets physiques : Sifflement, Magnétisation objet métallique, Action sur panneaux ou autre,
 

Observation

Deux femmes sont en train de se promener sur la D24 non loin du château de Vins, lorsqu'elle entendent un bruit assourdissant, métallique. Elles se retournent et voient alors un objet en forme de toupie de 1m de diamètre pour une hauteur de 1m50, de couleur gris-vet. Des tiges métalliques sortaient de la partie médiane, lumineuses, multicolores et en vibration. Le vacarme est dù en fait à un panneau de circulation qui vibre alors que l'objet le survolle. L'objet lui même émet un sifflement (comparé aux cigales) en prenant de la hauteur. Puis il passe au dessus d'un deuxième panneau qui se met aussi à vibrer et disparait en direction du quartier des Launes à vitesse modérée et cette fois sans aucun bruit. Pendant l'observation, un troisième témoin occupé à ramasser dans son jardin un essaim d'abeilles à entendu le vacarme, croyant à un accident, il se précipite et observe un objet gris-vert qui fait un bond énorme. Enquête de la marine, la DST, l'armée de terre et l'armée de l'air. Les deux panneaux, ainsi qu'une vanne de canal d'arrosage étaient magnétisés (déviation de 15° d'une aiguille de boussole à 5 cm).

Sources
Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979
http://baseovnifrance.free.fr/listgen.php?typlist=9&page=0&numobs=1381

Montluçon (03) le 21 avril 1957

Type d'effets constatés

Effets sur le témoin : Troubles Occulaires,
 



Observation

Deux femmes observent un objet apparaissant par à coups pendant 3/4 d'heures. Il était hémisphérique de couleur jaune d'une grande intensité lumineuse. A certains moments on pouvait distinguer des "filaments lumineux verts et violets disposés en éventail" sur le dessous. L'objet éblouissait les yeux et fatguait la vue. Le déplacement se faisait par à coup, l'objet restant 5 minutes visible totalement immobile, puis s'étaignait pendant 5 minutes et se rallumait un peu plus près des témoins et un peu plus sur leur droite. Il y eut 5 fois ce manège, la dernière extinction sera définitive.

Sources
M.O.C. par Michel Aimé ** Arthaud 1958

Etude et réflexion sur les OVNI et leurs occupants par Sidoun J-C ** La Pensée Universelle 1980http://baseovnifrance.free.fr/listgen.php?typlist=9&page=0&numobs=291

L'affaire de Beaucourt-sur-l'Ancre le 14 mai 1957

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien France-Soir, Paris, France, le 14 mai 1957.
 

La "soucoupe volante" de Beaucourt-sur-l'Ancre divise le village en deux clans

Une scène digne d'un hallucinant roman "science-fiction" s'est déroulée dans un village de la Somme, où six personnes affirment avoir vu apparaître en même temps qu'une boule lumineuse quatre petits êtres étranges, dont l'un braquait sur la campagne un rayon aveuglant.

Cela s'est passé dans la nuit de vendredi à samedi dernier entre 22 h. 45 et 23 h. 15, à cent mètres à peine de la gare de Beaucourt-sur-l'Ancre. C'est un ouvrier, M. Michel Fekete, réfugié hongrois, qui, passant sur la route, fut "attaqué" par les "Martiens" et donna l'alerte à cinq personnes.

- Lorsque M. Fekete, déclarent-ils, nous eut appelé, nous avons nettement aperçu sur la route, a cent mètres de nous, trois ou quatre petits hommes vêtus de gris qui s'agitaient, éclairés par la luminosité se dégageant d'un engin d'ou émanaient des rayons tantôt rouges, tantôt blancs.

- A cette heure-la, affirment de leur côté M. et Mme Chatelain, notre fille faisait une tournée du bétail dans les champs, à l'endroit même où seraient apparus les Martiens. Ella portait pour s'éclairer une grosse lampe tempête...

Mme LEPOT, M. LEPOT ET Mme IKHLEF Y CROIENT

[Photo 1:] Mme LEPOT, 27 ans, mère de trois enfants: "je soignais ma petite fille malade lorsque j'ai entendu M. Fekete, qui criait dehors: "Venez vite voir... je viens d'être attaqué..." Je suis sortie et j'ai vu une formidable lumière..."

[Photo 2:] M. LEPOT, 30 ans, cantonnier à la S.N.C.F., était chez lui. Après avoir éteint la lumière, il est sorti sur le seuil: "j'ai très nettement aperçu une boule lumineuse d'où s'échappaient des rayons rouges et jaunes. L'engin se déplaçait lentement; il était gros comme ça... Peu après, j'ai distingué les silhouettes de trois petits hommes qui sent restés près de vingt minutes, allant et venant dans le champ et sur la route."

[Photo 3:] Mme IKHLEF, 26 ans, habite sur la route à 100 mètres de "l'apparition". Elle était avec son mari, chez M. Lepot: "On se moque de nous dans le village, mais je comprends cela. Moi non plus, avant, je ne croyais pas aux soucoupes volantes."

[Photo 4:] M. CHATELAIN, cultivateur, qui était dans les champs: "Laissez-moi rire, la soucoupe volante, c'était le falot de ma fille."

http://www.ufologie.net/press/francesoir14mai1957f.htm

Toulouse le 08 novembre 1957 Haute Garonne (31)

Heure :18:37 heures
Météo :Nuages épars
Type d'observation :Visuel : Eloigné
Nbre de témoin(s) :1
Enquète officielle :Non

Observation

Un astronome de l'Observatoire national, a suivi les évolutions d'un objet pendant 5 minutes. Voici son récit :
"II était entre 18 h 35 et 18 h 40. Le ciel était exceptionnellement clair à ce moment dans un passage débarrassé de brume et de nuages. J'observais le ciel avec une lunette grossissant trente fois, quand je vis soudain apparaître un objet de forme elliptique. Cet objet, extrêmement brillant, à peu près de l'éclat de Vénus, surgit au bout de ma lunette, dans la direction ouest-nord-ouest, à quelque 30 ou 35 degrés au-dessus de l'horizon. L'objet se dirigeait, à la vitesse de un degré par minute de temps, dans la direction où le soleil venait de se coucher.


Brusquement, il décrivit deux boucles très larges et repartit dans le sens opposé à celui de sa marche initiale. Disparaissant un peu plus loin, le même engin réapparut trente secondes plus tard, se déplaçant cette fois dans une direction perpendiculaire, pour s'enfoncer bientôt dans la pénombre, et échapper à tout contrôle. La durée totale de mon observation fut de quatre minutes trente secondes." Le témoin a estimé que les évolutions de l'étrange objet se faisaient à la limite exacte de la zone d'ombre où était plongée la terre, et de la zone de lumière baignée des rayons du soleil. De là sa disparition qui pouvait n'être que le retour dans la zone d'ombre au cours de ses évolutions. Pendant deux jours, avec ses collègues de l'Observatoire de Toulouse, il se livra à des calculs serrés pour déterminer les caractéristiques de l'engin. Un communiqué officiel publié trois jours plus tard, révéla que l'engin évoluait à 300 kilomètres d'altitude, et que son diamètre était de 150 à 200 mètres.

Sources
Le dossier des OVNI par Durrand Henry ** Laffont 1973

Soucoupes volantes, 25 ans d'enquêtes par Garreau Charles ** Mame
http://baseovnifrance.free.fr/listgen.php?typlist=9&page=0&numobs=129

SOUCOUPES VOLANTES EN CORSE, 1965:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, le 8 août 1965.
 

Des "soucoupes volantes" aperçues en Corse

BASTIA (C.P.). -- Plusieurs personnes, une vingtaine environ, habitant à demeure le village de Patromonio, dont la bonne foi ne saurait être mise en doute puisqu'elles sont fort connues et jouissent d'une excellente réputation, ont vu des "soucoupes volantes" dans le ciel de la région.

Quelques estivants également prétendent, eux aussi, avoir observé, le même jour et presque à la même heure, d'étranges phénomènes.

La chose s'est produite dans la nuit du 1er au 2 août, vers 22 heures.

"Nous avons même alerté la tour de contrôle de l'aéroport de Bastia - nous ont dit plusieurs personnes - mais les fonctionnaires de ce service n'ont pas ajouté foi à nos précisions."

D'après les renseignements que nous avons recueillis sur place auprès de quelques témoins, notamment de M. Olive, ingénieur électricien, Jean Duperthuis et Paul Bianchi, commerçants à Bastia, les objets observés, d'abord de formes imprécise, prirent ensuite la forme de demi-sphères très aplatie et de couleur violacée. Leur éclat en était brillant mais intermittent. Plusieurs fois les engins mystérieux - trois, disent les uns, davantage, disent les autres - changèrent de direction à une vitesse foudroyante: ils disparurent soudain, puis revinrent un quart d'heure plus tard, évoluant sur une même ligne, pour s'avanouir définitivement, cette fois, vers le sud-est, derrière la montagne du Pigno.

http://www.ufologie.net/press/lemeridional8aug1965f.htm

PHENOMENES EN FRANCE, 1966

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, France, le 23 juin 1966.

"SOUCOUPES VOLANTES" DANS LE CIEL PROVENCAL?
 

Un officier aixois a été le témoin de quatre phénomènes nocturnes étrangement échelonnés

D'ABORD, à quelques secondes d'intervalles, deux petites boules grises dans le ciel. Puis, une tache de forme ovale, grosse comme deux fois la Lune, qui se colore et puis s'éteint."

Pour vérifier son propos, mon interlocuteur se réfère à l'étalon du poing. Bras tendu dans le prolongement de l'épaule: trois degrés entre deux phalanges. Une pièce de dix francs pour circonscrire la Lune.

C'est le geste de l'officier d'artillerie vérifiant la trajectoire du tir fusant de ces pièces.

Or, c'est précisément un officier supérieur de cette arme qui me parle. D'un étrange phénomène qu'il a pu suivre dans le ciel au cours de la nuit de vendredi à samedi dernier.
Quatre boules blanches

"Il était trois heures quarante, me dit-il. Je me trouvais sur la route des Alpes, un peu au-dessus d'Aix. La nuit était très sombre. Au ciel, point de nuages, puisqu'on y voyait les étoiles briller.

"Je fus tout à coup intrigué par l'apparition d'une boule blanche, côté sud-est.

"Est-ce la Lune?", questionna la personne qui m'accompagnait.

"La boule s'éclaira tout à coup davantage, puis perdit sa lumière. Une masse grisâtre resta en place, visible en clair sur le ciel sombre.

"20 à 30 secondes plus tard, même phénomène, mais plus rapproché, au témoignage de la dimension. Inscrit par rapport au premier dans la perspective de deux lignes fuyantes montant d'environ 45 degrés.

"Au bout du même laps de temps, ce fut enfin la manifestation la plus saisissante de cette triple succession d'effets. Toujours dans la constante de leur mouvement: cette grosse tache de forme ovale, grosse comme deux fois la Lune (diamètre à mon poing, 3 à 4 degrés). Elle apparut d'abord blafarde, ballon de rugby aux contours imprécis, comme à travers une brûme très dense.

"Puis la voilà, soudain, qui s'éclaire: de lueurs rouges et oranges, délavées, dans l'orbe supérieure, de nuances verdâtres dans sa partie basse.

"Les teintes luisent environ 5 secondes puis s'effacent. Un nuage oblong, gris sombre, s'immobilise sur le fond du ciel.

"Je m'attends à une quatrième projection, à la fois plus nette et plus dense, à l'aplomb de ma tête.

"Elle se produit, en effet, mais en rupture de direction. Vers l'Est. Et affecte, à peu près, les mêmes dimensions que la seconde.

"Un quart d'heure plus tard, les traces des trois derniers phénomènes étaient encore visibles, figées aux mêmes points dans le ciel.

Une "seiche" volante?

L'homme qui me parle a travaillé à Colomb-Béchard et Hammaguir. Il connaît, tout au moins en matière d'explosions, les effets et les causes des divers phénomènes provoqués.

"J'ai pensé à un moment, me dit-il, à des explosions accompagnant la trajectoire de lancement d'un engin spatial. L'orientation m'y inclinait. Vérifications faites, j'ai pu établir, en effet, que l'azimut 140 degrés par lequel la première boule passait, longe la Corse, traverse la Sardaigne et atteint le golfe de Gabès. Au point même où stationnait le bâtiment chargé d'observer la mise sur orbite lors du lancement du dernier satellite français.

Il me m'est pas apparu, précise l'officier, qu'un objet quelconque ait pu exister à l'intérieur des nuages formés. Il s'agissait, du moins je le pense, des restes d'une combustion, comme pour un tir fusant.

"Mais alors, par saccades? ... Par projection espacées, comme par une "seiche" ? ...

"Par "pulso-réacteurs"?...

"Mais de quelle machine?"

Le mot "soucoupe" était dans l'air. Mais il n'a pas été prononcé.

      L.P. SEMENE.

http://www.ufologie.net/press/leprovencal23jun1966f.htm

OVNIS DANS LA PRESSE FRANCAISE, 1968:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 12, le 21 août 1968.
 


SOUCOUPE VOLANTE DANS LE CIEL DU DOUAISIS

DOUAI (A.F.P.). -- Une forme orange, assez lumineuse, a été aperçue dans le ciel du Douaisis, vers 1 heure 40, dans la nuit de dimanche à lundi, par un gendarme en retraite, M. Jean Lacroix, habitant Sin-le-Noble.

Cet objet, selon ce témoin, effectua un parcours sinueux vers le sud, se déplaça ensuite en sens inverse, s'immobilisa un instant, puis repartit très vite, à une vitesse comparable sinon supérieure à celle d'un avion à réaction.

M. Lacroix, qui ne croyait pas auparavant aux "soucoupes volantes" et autres objets mystérieux, est maintenant moins sceptique.

http://www.ufologie.net/press/lemeridional21aug1968f.htm

L'observation de Taizé (1972)

16000 jeunes de 80 pays venant fêter Pâques en 1972 à Taizé 16000 jeunes de 80 pays venant fêter Pâques en 1972 à Taizé
 

Le 11 Août 1972 au soir, un groupe de jeunes gens discutent au sommet d'un coteau verdoyant. Les tentes des visiteurs sont installées tout autour, non loin des bâtiments de la communauté de Taizé, un monastère protestant situé à 10 km de Cluny (Saône-et-Loire). Des jeunes s'y réunissent régulièrement pour prier, sous la direction du père Roger Schutz, son fondateur. Le site surplombe une petite vallée et des collines s'étendent à l'horizon. Le ciel est couvert et une petite pluie fine ne tarde pas à tomber.

Assis face à l'Ouest, les jeunes gens contemplent un grand champ labouré qui s'incline vers la vallée. Vers 2 h du matin, Mlle Renata (Reanta ?) de Faa (étudiante, habitant à Massulas, Sardaigne, Italie) voit une "étoile" descendre du ciel. Elle avertit immédiatement ses compagnons, François Tantot (de Mâcon, étudiant en 2ème année de psychologie), un étudiant de Dijon et un étudiant italien, mais avant qu'ils aient eu le temps de se retourner, l'"étoile" a déjà "atterri" sur les pentes d'un coteau qui fait face au théâtre, connu sous le nom de La Cras. Les 35 jeunes gens regardent tous bientôt avec attention cet objet, apparemment immobile, qui se trouvait à leur hauteur.

De couleur sombre, sans doute par contraste avec le champ de blé qui se trouvait sur sa droite, l'ovni fait environ 30 (300 ?) m de long, plus grand qu'un car. En s'approchant, il émêt une sorte de sifflement que tous les témoins entendent.

Soudain l'ovni "s'éclaire". 7 lumières jaunes apparaissent. Puis deux de couleur orange à l'extérieur et à gauche de l'objet. Après cela, 5 des 7 lumières jaunes se mettent à balayer le sol. Les témoins aperçoivent alors des coupoles à l'extrême gauche de la rangée de lumières. L'objet semble reposer sur ces faisceaux lumineux [Témoins à Tyrode]. Tantot et le jeune homme de Dijon, notamment, ressentent à cet instant des picotements aux mains et aux genoux.

Tandis que les faisceaux de lumière "solide" balayent le sol, des étincelles rouges apparaissent à l'extrémité droite de l'objet, bientôt remplacées par trois disques de petite taille soulignés chacun par deux points de lumière rouge. Ils entamèrent alors une manœuvre giratoire autour de l'ovni principal qui va durer jusqu'à la fin de l'apparition.

Vers 3 h du matin, les 4 premiers témoins, munis de lampes électriques, décident d'aller voir ce qui se passe. Leurs 30 compagnons les regardent s'éloigner à travers champs, sans cesser d'observer l'objet. Chaque faisceau lumineux principal tourne autour d'un axe vertical. Le deuxième faisceau sur la gauche s'éclaire soudain intensément. Une pluie de particules rouges se déverse autour des 4 autres faisceaux et recouvre le sol. Les témoins distinguèrent alors, dans une lumière blanche, une rangée de "hublots" qui disparaissent 20 mn plus tard, après que le faisceau brillant sur la gauche ait clignoté plusieurs fois.

Lorsque les 4 jeunes gens arrivent au milieu du champ, ils aperçoivent une masse sombre en forme de meule de foin, de 5 à 6 m de haut. Un point de lumière rouge tourne autour, d'un mouvement très irrégulier. Entre l'endroit où ils se trouvent et cette masse sombre, soit à environ 3 m, les témoins distinguent une sorte de haie. Or ils savent pertinemment qu'aucune haie ne s'éleve à cet endroit.
 

Lorsque, pour en avoir le cœur net, un des jeunes gens dirige sa lampe vers la masse qui leur fait face, le faisceau s'élève subitement à environ 50 cm de la haie et se perd dans l'obscurité.

Quand il voit les 3 disques disparaître à l'intérieur du grand objet, Tantot essaye à nouveau de se servir de sa lampe. L'ovni dirige alors le faisceau de lumière brillante sur les témoins. Éblouis, ils se cachent le visage de leurs mains pour tenter de se protéger de la lumière et de la chaleur. Pendant ce temps, l'ovni décolle et disparaît rapidement en direction de Cluny. Il était alors 4 h 40 du matin.

Les témoins font un rapport détaillé à la gendarmerie de Cluny ainsi qu'à Jean Tyrode pour LDLN.

http://rr0.org/science/crypto/ufo/enquete/dossier/Taize/index.html

Landevennec, 20 mai 1974

LDLN n° 386[1]

Sept ans avant Trans-en-Provence, des fougères vidées de leur chlorophylle par un phénomène lumineux proche du sol.

L'une des affaires d'ovni les plus significatives, en France, est celle de Trans-en-Provence, qui date du 8 janvier 1981. Elle doit son intérêt exceptionnel au fait que la science a permis de mettre en évidence des transformations biochimiques importantes sur les plantes qui poussaient sur le site de l'atterrissage (en l'occurrence, de la luzerne). Cette affaire a été exposée dans les n° 207, puis 231/232 de Lumières dans la Nuit.

Elle est rapidement devenue un cas "classique" en ufologie, et en raison même de son importance, elle a fait l'objet d'un debunking forcené, les spécialistes en désinformation s'efforçant de la réduire à des causes banales : successivement aux effets secondaires de l'utilisation d'une bétonneuse, à un forage pétrolier clandestin, à des traces laissées par un Fenwick, et finalement... à une affabulation du témoin !

Aucune de ces élucubrations, évidemment, n'expliquait les constats établis par le Pr Bounias, concernant une profonde altération biochimique de la luzerne. On a longtemps cru que cet exemple était le premier du genre ; or il n'en est rien : voici un cas analogue, qui s'était produit un peu moins de 7 ans auparavant.

L'incident

Lundi 20 mai 1974, 19:00. M. Le Meur, boulanger, accompagné de son épouse et de leurs deux enfants, roule sur la petite route qui les mène à Landévennec (Finistère), sur la rive nord de la presqu'île de Crozon. Depuis quelques instants, une puissante lueur attire leur attention, devant, au niveau du sol...

A la sortie d'un virage, la source de lumière apparaît : il s'agit d'un "chapelet" de sept ou huit sphères, disposées horizontalement, à 1 m environ au-dessus de la route. Elles ont toutes un diamètre de 40 cm environ, le chapelet ayant donc environ 3 m de long. L'ensemble, qui se trouve à 25 m, tout au plus de la voiture, émet une très puissante lumière blanche.

Ne comprenant pas à quoi il a affaire, M. Le Meur fait plusieurs appels de phares. Pas de réponse ! Il fait demi-tour en toute hâte, et s'éloigne aussi vite qu'il peut. Il ne s'arrêtera qu'à la gendarmerie de Telgruc-sur-Mer, pour témoigner sans attendre.

Le mardi 21 mai, les gendarmes examinent le lieu de l'incident. Sur le bord de la route, et sur une surface de 2 à 3 m2, les fougères paraissent anormalement flétries. Les enquêteurs de la Gendarmerie prennent de nombreuses photos des lieux, et prélèvent plusieurs plants de fougère, avec les racines. Ils font de même, pour comparaison, à 5 m et à 8 m du centre de la zone affectée.

Les prélèvements sont aussitôt envoyés à un laboratoire privé, situé en région parisienne.

Le contexte

On peut estimer que ni le lieu, ni la date de l'incident, ne doivent rien au hasard : le lieu de la rencontre n'est qu'à à peine 15 km, à vol d'oiseau, de la rade de Brest et de l'Ile Longue (en fait une presqu'île), qui abrite les sous-marins nucléaires (la base aéronavale de Lanvéoc-Poulmic est plus proche encore : à 10 km).

Quant à la date, ou plus simplement, à l'année, elle correspond à un remarquable pic d'activité du phénomène ovni : nous sommes alors au plus fort d'une vague étalée sur plusieurs années, vague qui aboutira, en fin de compte, à la création du GEPAN en 1977, et à une période d'essor sans pareille pour l'ufologie en France.

On trouve [2] la mention d'une autre observation d'ovni en date du 20 mai : celle de Bertangles, dans la Somme.

Une autre apparition hors du commun se déroulera dans le Finistère 4 mois plus tard : c'est celle de Riec-sur-Bélon [3], mais la liste des observations en France, au cours de cette année 1974, est impressionnante, et contient quantité d'autres affaires tout aussi extraordinaires.

La chlorophylle a disparu!
 


Alain Launay Observation à Hawaï le 25 avril

Quelques jours après l'incident, deux échantillons, de 1 g chacun de fougère, sont analysés : passés en ébullition pendant 2 h avec un mélange d'éthanol et de chloroforme, filtrés à chaud, puis évaporés.

L'échantillon témoin (flacon marqué "vert") pèse 50 mg et contient de la chlorophylle et de la résine. L'autre ("marron"), prélevé sur les plantes qui ont dépéri, ne contient plus que 20 mg après l'opération. La chlorophylle a totalement disparu. M. Vernier, chimiste organicien, constate la présence d'un élément inconnu présentant un spot en chromatographie. Cet élément non identifié n'apparaît qu'en lumière ultraviolette. Le rapport conclut : disparition de la chlorophylle, vieillissement accéléré, traumatisme biochimique d'origine indéterminée.

Mis au courant de l'affaire, le député du Finistère en informe aussitôt le Ministère de la Défense.

... et le dossier aussi!

Si le traumatisme subi par les végétaux est inexplicable, l'aboutissement final du dossier est tout aussi obscur. Du Ministère de la Défense, il est transmis à celui de l'Industrie et de la Recherche, l'organisme le plus habilité à ce type de recherche. Le député du Finistère, proche du Ministre de la Défense Yvon Bourges, tente de le récupérer, en vain.

Un très bref article a été consacré à cette affaire dans le numéro 86 de Armor, le magazine de la Bretagne, un mensuel économique aujourd'hui disparu. 10 lignes seulement lui sont consacrées dans le livre de Jean-François Boedec, Fantastiques Rencontres au Bout du Monde, publié en 1982.

Cette affaire de Landévennec semble être le premier cas d'analyse biochimique mettant en évidence un traumatisme des végétaux sur un site d'apparition d'ovni.

http://rr0.org/data/1/9/7/4/05/20/LDLN_Landevennec/index.html

M. Devicenzi, boucher à Annot poursuivi par un OVNI 1979

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Méridional, France, page 18, le 3 décembre 1979.  

ANNOT: poursuivi par un OVNI

DIGNE (de notre agence). C'est encore sous le coup de l'émotion que M. Devicenzi, boucher à Annot, racontait l'extraordinaire mésaventure qu'il a vécue samedi soir. "Je ne sais pas comment c'est arrivé, ni comment c'est reparti".

Il était 19 heures quand le boucher revenait d'une tournée au village de Braux. Soudain, la route s'éclaire violemment et M. Devicenzi aperçoit au-dessus de son véhicule une "boule de feu".

L'objet volant très lumineux "escorte" la voiture du boucher durant quelques kilomètres, puis disparaît.

"Je n'étais vraiment pas rassuré, commente encore le témoin, et je ne peux décrire cet objet autrement que de forme arrondie et répandant une lumière extraordinaire".

Ce témoignage, M. Devicenzi l'a confié aux gendarmes d'Annot qui ont refait, hier dimanche, l'itinéraire du boucher sans toutefois enregistrer des indices palpables.

http://www.ufologie.net/press/lemeridional3dec1979f.htm

OVNIS EN FRANCE, 1994:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Eclaireur Brayon, le 2 septembre 1994.
   


Un O.V.N.I. sur Blargies?

Voici le témoignage troublant d'un automobiliste

Des "O.V.N.I survoleraient-ils notre région?..

C'est ce que peuvent penser M. et Mme Casano de Saint Germer après l'aventure qu'ils ont vécu dans la nuit du 25 au 26 juin dernier, à 1 h. 15.

D'après leur récit, M. et Mme Casano, revenaient d'Amiens, à Gournay via Aumale dans leur voiture de couleur blanche.

C'est sur cette portion de route d'Aumale à Gournay (D. 316) qu'ils disent avoir vécu une extraordinaire aventure...

Arrivés à Abancourt ( vers 1 h. 15) sur la D.316, ils disent avoir aperçu devant eux et à une certaine hauteur, un nuage blanc, brillant, duquel émanaient des rayons lumineux de couleur blanche et qui tournaient comme sur un axe situé derrière ce nuage - cette rotation était rapide mais saccadée.

L'engin duquel émanaient ces rayons est alors apparu et s'est dirigé vers la voiture, ses faisceaux tournant de plus en plus vite.

Il a suivi la mazda sur le côté, survolant les fils électriques bordant, par endroits, la D.316 et qui étaient éclairés par les rayons lumineux de l'O.V.N.I. en question.

Ce manège a duré environ dix kilomètres (d'Abancourt à Campaux) et bien que M. Casano, apeuré, se soit arrêté en cours de route, à la sortie de Blargies, en allumant ses "feux de détresse" pour attendre un véhicule dont il aperçut les phares dans son rétro et dont il espérait que le conducteur s'arrêterait.

L'engin (O.V.N.I.) s'était alors éloigné au fur et à mesure de l'approche de ce second véhicule qui ne s'arrêtera pas comme l'espérait M. Casano - mais qu'il suivit aussitôt, espérant qu'à deux le danger serait moindre.

Le conducteur de ce second véhicule, se voyant suivi par la Mazda (a-t-il eu peur où était-ce sa destination?) quitta alors la D.316 à une déviation sur la droite avant Formerie.

M. Casano se retrouvera seul sur la route en direction de Gournay.

Aussitôt après l'engin (O.V.N.I.) se rapprocha de sa voiture et recommença à le suivre.

Pris de panique, M. Casano accéléra l'allure, en vain, l'O.V.N.I. restant toujours à sa hauteur et ce jusqu'à Campaux où il s'arrêta de nouveau tout près de l'église espérant y être plus en sécurité...

A ce moment, l'engin (O.V.N.I.), ses rayons lumineux continuant leur rotation, descendit vers le véhicule, surplombant la maison face à laquelle M. Casano l'avait arrêté.

L'engin restant silencieusement et sans aucun déplacement d'air en sustentation, ralentit sa rotation qui - après un bref arrêt - changea alors de sens.

Pendant ce court instant, M. Casano put alors observer que les faisceaux lumineux de l'engin étaient disposés "au carré" sur plusieurs lignes et sur une superficie pouvant être estimée à l'assise d'un pavillon (soit environ 100m2).

Paniquant à nouveau, M. Casano repartit en trombe sur la D.316 vers Gournay; l'engin le poursuivant encore quelques kilomètres puis disparaîssant rapidement vers Saint-Samson-la-Poterie.

Les gendarmes de Beauvais et de Formerie ont été, dans la matinée du 26 juin, tenues informées de cette odyssée.

Note: au moment et au lieu de l'observation, la Lune était à un azimut de 149° 52' 42.1" et une élévation de 20° 51' 23.1".

http://www.ufologie.net/press/leclaireurbrayon2sep1994f.htm

Un OVNI triangulaire a survolé les Ardennes 1998
 
AFP : Jeudi 13 Août 1998 - 13h01 heure de Paris

CHARLEVILLE-MEZIERES (AFP) - Un objet volant non identifié (OVNI) de forme triangulaire se déplaçant à basse altitude au dessus de la région de Sedan et de Carignan (Ardennes) a été observé par au moins 150 personnes en début de semaine.
 

"Dans la nuit de lundi à mardi, il a d'abord été aperçu à haute altitude puis dans une phase descendante à la verticale de Charleville-Mézières avant d'effectuer des sortes de rondes de reconnaissance au-dessus d'une trentaine de localités du Sedanais", a indiqué jeudi Jean-Luc Lemaire, le responsable départemental du Centre d'études OVNI France.

"Notre association a jusqu'à présent reçu quelque 150 témoignages et nous disposons d'un court film tourné cette nuit là par deux jeunes vidéastes amateurs", a-t-il précisé. "L'appareil, gros triangle aux bords arrondis avec une pointe tournée dans le sens de la marche, possède deux points lumineux rouges à l'arrière et un gros blanc à l'avant. Ces lumières ne clignotent pas. Deux trainées de condensation sont visibles à l'arrière de l'OVNI volant à quelque 500 m d'altitude", a-t-il ajouté.

"Nous disposons de peu d'éléments pour évaluer la vitesse de l'engin qui selon plusieurs témoignages avait un bruit sourd", a poursuivi M. Lemaire. "Il a été observé entre minuit et 02H00 du matin et certain témoins ont eu l'impression qu'il jouait à cache-cache", a assuré le responsable de l'association dont le siège national est à Marseille (Bouches-du-Rhône)."Il tournait lentement au dessus de zones habitées comme lors d'une mission d'espionnage puis s'éloignait avant de recommencer son manège au-dessus d'une autre localité", a-t-il ajouté. "Il a fini par disparaître derrière une colline et n'a pas été revu depuis", a indiqué M. Lemaire.

Selon lui, il ne peut pas s'agir d'un avion furtif, en raison du vol circulaire à basse altitude, ni d'une météorite car le vol a également été horizontal, ni d'une comète beaucoup plus haute et fixe dans le ciel, ni d'un hélicoptère ou d'un avion connu en raison d'un bruit sourd suffisamment étrange pour exciter la curiosité de nombreuses personnes.



"Il nous reste plusieurs hypothèses telles que l'illusion d'optique ou le vol d'un prototype militaire hors zone", a poursuivi M. Lemaire. "Le vol décrivait une trajectoire Ouest-Est et nous aimerions savoir si cet OVNI a été observé sur les côtes Ouest de la France où s'il a traversé l'Atlantique", a-t-il dit.

 


OVNI a Sedan
 

Lieu:de Sedan à Charlevilles, Nord-Est de la France
Date:10 Août 1998
Heure: 23:37
Origine:Centre d'Etudes OVNIFRANCE

SAMEDI 15 août 98, 16h57 (GMT): Dépêche AFP

(transmise par Robert Fischer)

AFP Général - Samedi 15 Août 1998 - 16:57 GMT

Divers-OVNI

Traces et bruits suspects d'un objet volant en Haute-Marne.

CHAUMONT, 15 août (AFP). Des traces suspectes dans un verger et des bruits entendus par plusieurs personnes, lundi et vendredi à Prauthoy, un village au sud de Langres (Haute-Marne), laissent penser aux habitants qu'un objet volant s'est posé sur leur commune, a-t-on appris samedi auprès du maire.

"Lundi, à 23H00, nous avons été plusieurs à entendre un bruit important, long, moins fracassant qu'un bruit d'avion", a indiqué le maire Philippe Badet. Pour lui, il s'agissait "d'un objet volant, mais pas d'un avion". Une vingtaine de personnes ont vu des lueurs, a-t-il ajouté.

Un voisin a vu "deux lumières rouges et une blanche dans le ciel, qui ne bougeaient pas de place".

Vendredi, des traces suspectes ont été découvertes dans un verger. Ces traces d'herbe sèche forment deux lignes parallèles de 25 mètres de long environ et 70 cm de large, et sont distantes d'environ 8 à 9 m l'une de l'autre, avec un triangle au milieu, selon le témoignage du maire.

Les pompiers et les gendarmes de Langres et de Chaumont ont pris des photos sur place. Des prélèvements de terre ont été effectués. L'ensemble des résultats est négatif, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Une équipe de recherche et d'identification radio-active a procédé à des relevés de radio-activité, qui se sont aussi avérés négatifs.

En début de semaine, un objet volant non identifié avait été observé par au moins 150 personnes dans la région de Sedan et de Carignan (Ardennes), selon le responsable départemental du Centre d'études OVNI France.

hg/nm

SAMEDI 15 août 98, 22h49: Réaction d'un pilote privé

Ceci est la copie d'un mail qui a été adressé à l'UFOCOM, dans la foulée de ce qui est écrit ci-dessus, par un pilote "privé" de Reims (France), monsieur Benjamin V. Il confirme la réponse donnée par le Centre de Contrôle Local de Reims à Yves en ce qui concerne la couverture radar "civile" de la région. Ce monsieur continue son enquête à ce sujet et a promis de nous tenir au courant. A suivre... :

Bonjour,

J'habite à Reims où se trouvent un CCR (Centre en Route de la Navigation Aérienne), contrôle civil et une base militaire.

Etant pilote privé, passionné de contrôle aérien militaire, et, pour avoir visité les locaux des 2 services, je confirme que le CCR de Reims ne peut pas voir les appareils qui n'ont pas de transpondeur branché, car les civils n'utilisent que des radars dits 'secondaires', qui donnent au contrôleur une image "informatique" de l'espace aérien, grâce aux infos transmises par le transpondeur. Il ne peut en aucun cas détecter un appareil qui aurait délibérément coupé le transpondeur. Il n'a donc pas à sa disposition une image réelle et brute de la situation.

Les militaires eux utilisent en plus un radar dit 'primaire' , qui donne une image non traitée par informatique. Un tel système (système radar tel qu'il a été conçu initialement ) est maintenant devenu inutilisable par les civils étant donné le nombre énorme d'avions dans un même secteur). Avec un primaire, on peut voir tout objet renvoyant les ondes du radar (du 747 à l'ulm). On peut aussi voir les zones de forte pluie ou de neige, car celles-ci renvoient un faible écho. Ils peuvent ainsi repérer tout appareil (non furtif) qui ne vole pas à très basse altitude pour passer sous la couverture radar.

Le CLA de Reims (contrôle local d'aérodrome) était fermé lundi soir, les vols militaires n'étant effectués à partir de cette base que le mardi et le jeudi soir. Le radar était donc sans doute éteint.

Je vais me renseigner auprès d'amis contrôleurs pour savoir si les bases de Cambrai-Epinoy, Nancy-Essey, Toul et St Dizier ont eu quelque chose.

De toute façon, les stations radar des CDC (Centres de Contrôle et de Détection) de Dracchenbrönn (indicatif Riesling, contrôle du NE France) et de Doullens (indicatif Mazout, contrôle du N France) couvrent la zone et sont ouvertes H24 pour détecter toute intrusion dans le territoire national. Les bases belges sont également en mesure de couvrir la zone, ainsi que les AWACS de l'OTAN, opérant depuis Geilenkirchen. Je ne sais pas si les AWACS Français étaient en opération lundi soir.

Avec le nombres de bases militaires du nord est France, du BENELUX et de l'Allemagne, et, étant donnée la portée des radars militaires, je doute que tous les scopes primaires capables de suivre la chose aient été tous éteints.

Pour information et contrairement à ce qui est dit dans la page (voir plus haut), si le transpondeur équipe bien tous les avions de ligne et les militaires (qui eux peuvent le couper pour des raisons évidentes), il n'est en aucun cas obligatoire pour les avions de tourisme (en France, la législation diffère peut être encore au sein de la CEE). Seules quelques zones à forte densité sont réservées aux seuls appareils équipés, pour des raisons évidentes de sécurité.

Benjamin V.

Un article dans un journal belge confirme le témoignage de Florenville!

"La Dernière Heure les Sports"
Edition pour Mons - Centre - Charleroi du mardi 18 août 1998

Ovni apreçu chez nous

Une habitante de Forenville se joint aux témoins recencés en France

FLORENVILLE. Mme Nicolas, 1'épouse du garagiste de la rue de France, a 1'habitude, surtout a cette époque de 1'année, de regarder le ciel étoilé.

L'autre soir - elle ne peut prédser la date, mais c'était entre 23 h et une heure le matin -, elle a aperoçu, se déplaçant A très basse altitude, une sorte de triangle aux bords arrondis.  A quelle hauteur exacternent ? -Je ne peux le préciser, dit-elle.  J'étais occupée à regarder les étoiles.  Le ciel était clair et l'objet se déplaçait très nettement plus bas. dans le noir, c'est difficile de se faire une opinion.

C'était peut-être un ovni, mais cela ne ma pas impressionnée plus que cela puisque je n'en ai pas parlé autour de moi.  Cest le lendemain, voire le surlendemain après que j'aie vu au journal de TF1, un reportage consacrè à un objet volant non identifé dans fa région de Sedan - Charleville-Maizière, j'ai effectué le rapprochement.

Depuis lors Mme Nicolas a poursuivi ses observations, mais "a-t-on deux fois la chance d'observer un tel phénomène ?" -, interroge-t-elle dubitative.

Selon Jean-Luc Lemaire, le responsable départemental du Centre français d'étude des ovnis au moins 150 personnes ont observé 1'objet entre minuit et 2 h près de Charleville-Maizières et une trentaine dans la région de Sedan.

"L'appareil, gros triangle aux bords arrondis avec une pointe tournée dans le sens de la marche possèdait deux points lumineux rouges à l'arrière et un gros blanc a l'avant. Il volait à quelque 500 m d'altitude.'

Selon M. Lemaire, son association dispose d'un court film tourné cette nuit-là par de jeunes vidéastes amateurs.

Appel à témoins :

De son côté, le Centre Européen d'études des phénomès aériens (Ceepa)  lance un appel aux éventuels témoins belges de 1'observation d'un objet volant non-identifié dans le sud du pays, la nuit de lundi à mardi derniers. Le Ceepa demande de prendre contact avec lui à son siège social où un numéro de téléphone est disponible 24 heures sur 24 (065/56.75.69) ou auprès de son secrétariat-général au 065/79.18.31, qui est numéro d'une ligne téléphonique et fax.

H.B.
* * *
Objet : trace de Prauthoy

Date : mardi 18 août 1998 2:39

Dans la nuit du 17 au 18, Jean-Louis Lagneau, enquêteur du GEIPIS, m'envoit ce petit message :

Avec Joël Mesnard de LDLN, je viens de me rendre à PRAUTHOY village sur la N74 entre Langres et Dijon. Dans la nuit du 10 au 11 août 1998 de nombreux habitant du village ont entendus un bruit énorme d'une durée de 1minute à 1 minute 30 secondes (le maire fait partis des témoins) , en résumé:

    * 15 témoins du phénomène sonore
    * 5 témoins d'un phénomène lumineux ("boule" simple, triangle) dont un témoin qui a dit au maire:"j'ai pensé que c'était un avion qui allait s'écraser dans ton jardin!"

    * une trace de 24 mètres de long sur 9 mètres de large d'axe à axe et deux bandes parallèle de 70 cm de large. herbes desséchées, pas d'odeur de produits, pas de vie d'insecte sur la trace mais présente dans et autour de la trace ou l'herbe est normale, pas d'écrasement du sol, pas de radio activité, pas de déviation magnétique,pas de traces sur les arbres aux alentours.

Sur les lieux, Gendarmerie de Prauthoy, colonel de gendarmerie, représentant du sdis (on parle du colonel des sapeurs pompiers il faut que je vérifie ce détail auprés de mes collègues), le Sepra au courant doit se déplacer, photos prises par les gendarmes depuis l'échelle des pompiers de langres.Interdiction de pénétrer sur le terrain sans l'autorisation des gendarmes depuis le 17 août 17h00. Sinon l'enquête est en cours et le maire doit nous fournir les résultats du carrotage qui est prévu mardi 18 août, et les photos si il peut les obtenir. Pour info le maire est un ancien ingénieur des mines qui avait de trés hautes responsabilités dans le domaine.

Jean-Louis

Dans la presse:

Je reçois un mail de Mr Jacques Antoine, enquêteur belge chevronné, qui me transmets, avec beaucoup de gentillesse, des scannings de différents articles publiés dans des journaux belges régionaux.

 

 

 

 

 

 


http://www.ufocom.eu/UfocomS/charleville4.htm

Des lumières intrigantes dans le ciel  21.10.2001

Un article paru le 21.10.2001 dans le journal Français "Le Progrès du Jura," Lons-le-Saunier, signé René Tribut.

Des lumières intrigantes dans le ciel vendredi soir:

Un de nos correspondants a fait une observation plutôt intrigante en regardant le ciel vendredi soir. Suffisamment pour qu'il cherche à prendre des contacts et témoigne.

POUR LE MOINS, c'est une observation intrigante que l'un de nos correspondants de la région lédonienne a fait dans la soirée de vendredi. Cette personne dont nous apprécions la qualité depuis bien longtemps, est sortie de chez elle, comme elle le fait régulièrement avant d'aller se coucher, un peu après 22h. Et vendredi soir, quelque chose a tout de suite attiré son attention : il y avait dans le ciel, en plus des étoiles, une quarantaine de lumières clignotantes.

"Des lueurs de même intensité que des étoiles moyennes et dispersées dans toute la partie de ciel que je voyais. C'était étrange. Je n'avais rien vu de pareil de toute ma vie. A ce moment là, je voyais environ un tiers du ciel et je regardais vers le Sud" explique le témoin. Le sud, selon lui, et par rapport à sa position alors, correspondait à la verticale de Plainoiseau - L'Etoile. Ce pouvait être effectivement beaucoup plus loin. Il s'agit d'une direction par rapport à la situation de l'observateur qui avoue n'avoir pas cherché à regarder vers le Nord.

Témoigner et faire observer

En tout cas, le phénomène l'intrigue suffisamment pour qu'il cherche à prendre contact avec nos services. Mais à ce moment là, l'édition est déjà bouclée. L'homme alors pense un moment appeler un observatoire astronomique. Mais il ne dispose pas de coordonnées. Il s'adresse alors logiquement à la gendarmerie.

La personne de permanence, "écoute avec attention, me demande d'attendre quelques instants, va voir à la fenêtre, revient et me confirme : je vois la même chose que vous" poursuit notre interlocuteur. L'observation faite par notre témoin a duré au total une demie heure environ.

"Je me suis levé de bonne heure samedi matin, vers 7 h 15. Je suis tout de suite allé voir. Mais le ciel était couvert."

Notre homme a pris contact samedi avec un club d'astronomes amateurs, club qui organise souvent des sorties pour observer le ciel la nuit. A l'issue de l'entretien téléphonique, le président de ce club, qui n'a pas fait d'observations particulières vendredi soir, se disait intrigué.

RENÉ TRIBUT

D'autres personnes ont pu, elles aussi, remarquer vendredi soir quelque chose d'étrange. Ou disposent d'informations. Elles peuvent prendre contact avec notre rédaction à Lons (03.84.86.07.25)

http://www.ufologie.net/htm/newsprogresjura2002f.htm

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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