OVNI et Extraterrestre

Ovni de Rendlesham (1980)

27 Février 2019 Publié dans #Ovni, #Observation ovni

Ovni de Rendlesham (1980)

L'incident de Rendelsham se déroula dans le sud de l'Angleterre les nuits du 26 et 28 décembre 1980. Un détachement de militaires américains observa dans les alentours de la base de Bentwaters différents phénomènes inexpliqués

Ovni de Rendlesham (1980)
Ovni de Rendlesham (1980)

Reconstitution de l'observation

Le 27 décembre 1980, un OVNI a été observé dans la forêt de Rendlesham à l'extérieur des portes arrières de la base jointe de la RAF et de l'US Air Force de Woodbridge dans le Suffolk, en Angleterre. Après ces événements dans le ciel, du personnel militaire de la base de Woodbridge entreprit une patrouille pour déterminer la cause d'une lumière étrange vue dans la forêt proche, Ils racontèrent que l'air semblait chargé d'électricité, et ils virent un objet qu'ils décrivirent de forme triangulaire de 2m50 de base et de 1m80 de hauteur. L'objet émettait une lumière blanche brillante. Il y eu rapport mentionnant que le sommet de l'objet portait une lumière rouge et las base était entourée d'une rangée de lumières bleues, qui semblaient indiqué que l'engin était posé sur des pieds au-dessus du sol.

Alors que les militaires approchaient à près d'un mètre, l'engin se mit à manœuvrer entre les arbres en s'éloignant d'eux. Il passa près d'une ferme proche ou le bétail fut pris de panique, puis fila dans les airs à une vitesse extraordinaire. L'enquête effectuée le lendemain permit de trouver des traces de pieds dans le sol à l'endroit ou l'engin s'était posé. Des mesures de la radioactivité donnèrent des résultats positifs.

L'engin fut brièvement aperçu encore une fois une heure après, et le lendemain soir fut riche en observations de ballets aériens d'objets volants étranges.

 

Fin Décembre 1980, alors commandant de la base aérienne de Bentwaters dans le Sud de l'Angleterre, le colonel de l'USAF Charles Halt observe et enquête sur divers objets anormaux apparus dans le ciel de la Forêt de Rendelsham, séparant l'installation américaine de sa base jumelle de la RAF, à Woodbrige (Angleterre). Les observations interviennent à l'occasion de 2 nuits distinctes lors de la semaine suivant Noël.

Le témoignage de Charles Halt

 

Deux semaines plus tard, Halt envoie un rapport sur ces rencontres étranges au Ministère Britannique de la Défense. Voici son témoignage :

Charles Halt

Juste après Noël, à 5 h 30 du matin, le 26 Décembre 1980, je me rendis au poste de police et le sergent en faction se mis à rire. Il indiqua que 2 ou 3 des hommes avaient donné la chasse aux ovnis. Rien, cependant, n'avait été jugé bon d'être noté sur le registre. Je lui dis malgré tout de le faire.

Lorsque le commandant de notre base arriva, nous plaisantâmes tous les deux. Aucun d'entre nous ne croyaient aux ovnis, mais nous décidâmes toute de même de jeter un oil sur la question. Avant d'en avoir l'occasion, 2 nuits plus tard, le commandant des airs en charge de la police de sécurité arriva en coup de vent au milieu d'une fête de Noël tardive, blanc comme un linge. "L'ovni est de retour" dit-il.

La forêt de Rendlesham  


On me demanda d'enquêter. Je revêtit un uniforme utilitaire et dirigea une jeep vers la lisière de la forêt. Une douzaine de nos hommes environ se trouvaient déjà là. Nos tout-lumière (de grosses lampes au gaz) ne fonctionnaient pas, et il y avait tant d'interférences statiques constamment sur nos radios que nous dûment installer un relais. Il rêgnait une agitation croissante, mais j'étais déterminé à leur montrer que tout cela n'avait pas de sens.

 

Je pris une demi-douzaine des hommes avec moi et leur ordonna de me suivre à pied dans les bois vers une clairière où l'incident initial était supposé avoir eu lieu. Nous y trouvèrent 3 traces sur le sol équidistantes les unes des autres et suffisamment enfoncées dans le sol sablonneux. Elles étaient supposées avoir été causées par l'objet aperçu 2 nuits auparavant, mais je ne vis rien cette nuit-là, et pas plus que quiconque, posé à cet endroit.

 

A l'intérieur de la zone triangulaire formée par les traces, un des hommes enregistra sur le compteur Geiger des lectures légèrement supérieures à celles effectuées à l'extérieur. Il photographia la zone, et je pris un échantillon du sol. Dans le même temps, j'enregistrais tout ceci sur mon enregistreur portable.

 

Nous savions que le rayon du phare d'Orford Ness venait du Sud-Est. Tout d'un coup, nous vîmes à l'est une lumière inhabituelle, rouge comme le soleil - de forme ovale, luisante, mais au centre noir - entre 3 et 5 m du sol, se déplaçant parmi les arbres. Après la clairière se trouvait une haie de barbelés, le champ, la maison et la grange d'un fermier. Les animaux faisaient beaucoup de bruit.

 

Nous courûmes vers la lumière jusqu'à la haie. Elle franchit le champ puis se déplaça selon un arc horizontal de 20 à 30 degrés. Etrangement, elle apparaissait comme de l'acier en fusion dégoulinant d'un creuset, comme si la gravité la faisait tomber d'une certaine manière. Soudain, elle explosa - pas une explosion fracassante, juste boompf - et se sépara en 5 objets blancs qui se dispersèrent dans le ciel. Tout, mis à part nos radio, sembla alors redevenu normal.

 

Nous nous rendîmes à l'extrémité de la propriété du fermier pour avoir un autre angle de vue. Nous observâmes au nord, peut-être à 20 degrés de l'horizon, 3 objets blancs - elliptiques, comme 1/4 de Lune mais un peu plus large - avec sur eux des lumières bleues, vertes et rouges, effectuant des mouvements angulaires précis. Les objets devinrent finalement plus ronds qu'elliptiques.

 

J'appelai le poste de commandement, et leur demanda d'appeler le Radar de l'Est, responsable de la défense aérienne sur ce secteur. Ils indiquèrent à 2 reprises n'avoir rien observé.

Soudain, au sud, un autre objet luisant se déplaça vers nous à grande vitesse, arriva dans les 30 m, puis s'arrêta. Un rayon de 15 à 20 cm de diamètre fut alors émis depuis cette chose jusqu'à nos pieds. Quelques secondes plus tard, l'objet s'éleva et disparu.

 

Les objets au Nord dansaient toujours dans le ciel. Au bout de 1 h environ, je donnais finalement l'ordre de rentrer. Nous laissâmes les choses ainsi.

 

Le film apparu comme voilé et nous ne pûmes rien en tirer. Cependant un sergent fit plus tard des moulages des empreintes, et j'ai toujours l'échantillon de sol en ma possession.

Aux alentours du nouvel an, je reçu des instructions et interrogea l'homme ayant pris part à l'incident initial. Les rapports étaient quasiment identiques.

 

Ils indiquaient en gros ceci : Dans les premières heures du 26 décembre, un homme de la base aérienne se rendit avec son véhicule à l'entrée arrière à Woodbridge pour une inspection sécuritaire de routine. Il observa des lumières dans la forêt, particulièrement une lumière rouge, et pensa qu'un avion s'était écrasé. Il fit son rapport par radio à la tour de contrôle qui indiqua qu'aucun vol n'était en cours.

Enfin un groupe fut envoyé vers la forêt. Il indiqua des bruits étranges - bruits d'animaux, de mouvement, comme nous en entendîmes 2 nuits plus tard.

 

Alors qu'il approchèrent de la clairière, ils indiquèrent avoir vu une grande lumière blanc-jaune avec une lumière rouge clignotante sur la partie centrale supérieure et une lumière bleue fixe émanant d'en-dessous. La tour de contrôle n'indiqua encore une fois aucun signal radar.

 

Quelques hommes s'approchèrent dans les 6 ou 8 m. Chacun rapporte la même chose - un objet métallique de forme triangulaire, dans les 3 m à sa base et de 2 m de hauteur, apparaissait comme installé sur un tripode. Ils se séparèrent et marchèrent autour de l'appareil. L'un des hommes essaya apparemment de monter sur l'appareil, mais, dit-il, celui-ci s'éleva.

 

Les 3 hommes tombèrent sur le sol lorsque l'appareil se déplaça rapidement en zigzag vers le champ au travers des bois, percutant des arbres dans son chemin. Ils se relevèrent et approchèrent à nouveau, mais l'objet s'éleva et disparu à grande vitesse.

 

J'écris finalement un mémo le 13 janvier 1981 au Ministère Britannique de la Défense. En dépit de mes efforts et à ma connaissance, aucune personne d'une quelconque agence gouvernementale ou de renseignement ne vint jamais sur la base pour enquêter.

 

Je n'ai jamais fait la lumière, pas plus que je ne l'ai cachée. Je n'ai jamais obtenu de quelconque bénéfice financier de cette interview et n'y consentit que pour dévoiler la vérité. Je ne sais ce qu'étaient ces objets, pas plus que je ne connais quelqu'un qui pourrait le savoir, mais c'est quelque chose d'encore inexpliqué qui arriva là.

 

En 1983, une copie du mémo de Halt au Ministère de la Défense Britannique est rendue publique grâce au FOIA. Peu après, une copie de la cassette de 18 mn enregistrée par Halt au cours de son enquête est remise à un ufologue par (d'après Halt) un autre officier de l'USAF. Ces deux documents font fureur dans la communauté ufologique.


http://www.ufocasebook.com/Rendleshammain.jpg


REMARQUES:

Plusieurs aspects de cette histoire la classent parmi les cas hautement intéressants:

1) L'officier commandant la base, un Lieutenant Colonel, rédigea un mémo officiel relatant les incidents à l'attention du ministère de la défense britannique. Ce mémo est maintenant dans le domaine public:

REFERENCES:
Titre: LUMIÈRES INEXPLIQUÉES.
Origine: Colonel Halt, US Air Force, base de Rendlesham
Destinataire: Officier commandant la base de Rendlesham
Date: 13 Janvier 1981
Longueur: 1 page.
Classification: Déclassifié.
  

 

Vous pouvez aussi ouvrir ce document au format Acrobat PDF  pour une meilleure lisibilité et une meilleure impression. Il s'agit donc d'un cas ou un gradé responsable d'une base aérienne témoigne et signe un récit absolument incroyable. L'ensemble de l'affaire rassemble des témoignages visuels au sol, aériens, de pilotes, de gradés, en grand nombre, mais aussi des traces radars, et des traces de radioactivité.


2) L'affaire suscita la colère de l'ancien ministre de la défense anglais qui s'en prit à ses successeurs et expliqua à la presse que les autorités militaires dissimulaient délibérément l'atterrissage d'un OVNI sur le sol anglais au public.


3) Il semble malheureusement aussi que l'importance de cette affaire suscita des interventions inappropriées d'ufologues intéressés par leur publicité personnelle.

Moulage de la trace de l'ovni

 
LE MEMO HALT EN TRADUCTION FRANCAISE:
DEPARTMENT DES FORCES AERIENNES

 


Un mémo à propos de l'incident de la forêt de Woodbridge/Rendlesham par Charles I. Halt, Lieutenant Colonel de l'USAF, et remplaçant le commandant de la base jointe de l'USAF et de la RAF à Woodbridge, Suffolk, Angleterre. Ce mémo à été rendu public suite au Freedom of Information Act des Etats-Unis en juin 1983.

 

Quartier général du 81eme groupe de support de combat (USAFE)

 

APO New York 09755

EN REPONSE DU 13 Jan 81

ATTN DE: CD


SUJET: Lumières inexpliquées.


A: RAF/CC

 

1. Tôt le matin du 27 décembre 80 (approximativement 0300L), deux hommes de patrouille appartenant à la police de sécurité virent des lumières inhabituelles à l'extérieur de l'entrée arrière de la base de la RAF à Woodbridge. Pensant qu'un avion s'était peut-être écrasé ou vu forcé d'atterrir, ils requirent la permission de sortir du terrain de la base pour s'en enquérir. L'officier de vol en service leur répondit et autorisa 3 hommes de patrouille à s'y rendre à pied. Les hommes rapportèrent qu'ils virent un étrange objet lumineux dans la forêt. L'objet était décrit comme d'apparence métallique et de forme triangulaire, la base mesurant deux ou trois mètres, et la hauteur d'environ deux mètres. Il illuminait toute la forêt d'une lumière blanche. L'objet lui-même avait une lumière rouge pulsante à son sommet et une rangée(s) de lumières bleues à sa base. L'objet était posé sur des pieds ou flottait au dessus du sol. Alors que les patrouilleurs s'en approchaient, il manoeuvra entre les arbres et disparut. A ces moments, les animaux de la ferme proche étaient pris de panique. L'objet fut vu brièvement à peu près une heure plus tard près de l'entrée arrière de la base.

 

2. Le lendemain, trois dépressions de 1.5 pouce de profondeur et de 7 pouces de diamètre furent trouvées à l'endroit ou l'objet fut aperçu au sol. La nuit suivante, les environs furent examinés pour trouver des traces de radiations. Des radiations Beta et Gamma de 0.1 milli-Roentgen furent enregistrées, avec des pics dans les trois dépressions et au centre du triangle formé par les dépressions. Un arbre proche donna des résultats modérés (.05-.07) sur sa face qui était en direction des trois dépressions.

 

3. Plus tard dans la nuit une lumière rouge ressemblant au soleil fut aperçue entre les arbres. Elle était en mouvement et pulsait. A un moment, elle parut éjecter des particules lumineuses, puis se cassa en 5 objets blancs séparés puis disparut. Toute de suite après, trois objet semblable à des étoiles furent remarqués dans le ciel, deux au Nord et un au Sud, tous les objets étant à 10 degrés à peu près au dessus de l'horizon. Les objets se déplaçaient rapidement par des mouvements à angles serrés et montraient des lumières rouges, vertes et bleues. L'objet au Nord paraissait elliptique vu à travers des jumelles de 8-12. Ils se changèrent alors en objets complètement circulaires. Les objets au Nord restèrent dans le ciel une heure ou plus. L'objet au Sud fut visible pendant deux ou trois heures et envoyait de temps en temps un rayon lumineux vers le sol. De nombreux individus, y compris le rédacteur de ce rapport, ont été témoins des activités décrites aux paragraphes 2 et 3.

 

CHARLES I. HALT, Lt Col, USAF

Commandant de la base par intérim

 

http://ufologie.net/htm/rendles0f.htm

 

TRANSCRIPTION DE LA BANDE DU LIEUTENANT-COLONEL HALT:
Investigations sur les lieux:


La transcription intégrale qui suit est celle de l'enregistrement sur bande effectué par le Lieutenant Colonel Halt lors de ses recherches sur l'incident de forêt de Rendlesham en décembre 1980. La transcription a été effectuée à partir de bande son originale, qui est beaucoup plus claire que celle du domaine public. Il a été fourni par le Colonel Sam Morgan, par l'intermédiaire du Général Gordon Williams.

 

L'autorisation de publier est accordée du moment que la source est mentionnée: Halt transcript from "You Can't Tell The People".

 

Notes:

Il y a des conversations par radio de fond dans tout l'enregistrement; la plupart des transmissions de radio se font entre Le Sergent Bustinza et Central Security Control. Du fait que ces messages sont entendus dans le fond ils sont souvent couverts par la voix du Colonel Halt parlant dans son enregistreur de poche, seuls les transmissions radio audibles sont transcrites ici. Les commentaires du rédacteur sont entre crochets.

LT COLONEL HALT: (Officier responsable) 150 pieds ou plus du départ, Je dirais, c'est le point d'impact suspecté. Avons quelques difficultés, n'arrivons pas a faire marcher la torche lumineuse. On dirait qu'il y a une sorte de problème mécanique. Renvoyons là et cherchons une autre torche. Pendant ce temps, nous allons faire quelques mesures avec le compteur Geiger, et nous balader, chercher dans le coin un peu, en attendant qu'on ait une autre lampe torche.

 

SGT BUSTINZA: [sur une radio en fond sonore, de toute évidence en train d'essayer d'organiser d'autres lampes-torches] ... au contrôle de la sécurité... c'est le modèle... 155... numéro...

 

LT COLONEL HALT: OK, nous approchons maintenant d'une zone de 25 - 30 pieds. Quel genre de mesure avons-nous... euh...

(Interruption de la bande)

 

SGT NEVILLES: (s'occupant du compteur Geiger) Juste quelques déclics mineurs.

 

LT. COLONEL HALT: Déclics mineurs.

(Interruption de la bande)

 

COMMENTAIRE AJOUTE: [Ces commentaires ajoutés ont été mixés par dessus l'enregistrement original et ne concernent pas l'incident. C'est la voix du Colonel Conrad, le Commandant de la base.] Est-ce que vous pensez qu'il va faire beau aujourd'hui?

 

COMMENTAIRE AJOUTE: Ah oui, je pense.

 

LT COLONEL HALT: Qu'est ce que c'est comme marques?

 

SGT NEVILLES: Juste une, mais...

 

LT COLONEL HALT: C'est ça leur taille?

 

SGT NEVILLES: Et bien, il y en a une de plus bien définie par ici.

 

SGT BUSTINZA: [sur la radio] ...Sergent Bustinza au contrôle de la sécurité...

 

LT COLONEL HALT: Nous avons toujours des déclics.

 

SGT BUSTINZA: ... Sergent Bustinza. Bon nous sommes en panne... Nous sommes à la porte Est... porte Est, over

 

LT COLONEL HALT: Pouvez-vous lire ça sur l'échelle de mesure?

 

SGT NEVILLES: [Examinant le secteur avec un compteur Geiger] Oui Sir. Nous utilisons maintenant l'échelle 5 dixièmes et nous lisons environ... euh ... troisième, quatrième...

 

LT COLONEL HALT: OK, nous sommes toujours à l'abri de risque ici?

 

SGT BUSTINZA: [sur la radio] Vous n'avez pas une torche ou [?] ... ou n'importe quoi... travail de sécurité. M'entendez-vous?... Sergent... Une torche, avec de l'essence, s'il vous plait.

 

LT ENGLUND: [Le Chef des Vols en service] Nous avons toujours des mesures mineures... Nous avons une bonne indentation.

 

SGT BUSTINZA: [A la radio] ... sécurité D à la sécurité.

 

SGT NEVILLES: Celle-là elle est morte.

 

LT ENGLUND: Allons à la troisième par là bas.

 

SGT NEVILLES: Une sorte de, quoi que ce soit.

 

SGT BUSTINZA: [on radio] ... Sergent Bustinza ... sécurité...

 

SGT NEVILLES: Oui, maintenant nous avons certains résiduels.

 

LT. COLONEL HALT: Comment pouvez vous lire ça? Les mesures donnent tout à fait une pulsion off.

 

LT ENGLUND: Au environs du centre.

 

LT COLONEL HALT: Oui, j'allais dire, allons au centre de la zone maintenant, voir quel genre de mesures nous aurons là bas. Continuez à lire les déclics. Je ne peux pas entendre les déclics. J'imagine que vous tous... Est-ce que c'est le centre, Bruce [le demandant au Lieutenant Bruce Englund].

 

LT ENGLUND: Oui.

 

LT COLONEL HALT: OK allons vers le centre.

 

SGT NEVILLES: Oui, j'en reçois plus...

 

LT COLONEL HALT: Ca c'est la meilleure déviation de l'aiguille que j'ai vu jusqu'à présent. OK, pouvez-vous faire une estimation? Nous sommes sur l'échelle zéro virgule cinq, nous avons... avons du mal à lire l'échelle.

 

LT ENGLUND: A euh, à peu près 01:25.

(Interruption de la bande)

(bruit: forte toux)

 

SGT NEVILLES: Nous avons des radiations à euh, un demi [mot qui semble être millirem]

 

UNKNOWN VOICE: Chuck. [Check est le prénom diminutif de Halt, Charles, diminutif Chuck].

(Interruption de la bande)

 

Bruit: Un fort bruit de gong. [Sans rapport avec l'enregistrement dans la forêt].

 

LT COLONEL HALT: ... meilleur endroit, je ne l'ai pas vu aller plus haut que ça.

 

LT ENGLUND: Et bien, y en a encore dans les environs.

 

LT COLONEL HALT: OK on va aller vers ...

 

LT ENGLUND: Maintenant ça monte...

 

LT COLONEL HALT: C'est là vers les indentation que nous avons eu d'abord la mesure la plus forte. C'est similaire à ce qu'on a eu au milieu.

 

SGT NEVILLES: Tout près du pied. C'est juste tout près du centre.

 

LT ENGLUND: Là ça ressemble a un endroit où il aurait pu y avoir un souffle d'explosion. C'est au centre.

 

LT ENGLUND: Ca à sauté vers sept...

 

LT COLONEL HALT: Quoi?

 

LT ENGLUND: Ca a juste sauté vers sept dixièmes là.

 

LT COLONEL HALT: Sept dixièmes, juste là au centre?

 

LT ENGLUND: Ah, Ah.

 

LT COLONEL HALT: Nous avons trouvé un petit trou, ça ressemble à un endroit soufflé par une explosion ou gratté, là. Nous avons des mesures très nettes. Voyons, est-ce que c'est près du centre?

 

LT ENGLUND: Oui, c'est près du centre.

 

SGT NEVILLES: C'est à dire, nous le supposons...

 

LT ENGLUND: C'est juste au centre... En plein au centre...

 

SGT NEVILLES: J'en prend plus pendant que j'avance dans tout la zone, maintenant...

 

LT COLONEL HALT: Jusqu'à sept dixièmes...

 

SGT BUSTINZA: [à la radio, essayant de s'en sortir avec les transmissions] ... 55, c'est notre dernier appel...

 

LT COLONEL HALT: ... ou sept unités. Ca va sur l'échelle zéro virgule cinq.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: OK, pourquoi ne pas faire ça, pourquoi ne pas faire un balayage maintenant, j'ai mis mes gants. Faisons un balayage sur toute la zone sur environ dix pieds et traçons un périmètre autour, en partant de nouveau juste là au coin, au coin par où nous sommes arrivés au début. Revenons juste là... maintenant je vais devoir compter sur toi pour le nombre de déclics.

 

LT ENGLUND: Correct.

 

LT COLONEL HALT: OK, amenez la torche dessus.

 

LT ENGLUND: Faisons un balayage tout autour.

 

SGT NEVILLES: Ca décollait.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: Mettez-le au sol régulièrement.

 

BACKGROUND: Nous avons les lumières pas loin...

 

LT ENGLUND: Ca ça ressemble à une abrasion sur cet arbre...

 

LT COLONEL HALT: OK, on va voir ça en revenant, faisons le tour.

 

LT ENGLUND: Ca devient intéressant juste par là-bas. On dirait qu'il y a une abrasion qui pointe en direction du centre...

 

LT COLONEL HALT: Oui, c'est ça.

 

LT ENGLUND: ... de la zone de l'atterrissage.

 

LT COLONEL HALT: Ca pourrait être plus vieux, cependant. Il y a comme des traces de sève ou quelque chose comme ça. Continuons à faire le tour.

VOIX INCONNUE: Euh...

(Interruption de la bande)

 

SGT NEVILLES: ça donne aussi quelques extensions là dessus.

 

 

LT COLONEL HALT: Hé, c'est un drôle de machin à utiliser, pas vrai?

SGT NEVILLES: Normalement, tu vois, j'en porte un dans... sur mes oreilles, mais celui-là s'est cassé.

 

LT COLONEL HALT: Est-ce qu'on avance? Je vais éteindre ce magnétophone jusqu'à ce qu'on trouve quelque chose.

 

SGT NEVILLES: Je détecte.

 

LT COLONEL HALT: Tu détectes. On en est où? On est monté à deux-trois unités de déflection. Es-tu arrivé près du pied?

 

SGT NEVILLES: Je détecte quelque chose... je détecte.

 

LT COLONEL HALT: OK. Ca ne monte toujours pas au-dessus de trois ou quatre unités.

 

SGT NEVILLES: Je détecte plus pourtant, plus fréquemment.

 

LT COLONEL HALT: Oui, tu restes, tu restes régulier à deux ou trois unités pour le moment.

 

SGT BUSTINZA: [se bagarrant toujours avec la radio] 155

 

LT ENGLUND: Chacun de ces arbres fait face à un souffle explosif, de ce que nous assumons être un site d'atterrissage, toutes les abrasions sont dans la même direction vers le centre. La même...

 

LT COLONEL HALT: Parcourons un cercle ici. Revient vers là.

 

MASTER SGT BALL: Regarde sur l'autre arbre.

 

SGT NEVILLES: Je détecte quelque chose... un...

 

LT COLONEL HALT: Fais-moi voir ça. Tu sais j'ai un drôle de... tu es préoccupé par l'abrasion. Je n'ai jamais vu un arbre qui, euh...

 

MASTER SERGEANT BALL: C'est une petite marque de sève.

 

LT COLONEL HALT: Je n'ai jamais vu un pin qui, ayant été endommagé, aurait réagi si vite. [Interférences, voix de gens parlant tous en même temps].

 

SGT NEVILLES: Vous avez une bouteille pour mettre ça dedans?

 

LT COLONEL HALT: Vous avez une bouteille pour un échantillon?

 

LT ENGLUND: Oui, sortez la... Ca c'est pour l'échantillon de sol... [interférences].

 

SGT NEVILLES: Oui Sir.

VOIX: [excitées]

 

LT COLONEL HALT: A partir de maintenant nous allons [trou] Nous allons...

 

LT ENGLUND: Vous remarquerez qu'ils sont tous pareils...

 

LT COLONEL HALT: Nous allons, identifier cela comme étant le point numéro un. Ce pieu là. Comme ça vous savez tous où il est si nous devons faire un schéma. Vous l'avez, sergent Nevilles?

 

SGT NEVILLES: Oui Sir. Le plus proche de Woodbridge...

 

LT COLONEL HALT: Le plus proche de la base de Woodbridge.

 

SGT NEVILLES: Sera le point numéro un?

 

LT COLONEL HALT: Sera le point numéro un. Déplaçons-nous dans le sens des aiguilles d'une montre partir de là.

 

SGT NEVILLES: Point deux?

 

LT ENGLUND: Allez-y...

 

LT COLONEL HALT: Point deux. Donc cet arbre est entre les points deux et trois.

 

MASTER SGT BALL: Burroughs et deux autres membres du personnel demandent ... en jeep, que euh, votre position. [L'homme de l'armée de l'air, John Burroughs, arrive avec une patrouille].

 

LT COLONEL HALT: Dites leur négatifs pour le moment. Nous leur dirons quand ils peuvent venir ici. Nous ne voulons pas les avoir ici pour le moment.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: Ok, l'échantillon, vous voulez cet échantillon numéro un? Coupez-en un bout, prenez un peu de cette sève et tout ça... c'est entre les indentations deux et trois sur un arbre de pin, euh, environ... environ cinq pieds de distance ... à environ trois pieds et demi au-dessus du sol.

 

SGT NEVILLES: ...Je vais le mettre là dedans pour le moment, j'en ai encore...

 

LT COLONEL HALT: Il y a une abrasion ronde sur l'arbre d'environ trois et demi à quatre pouce de diamètre. On dirait que ça pourrait être ancien, mais heu, bizarre, il y a... une sève de pin cristalline qui est venue assez vite.

 

SGT FRAIL: [semble être éloigné] ... Sergent Frail...

 

LT COLONEL HALT: Vous dites qu'il y a d'autres arbres qui sont endommagés de cette façon?

 

LT ENGLUND: ... centre du site d'atterrissage... [interférence].

 

LT COLONEL HALT: OK, pourquoi ne prendrais-tu pas une photode ça et rappelle-toi la photo. Hé, j'espère que tu notes ça. Ca va être sur la bande.

 

SGT NEVILLES: Vous avez un mètre ruban sur vous?

 

LT COLONEL HALT: C'est votre image, la première image sera au premier arbre, celle entre... les marques deux et trois. En attendant, je vais regarder quelques-un de ces arbres par là bas.

(Interruption de la bande)

 

UNKNOWN VOICE: Nous avons des...

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: Nous avons des mesures de radiations sur l'arbre. Vous prenez des échantillons sur la face du site supposé de l'atterrissage?

 

LT ENGLUND: Quatre déclics maximum.

 

LT COLONEL HALT: Jusqu'à quatre. Intéressant. C'est exactement là où vous prenez l'échantillon maintenant.

 

LT ENGLUND: Quatre.

 

LT COLONEL HALT: C'est le point le plus fort sur l'arbre?

 

SGT NEVILLES: Oui sir, et si vous mesurez sur l'autre face, il n'y a plus de déclics du tout.

 

LT COLONEL HALT: Plus de déclics du tout sur l'autre face.

 

SGT NEVILLES: Peut-être un ou deux.

 

LT COLONEL HALT: C'est sur le côté qui fait face au... intéressant.

 

LT COLONEL HALT: On dirait que c'est comme... tordu comme c'est... comme s'il s'était reposé dessus, on dirait quelque chose tordu d'une côté puis de l'autre.

 

LT ENGLUND: Ah, Ah

 

LT COLONEL HALT: Très étrange. Nous sommes au même arbre où nous avons pris un échantillon avec ceci, comment l'apellez-vous... le starscope.

 

LT ENGLUND: Ah ah, Stargazer

 

LT COLONEL HALT: Obtenant une nette réflexion de chaleur depuis l'arbre, à environ trois à quatre pieds au-dessus du sol?

 

LT ENGLUND: Oui... Le même côté de...

 

LT COLONEL HALT: L'endroit où se trouve le...

 

LT ENGLUND: ...nous détectons de la chaleur juste derrière nous. Je pense que nous avons eu la même chose vers votre droite.

 

LT COLONEL HALT: Il y a trois arbres dans le secteur immédiatement à côté de l'emplacement à moins de dix pieds de l'emplacement de l'atterrissage suspecté; nous détectons de la réflexion de chaleur venant des arbres.

 

LT ENGLUND: Dirige la lumière vers ça, Bob [Sgt Bob Ball]

 

LT COLONEL HALT: Pardon?

 

LT ENGLUND: Bon, dirige la lumière vers ça, Bob

 

LT COLONEL HALT: Mince, j'ai du mal à le trouver... allumez la lumière.

 

LT ENGLUND: ... alors quand tu voudras tu verra le blanc

[Soudainement il y a un étrange bruit de bourdonnement et les hommes restent silencieux]

 

LT COLONEL HALT: Hé... [Long silence, excepté le son de bourdonnement]

 

LT COLONEL HALT: Tu as raison il y a une marque blanche sur l'arbre.

 

LT ENGLUND: ça indique que, euh...

 

LT COLONEL HALT: tournons autour et regardons cet arbre ici maintenant. Juste une seconde. Regardez, parce que vous avez raison, devant l'arbre. Je peux le voir. OK, me donnez-moi un peu de lumière latérale ainsi je pourrais trouver l'arbre. OK, aah...

 

SGT BUSTINZA: [still on the radio] Alpha 2 Sécurité...

 

LT COLONEL HALT: J'ai perdu l'arbre.

 

LT COLONEL HALT: OK stop! Stop! Eteignez la lumière. Hé, ça c'est fantastique.

 

MASTER SGT BALL: Pourquoi ne pas faire les points...

 

LT COLONEL HALT: ça c'est bizarre! Hé, est-ce que quelqu'un veut regarder les taches sur le sol? Oups! Attention ne marchez pas dessus...

BACKGROUND: Cinq coups de klaxon d'un véhicule arrivant sur les lieux.

 

LT COLONEL HALT: ... tu marches dessus. OK, reculons et ne marchons pas partout dessus. Tu vas devoir revenir sur environ dix, quinze pieds. Tu le vois ...

 

LT ENGLUND: OK bien...

 

LT COLONEL HALT: OK, éteignez les lumières.

(Interruption de la bande)

 

VOICE OVER: [Colonel Conrad] Ca a pris tout ce temps de documenter...

 

LT COLONEL HALT: Qu'est ce que tu penses à propos du point?

[Interférences radio en fond sonore]

 

LT COLONEL HALT: Ouais.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: ...prêt au premier endroit? OK, c'est ce que nous allons appeler le point numéro trois. Entrons dans le coin arrière et prenons le point numéro un. Repérez le numéro un, voilà le point numéro un là, point numéro un là. Avez-vous besoin d'un peu de lumière? Là, le voilà, il est exactement ici... Vous l'avez?

 

SGT NEVILLES: Au point.

 

LT COLONEL HALT: OK... Regardons le point numéro un avec l'écran du starlight.

 

LT ENGLUND: Je détecte une légère augmentation de lumière tandis que je passe dessus.

 

LT COLONEL HALT: Légère augmentation de lumière au point numéro un. Voyons le point numéro deux. Le point numéro deux est juste là-bas. Là-bas, vous le voyez?

 

LT ENGLUND:... Légère augmentation.

 

LT COLONEL HALT: OK, focalisez-vous dessus. Dites-moi quand, OK, lumières allumées. Voyons ce que cela nous donne là-dessus.

 

LT ENGLUND: Légère augmentation.

 

LT COLONEL HALT: Juste une légère augmentation?

 

LT ENGLUND: Essayer le centre.

 

LT COLONEL HALT: Le point au centre pas vraiment le centre, un peu décentré. C'est juste là.

 

LT ENGLUND: Juste là.

 

LT COLONEL HALT: OK, nous allons prendre ta mesure juste là-dessus.

 

LT ENGLUND: OK.

 

LT COLONEL HALT: Dis-moi quant tu es prêt.

 

LT ENGLUND: Prêt.

 

LT COLONEL HALT: OK, éclairez. C'est le point central que nous examinons maintenant; presque le centre.

 

LT ENGLUND: Je capte une légère augmentation.

 

LT COLONEL HALT: Légère augmentation là. C'est une certaine sorte d'abrasion où quelque chose dans le sol où les aiguilles de pins sont repoussées vers là où nous avons une forte radioact... Euh, une forte mesure d'une déflection de euh, deux à trois ou peut-être quatre, selon le point dessus.

Note: [Cette abrasion correspond À exactement la même position, juste un peu décentré, telle que sur les photographies du site d'atterrissage prises par Ray Gulyas]

 

LT ENGLUND: Quelqu'un veut vérifier ça?

(Interruption de la bande)

 

SGT NEVILLES: Oui.

 

LT COLONEL HALT: Etes-vous sûrs qu'il y a un effet positif?

 

SGT NEVILLES: Oui, absolument. C'est sur le point au centre, il y a un effet.

 

LT ENGLUND: Qu'est-ce que cela signifie?

 

SGT NEVILLES: Cela signifie que quand les lumières sont éteintes, une fois que nous nous focalisaient tout dessus, en laissant le temps à nos yeux à s'accoutumer [à l'obscurité] nous obtenons une indication d'une source de chaleur sortant de cette tache centrale... comme euh... qui apparaîtra sur le...

 

LT COLONEL HALT: De la chaleur ou une certaine sorte d'énergie, ce n'est pas strictement de la chaleur à ce point de la partie.

 

SGT NEVILLES: Mais c'est tout de même de la chaleur...

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: En regardant directement depuis au-dessus, on peut voir une ouverture dans les arbres, plus certaines branches de pin fraîchement cassées sur la terre dessous. Il semble que certaines d'entre elles soient tombées d'environ quinze à vingt pieds de haut. Quelques petites branches ont à peu près un pouce ou moins de diamètre.

 

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 01:48. Nous entendons des bruits étranges venant de chez les fermiers...

 

SGT NEVILLES: Vingt huit... sept...

 

LT COLONEL HALT: ... animaux de la ferme. Ils sont très actifs et font un vacarme d'enfer.

 

SGT NEVILLES: ... définitivement une pigmentation...

 

LT COLONEL HALT: Vous avez vu une lumière? Doucement. Où ça, où ça?

 

SGT NEVILLES: Juste à cette position là. droit devant à travers les arbres... [Adrian Bustinza a indiqué que quelqu'un avait vu une lumière se déplaçant entre les arbres]

 

LT ENGLUND: Là voilà encore... elle commence dans l'ouverture... juste là.

 

SGT NEVILLES: Ca la fiche mal pour ma lampe torche là.

 

LT COLONEL HALT: Hé, je la vois aussi. Qu'est-ce que c'est?

 

SGT NEVILLES: Nous ne savons pas, Sir.

 

LT COLONEL HALT: OK, c'est une étrange petite lumière rouge, elle semble être à un quart, un demi mile, peut-être plus éloignée. Je vais éteindre pour un...

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: La lumière est partie maintenant. Elle était à environ 120 degrés du site.

 

SGT NEVILLES: Elle est revenue.

 

LT COLONEL HALT: Elle est revenue?

 

SGT NEVILLES: Oui Sir.

 

LT COLONEL HALT: Bon, baissez les lampes-torches alors. Allons de nouveau au bord de la clairière, ainsi nous pourrons obtenir une meilleure vue sur elle. Voyez si vous pouvez braquer le starscope là-dessus. La lumière est toujours là et tous les animaux de la ferme sont devenus silencieux maintenant. Nous nous dirigeons vers environ 110 - 120 degrés de l'emplacement, hors de la clairière maintenant. Obtenons toujours une lecture sur l'appareil d'environ 2 déclics. Les aiguilles ont sauté à 3-4 déclics, devenant plus fortes. [Bustinza dit que quand il est retourné avec le projecteur la patrouille était dans une clairière sur le bord de la forêt]

 

SGT NEVILLES: Maintenant ça s'est arrêté. Maintenant cela monte. Attendez, ça y est. Maintenant ça monte environ à approximativement 4 pieds au-dessus du sol. La boussole a 110 degrés.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: Bon, j'ai juste arrêté l'appareil. Je redis ça, ça sera mieux, à environ 4 pieds outre de la terre, environ 110 degrés, obtenant la lecture d'environ 4 déclics.

SERGEANT NEVILLES: Oui Sir... [????] (toux); excusez-moi, maintenant ça c'est éteint.

 

LT COLONEL HALT: Je ... Je pense que c'est quelque chose là sur le sol. Je pense que c'est quelque chose ... de très grand...

 

SGT NEVILLES: ... un arbre droit sur...

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: Nous nous sommes juste confrontés à la première lumière que nous avons vue. Nous sommes à environ 150 - 200 yards de l'emplacement. Tout à part ça est dans un calme de mort. Il n'y a aucun doute à ce sujet, il y a là une certaine sorte de lumière rouge de clignotante en avant.

 

SGT NEVILLES: Ouais, c'est jaune.

 

LT COLONEL HALT: J'y ai vu une sorte de teinte jaune dessus moi aussi. Bizarre. Cela semble venir un petit peu par là?

 

SGT NEVILLES: Oui Sir.

 

LT COLONEL HALT: C'est plus clair qu'avant... Cela vient par là. C'est vraiment en train de venir par là.

 

MASTER SERGEANT BALL: Des parties en jaillissent.

 

LT COLONEL HALT: Des parties en jaillissent.

 

MASTER SERGEANT BALL: A environ 11 heure... [à la position relative 11 heures]

 

LT COLONEL HALT: Aucune doute là-dessus; c'est vraiment étrange.

 

MASTER SGT BALL: Regardez vers la gauche.

 

SGT NEVILLES: Il y a deux lumières. Une vers la droite et une vers la gauche.

 

LT COLONEL HALT: Gardez votre lampe-torche éteinte. Il y a quelque chose de vraiment très très étrange.

Vérifier votre casque si ça devient plus fort. Donnez-nous...

 

SGT NEVILLES: OK, j'ai une indication qu'il y a une vague mesure là aussi.

 

LT COLONEL HALT: Une vague mesure?

 

SGT NEVILLES: Le câble a été enlevé.

 

LT COLONEL HALT: OK... des pièces tombent encore de ça.

 

MASTER SERGEANT BALL: Il vient juste de se déplacer vers la droite... est parti vers la droite.

 

LT COLONEL HALT: Ouais ... étrange, wow.

 

LT ENGLUND: Parti vers la droite.

 

LT COLONEL HALT: Bizarre. Ahhh. Encore un à gauche. Allons vers le bord de la forêt maintenant. Est-ce qu'on peut sans les lumières? Faisons cela prudemment, allons-y... OK, nous regardons la chose, nous sommes probablement à près de 2-3 centaines de yards de distance. Ca ressemble à un oeil qui vous ferais des clins d'oeil, ça bouche toujours d'un côté à l'autre, et quand on a mis le starscope dessus, ça a une sorte de centre creux, oui, un centre sombre, c'est...

 

LT ENGLUND: C'est comme une pupille...

 

LT COLONEL HALT: C'est comme la pupille d'un oeil vous regardant, clignant de l'oeil. et le flash est si lumineux au starscope, qu'il euh... qu'il vous brûle presque les yeux.

(Interruption de la bande)

 

Note ajoutée:

[Il y a là sur la bande une grande partie manquante et aucune indication de ce qui s'est produit ensuite.]

 

LT COLONEL HALT: Nous avons passé la maison du fermier et traversons le champ qui la suit et nous avons maintenant des observations multiples de jusqu'à cinq lumières avec une forme semblable et tout ça, mais elles semblent continues plutôt que de pulser une lumière rouge clignotante. Nous avons juste traversé la crique...

 

LT ENGLUND: Nous y voilà...

 

LT COLONEL HALT: Quelles sortes de mesures obtenons-nous maintenant? Nous obtenons trois bons déclics sur l'appareil et nous voyons des lumières étranges dans le ciel.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 02.44: Nous sommes sur l'extrémité des fermes, le champ du deuxième fermiers et nous faisons encore une observation à environ 110 degrés. Cela semble loin du côté de la côte. C'est exactement sur l'horizon. Cela fait quelques mouvements et clignote de temps en temps. C'est toujours continu et de couleur rouge. En outre, après les mesures négatives dans le champ, nous détectons de légères lectures de 4-5 déclics maintenant sur l'appareil.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 3.05: Nous voyons d'étranges, euh, flashes comme des stroboscope à euh... c'est presque sporadique, mais il y a pour sûr quelque chose là, une certaine sorte de phénomènes. 3.05: A environ euh... 10 degrés de l'horizon directement au nord, nous avons eu deux objets étranges, euh, en forme de demi-lune, dansant de ci, de là, avec des lumières colorées sur eux mais euh, ça devait être à environ 5 à 10 milles de distance, peut-être moins. Les demi-lunes se sont maintenant transformées en cercles entiers comme s'il y avait eu une éclipse ou quelque chose là pendant une minute ou deux.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 3.15: Maintenant nous avons un objet à environ 10 degrés droit vers le Sud...

 

SGT NEVILLES: Il y en a un à gauche.

 

LT COLONEL HALT: 10 degrés au-dessus de l'horizon, et ceux qui sont au Nord se déplacent, l'un d'eux s'éloigne de nous.

 

SGT NEVILLES: Il se déplace rapidement.

 

LT COLONEL HALT: Ils se déplacent rapidement.

 

MASTER SGT BALL: Il y en a un à droite qui file aussi vers le lointain.

 

LT COLONEL HALT: Ouais, ils vont tous les deux vers le Nord. Hé, le voilà qui vient du Sud, il vient vers nous maintenant.

 

MASTER SERGEANT BALL: Merde.

 

LT COLONEL HALT: Maintenant nous observons ce qui semble être un rayon descendant vers le sol.

[Cris d'excitation dans le fond sonore]

 

MASTER SGT BALL: Regardez ces couleurs... merde...

 

LT COLONEL HALT: Ca c'est incroyable.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 3.30: Et les objets sont toujours dans le ciel, quoique celui qui est au Sud semble perdre un peu d'altitude. Nous faisons demi-tour et nous revenons vers la base. L'objet au Su... l'objet au Sud est toujours en train d'envoyer des lumières vers le sol.

(Interruption de la bande)

 

LT COLONEL HALT: 0:40 heure. Un des objets est toujours stationnaire au-dessus de la base de Woodbridge à environ 5-10 degrés au-dessus de l'horizon. Il fait toujours des mouvements erratiques et envoie des lumières vers le sol comme avant.

(Fin de la transcription)

 

http://ufologie.net/htm/rendlestapef.htm

 

 

L'INCIDENT DE RENDLESHAM DANS LA PRESSE DE 1996:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The Daily Mail, Londres, R-U., auteur Nick Pope, le 15 mai 1996.

 

Une intelligence a visité les bois - son origine n'était pas terrestre


A trois heures du matin du 27 décembre 1980, les hommes de deux patrouilles de la sécurité en inspection de routine du périmètre de la base aérienne RAF/USAF à Woodbridge dans le Suffolk ont vu des lumières brillantes parmi les arbres de la forêt adjacente de Rendlesham. Leur première interprétation avait été qu'un avion pourrait avoir dépassé ou mal situé la piste et foncé dans les arbres, bien qu'ils n'aient entendu aucun bruit. Ils ont demandé la permission d'aller au-delà des portes du camp, ce qui leur a été dûment accordée. Dans la forêt il est bientôt apparu clairement que l'objet n'était aucunement un avion. Ils ont vu un engin métallique, triangulaire, différent de tout ce qu'ils avaient vu avant et l'avaient poursuivi parmi les arbres. Et ce n'était pas tout.

 

Deux nuits plus tard, il y avait eu une observation semblable, et une équipe plus nombreuse, menée par le commandant adjoint de la base, le Lieutenant-Colonel Charles Halt de l'Armée de l'Air des Etats-Unis, est sortie pour se rendre compte.

 

Hall et son équipe ont avancé dans la forêt, laissant d'autres hommes à proximité de lumières puissantes, appelées des "éclaire-tout" [light-alls] chez les militaires, qui avaient été apportées pour éclairer la scène. Leur équipement s'est comporté étrangement. Bien que le magnétophone, le compteur de Geiger et les appareils de vision nocturne aient parfaitement fonctionné, chacun des trois projecteurs a subi des interférences. Les éclaire-tout ont refusé de fonctionner.

 

Il est impressionnant d'entendre l'enregistrement de 18 minutes fait par Halt et son équipe tandis qu'ils traçaient leur chemin à travers les broussailles à moins de 150 mètres de la source lumineuse.

 

"Etrange lumière rouge clignotante vue."

 

"Non, c'est jaune."

"Bizarre."

"Ca vient vraiment par là."

 

Halt s'est très bien rappelé la lumière les années suivantes: "elle palpitait comme si c'étaient un oeil vous faisant des clins d'oeil et autour des bords il a semblé y avoir des coulées de métal fondu. Me voici, haut fonctionnaire, qui habituellement nie cette sorte de chose et travaille à les debunker, et je me retrouve au milieu de quelque chose que je ne puis pas expliquer."

 

Ce qu'il ne pouvait pas expliquer était que la lumière mobile, maintenant rouge, maintenant jaune, a soudainement éclaté en morceaux, chacun d'eux d'une lumière blanche, et a alors disparu. Immédiatement, il a vu trois objets dans le ciel, comme des étoiles, sauf qu'ils ont dégagé une lumière rouge, verte et bleue et ont filé dans toutes les directions avec des mouvements vifs, à angles brusques. Ceux au nord ont semblé elliptiques une fois vus à travers un télé-objectif, mais leur forme a changée en cercles pleins.

 

Ils ont été visibles pendant deux ou trois heures et ont de temps en temps envoyé vers le bas des faisceaux de lumière ou d'énergie - Halt ne peut pas dire. Son scepticisme a disparu. "J'étais vraiment stupéfait", admet-il.

Un mile plus loin, John Burroughs de l'aviation des Etats-Unis était avec son véhicule, encore en train de tenter de réparer les éclaire-tout en panne. Un éclair bleu est passé près de lui à hauteur de tête et les projecteurs se sont allumés. La lumière a traversé les fenêtres ouvertes de son camion et a disparu dans la distance. Alors les projecteurs se sont éteints.

 

Larry Warren, de l'aviation des Etats-Unis était avec une autre équipe. Il peut encore indiquer exactement l'endroit précis où il a vu la lumière, en un cercle de brume étrange, dans un champ. Tout le champ avait été illuminé par une lumière brillante. Une boule rouge incandescente s'est approchée à travers champ et Warren a d'abord pensé que c'était un avion A-10 arrivant pour atterrir. Mais elle s'est arrêtée au-dessus du cercle de brume et a éclaté, sans bruit, sans chaleur, en une galaxie de lumières colorées.

 

D'une façon ou d'une autre - et Warren était incapable d'expliquer comment - la vapeur de brume et les lumières colorées se sont transformées en un objet structuré. Il a estimé avoir 30 pieds de large à sa base et 20 pieds de haut.

 

Il y avait une rangée de lumières bleues à son dessous et la chose entière a brillé avec un effet d'arc-en-ciel ou un effet perlé, si lumineux qu'il était difficile de le regarder.

 

Il y a également des rapports d'animaux d'une ferme locale pris de frénésie. Le rapport de Halt mentionne que des contrôles faits le lendemain dans les régions boisées. Trois dépressions de 1,5 pouces de profondeur et 7 pouces de diamètre ont été trouvé dans le sol dans les bois. Les mesures au sol sur le compteur Geiger étaient de 25 fois le niveau normal.

 

Un voile de secret est tombé sur Rendlesham. Des vols non-programmés sont arrivés et sont repartis. On a dit aux gens de se taire et d'oublier les lumières. Même Halt a été laissée dans l'ignorance. Son supérieur lui a dit de faire parvenir son rapport au Ministère de la Défense, ce qu'il a fait. Mon prédécesseur au bureau des OVNIS ne semble pas avoir accusé réception. Déconcerté et fâché, Halt attend toujours sa réponse de notre part 15 ans après.

 

Que s'est-il réellement produit à la forêt de Rendlesham? Le chroniqueur scientifique Ian Ridpath propose que les lumières dans les arbres aient été en réalité le phare d'Offord Ness, à six miles de distance. Les indications temporelles sur la bande enregistrée de Halt correspondent aux rythmes du phare. Mais, comme Halt l'a indiqué, un phare n'éclate pas, ne change pas de forme, n'envoie pas des faisceaux de lumière vers le bas.

Nous n'avons aucune preuve qu'un engin extraterrestre a atterri dans la forêt de Rendlesham, mais nous n'avons aucune preuve que cela ne s'est pas passé. Clifford Stone, un ancien officier de renseignement, croit que Washington a la réponse et la garde secrète. Une technologie fortement avancée est apparue en ces bois et il y avait une intelligence en action. "Cette intelligence," dit Stone, "n'a pas son origine sur Terre." 

 

http://ufologie.net/press/dailymail15may1996f.htm

 

BASE RAF-USAF DE WOODBRIDGE:

Les passages suivants à propos des incidents de la forêt de Rendlesham proviennent de "The UFO Encyclopedia", compilée et éditée par John Spencer, Headline Books, ISBN 0-7472-3494-9.]


En décembre 1980 il fut affirmé qu'un OVNI au sol fur observé dans la forêt de Rendlesham à l'extérieur de l'entrée arrière de la base aérienne RAF/USAF de Woodbridge au Suffolk, en Angleterre.

 

Il y a des rapports variés et contradictoires sur ce qui s'est passé lors de la nuit. Selon le rapport officiel de l'officier commandant la base par intérim, le Lieutenant-Colonel Charles Halt, deux policiers de la sécurité virent des lumières au-delà de la porte arrière de la base et demandèrent la permission de vérifier sur place s'il s'agissait d'un avion qui se serait écrasé. Trois hommes s'y rendirent et rapportèrent avoir vu un objet brillant dans la forêt, décrit de forme triangulaire, de 2m50 de base et 1m80 de hauteur, émettant une puissante lumière blanche. D'autres rapports mentionnent des lumières vertes ou bleues en divers points de l'engin. Il semblait soit flotter au-dessus du sol soit reposer sur des pieds courts, et quand les hommes s'en approchèrent, il manoeuvra lentement entre les arbres en passant près d'une ferme proche dont les animaux furent pris de panique, puis disparut très rapidement dans le ciel. Cependant il fut encore brièvement aperçu une heure après.

 

Un enquête le lendemain permit de découvrir des traces au sol qui pourraient avoir été causées par des pieds de l'engin.

 

Il y eut encore d'autres histoires se rapportant à cette nuit, l'une d'elle est que le commandant de la base le chef d'escadre Gordon Williams aurait été présent lors de l'enquête et aurait communiqué télépathiquement avec des extraterrestres transportant des pièces de rechange pour leur engin.

 

On prétend aussi que de nombreux films et photographies auraient été effectués puis tous confisqués par les gradés, et n'ont jamais pu être diffusés auprès du grand public.

 

Des enquêteurs examinant ces affirmations obtinrent des interviews avec deux des patrouilleurs qui virent l'OVNI dans la forêt, l'un nommé John Burroughs et l'autre souhaitant rester anonyme à qui l'on attribua le pseudonyme de James Archer. Leur histoire est globalement conforme au rapport du commandant en second de la base. Archer nie avoir vu des extraterrestres mais affirme avoir vu des silhouettes à l'intérieur de l'objet duquel il s'approcha jusqu'à un mètre, et commenta: "je ne sais pas ce qu'ils étaient mais ces silhouettes n'avaient pas l'air humaines. Peut-être ressemblaient-ils à des robots".

 

L'un des membre de la sécurité de la base de Woodbridge, le sergent Adrian Bustinza, se présenta après la parution de l'ouvrage "Skycrash" par Jenny Randles, Brenda Butler et Dot Street, et raconta sa version détaillée des événements dans la forêt cette nuit là. Dans les grandes lignes, son récit correspond lui aussi au rapport du Lieutenant-Colonel Halt. Il décrit l'objet comme apparaissant au travers d'une sorte de brume jaune "telle que je n'en avais jamais vu jusqu'alors" et que l'ensemble était d'une taille démesurée, il se demandait comment tout cela avait pu s'introduire dans la petite clairière. L'une des incohérences majeures entre son récit et le rapport officiel est qu'il décrit un engin de la forme d'une soucoupe alors que tous rapportent un engin triangulaire, ce qui jette des doutes sur l'ensemble de l'histoire puisque dans tous les cas il s'agit de témoignages visuels uniquement.

 

On prétend également qu'il y aurait une bande magnétique enregistrée par le Lieutenant-Colonel Halt et ses hommes pendant qu'ils étaient sur le terrain, qui aurait été diffusée par l'officier qui commandait précédemment la base, le Colonel Sam Morgan. Sur cette bande plusieurs voix peuvent être entendues dont celle du Lieutenant-Colonel Halt qui décrit ce qu'ils sont censés voir en poursuivant l'objet à travers les bois.

Alors qu'il était sommé de fournir des explications par le précédent chef de la défense, l'amiral de la flotte Lord Hill-Norton, le ministre d'état de la défense, Lord Heseltine, lui fit répondre par l'entremise de son chef de cabinet Lord Trefgarne, que "les événements auxquels vous vous référez n'ont pas d'importance en ce qui concerne la défense".

 

Lord Hill-Norton répliqua qu'il semble important pour la défense de savoir si, soit un objet volant non identifié pouvait se permettre de violer l'espace aérien britannique et se poser près d'une base militaire, soit si le commandant par intérim d'une base militaire se mettait à faire des rapports inventés de toutes pièces à propos de tels événements. Le Lieutenant Colonel (promu Colonel) Halt a entièrement confirmé par la suite l'authenticité de son rapport. Il a aussi affirmé: "Il y a de nombreuses choses qui ne figurent pas dans mon mémo".

 

LE LIEUTENANT-COLONEL CHARLES HALT:


Probablement le témoin le plus important dans l'affaire de la rencontre de la forêt de Rendlesham au Suffolk en 1980. Il était alors le commandant par intérim de la base aérienne commune é la RAF et à l'US Air Force de Woodbridge et son grade dans l'US Air Force était celui de Lieutenant-Colonel.

 

Son implication initiale dans cette affaire fut la rédaction d'un rapport à l'attention du ministère anglais de la défense en Janvier 1981 décrivant la façon dont une patrouille de la sécurité de la base poursuivit une lumière dans la forêt à l'arrière de la base, pensant qu'il pourrait s'agir d'un avion écrasé au sol. Dans son rapport, Halt résume les découvertes de la patrouille: ils ont rencontré un objet d'apparence métallique et de forme triangulaire de 2m50 de large et d'1m80 de haut orné d'une variété de lumières vertes et bleues et émettant lui-même une lumière blanche. L'objet était apparemment posé sur des pieds ou flottant légèrement au-dessus du sol, des traces de pieds étant découvertes sur place le lendemain. Le rapport mentionne aussi que des mesures de radioactivité donnèrent des résultats positifs à l'emplacement de ces traces de pieds de l'engin.

Le rapport du Lieutenant-Colonel Halt fut porté à la connaissance du grand public du fait du "Freedom of Information Act" aux Etats-Unis, suite à une demande du CAUS (Citizens Against UFO Secrecy, les citoyens contre le secret sur les OVNIS).

 

Malgré ce rapport d'un officier très haut placé et gradé, le ministère britannique de la défense fit répondre à une demande d'éclaircissement émise par le précédent ministre de la défense Lord Hill-Norton, que l'événement était "insignifiant en regard de la défense nationale".

 

Lord Hill-Norton fut peu impressionné par cette réponse et répondit en soulignant que "A moins que le Lieutenant-Colonel Halt n'ait été saisi de folie, il y a là toute matière de preuve que l'espace aérien britannique ait été pénétré par un intrus non-identifié et qu'aucune action n'avait pu détecter ou empêcher cette intrusion". Il ajoutait que si Halt avait menti, la preuve d'une telle incapacité mentale d'un officier commandant une base aérienne était en soit également "signifiants en regard de la défense".

 

ADRIAN BUSTINZA:
Un autre témoin important est le sergent Adrian Bustinza de Woodbridge. il était alors le chef de la police de sécurité de la base.

 

Il décrivit l'objet flottant au-dessus du sol en effectuant des manoeuvres lentes, ayant une lumière rouge à son sommet et plusieurs lumières bleues au dessous ainsi que d'autres lueurs qui en émanaient. Il le décrivit aussi d'une taille énorme, se demandant comment il pouvait tenir dans la petite clairière ou il le vit.

Bustinza fur aussi témoin du départ de l'engin et dit qu'il "partit en un éclair". Il rapporte en avoir été terriblement effrayé. Il affirme également que des photos ont été prises par le personnel de la base.

 

COLONEL SAM MORGAN:
Le Colonel Sam Morgan est l'officier qui était précédemment chargé de commander la base de Woodbridge, il est apparemment responsable de la diffusion d'une bande magnétique enregistrée en principe la nuit de la rencontre avec l'OVNI dans la forêt, lors de la patrouille, et qui contient un enregistrement censé être en direct du contact avec l'engin.

 

Les opinions varient à propose de l'authenticité de cette bande. Interrogé à son propos, le Colonel Morgan affirma: "Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un faux, ces gars on vraiment vu quelque chose qui ne peut être expliqué. Et je ne crois pas qu'ils aient pu effectuer toute une mise en scène."


http://ufologie.net/htm/rendles2f.htm

 

LES AFFIRMATIONS DE CANULAR A RENDLESHAM N'ONT PAS TENU:
L'article ci-dessous est paru dans le quotidien, le 2003. East Anglian Daily Times, Angleterre, le 8 septembre 2003.

 

La dernière théorie sur l'OVNI est rejetée


UN CHERCHEUR a écarté une théorie que l'OVNI mondialement célèbre de Rendlesham n'était rien de plus qu'une farce mise en scène par un soldat américain.

 

La dernière théorie au sujet de la cause de l'OVNI prétendument vu dans la forêt de Rendlesham près du terrain d'aviation de Woodbridge après Noël en 1980 concerne un jeune homme qui s'ennuyait roulant sur la piste en faisant clignoter les lumières de sa voiture de patrouille.

 

Mais Georgina Bruni, auteur d'un livre de 440 pages sur l'OVNI, a répondu qu'il y a là des contradictions dans son compte rendu, et que son histoire avait été employée par des "debunkers" pour critiquer le cas selon lequel un objet volant non identifié de vol avait été vu planant dans la forêt.

 

Kevin Conde, qui a pris sa retraite en tant que sergent technicien, a énoncé qu'il a voulu jouer un tour à un de ses collègues. Il a apparemment conduit une vieille voiture déglinguée Plymouth Volare de 1979 le long de la piste, ayant collé des filtres rouges et verts sur les projecteurs, ayant mis en marche son haut-parleur et ayant conduit aux alentours en cercles sur la piste dans le brouillard tout en faisant clignoter les phares de sa voiture.

Son histoire a été récemment décrite dans un documentaire de télévision de BBC, Inside Out, et accentuée par d'autres médias.

 

M. Conde est incertain de exactement quand la farce a eu lieu, et n'est pas donc sûr de s'il était par inadvertance responsable du prétendu incident OVNI.

 

Mais Mme. Bruni, qui a passé trois ans à étudier l'OVMI et a interviewer des centaines de personnes, est soucieuse de ce que cette théorie pourrait décourager des gens à poursuivre la cause de l'observation mystérieuse.

 

Elle a dit: "M. Conde affirme qu'il a fait sa farce sur la piste de roulement (vers la piste de décollage). L'incident n'a pas eu lieu sur cette piste ni près de cette piste, mais à l'intérieur de la forêt."

Mme Bruni a dit que M. Conde était incertain de la date, mais qu'il dit qu'il y avait de la brume cette nuit et qu'il avait mis en marche son haut-parleur. Mais, a dit Mme Bruni, il n'y avait pas eu de brouillard dont on ait rendu compte de la piste ou des environs de la base aérienne de Woodbridge et les OVNIS ont été totalement silencieux.

 

Elle a ajouté qu'était étrange que l'Armée de l'Air américaine ait permis à la police de sécurité d'utiliser une voiture déglinguée et elle se demande pourquoi la voiture ancienne d'une seule année était dans un tel état de délabrement?

 

M. Conde, un officier de police à mi-temps à Sacramento, a été indisponible pour commentaire. Mais il a dit dans un bulletin sur l'internet: "pour des raisons qu'il est difficile d'expliquer, il est de mon impression que j'ai fait ma farce durant un exercice. Nous n'aurions pas eu un exercice pendant les vacances de Noël. C'est une indication forte que ma farce n'est pas la source de cet incident spécifique."

 

Le mystère de cet OVNI concerne un compte rendu de deux patrouilleurs américains qui ont dit au Colonel Halt, commandant adjoint de la base des Etats-Unis à Bentwaters, qu'ils avaient vu un objet triangulaire métallique en 1980, planant ou sur des jambes avec une lumière rouge pulsant sur le dessus et une rangée de lumières bleues au dessous. Il a disparu en partant par la forêt et les animaux d'une ferme voisine sont entrés dans un état de panique.

http://ufologie.net/press/eastangliandailytimes8sep2003f.htm

 

L'ATTERRISSAGE D'UN OVNI EST GARDE SECRET, AFFIRME L'ANCIEN MINISTRE DE LA DEFENSE:
Par David Jack

 

Un article du journal anglais "The People", du samedi 4 décembre 1994, à propos des incidents de Rendlesham. "L'atterrissage d'un OVNI gardé secret" déclare l'ex ministre de la défense. l'article est signé David Jack.

 

Une série de rencontres effrayantes avec un vaisseau spatial extra-terrestre ont été dissimulées au public, clame l'ancien ministre de la défense.

 

Lord Hill-Norton en est convaincu: le ministère de la défense dissimule le fait qu'un OVNI ait atterri en Angleterre. L'ancien ministre de la défense déclare: "Le ministère de la défense a effrontément nié que quoi que se soit d'intéressant ne se soit produit et je ne les crois tout simplement pas. Quelqu'un s'est assis sur une information qui relève de l'intérêt public". Son affirmation se rapporte à des incidents bizarres qui se sont produits à la base de la RAF de Woodbridge dans le Suffolk, ou du personnel aérien de la base affirme avoir vu des OVNIS. "The People" a pu lire un rapport top-secret rédigé par le Lieutenant Colonel Charles Halt qui confirme la rencontre avec un OVNI piloté par "une intelligence dont l'origine ne peut pas être terrestre". Et l'ancien officier de renseignement américain Clifford Stone déclare que les Etats-Unis, l'OTAN, et la Russie on depuis longtemps échangé leurs informations à propos de cas similaires dans le cadre d'une opération dont le nom de code est "Moondust".

 

Ses preuves vont être télévisées lors de l'émission "Incroyable mais vrai" de la chaîne LWT ce Vendredi

Il y sera question des événements mystérieux du 27 Décembre 1980 lorsque des opérateurs radars de la RAF à Watton près de Norwich captèrent un écho inhabituel. Alors que des chasseurs Phantom de la RAF s'en approchèrent, les pilotes rapportèrent qu'ils voyaient des lumières intenses et claires dans le ciel. L'opérateur Mal Scurrah déclara: "Alors que les Phantoms de rapprochaient de l'objet flottant en l'air, celui-ci pris la fuite verticalement à une vitesse phénoménale qui d'après nos mesures dépasse les 1000 miles par heure.

Près de la base RAF de Woodbridge, l'aviateur John Burroughs et le sergent Jim Penniston enquêtaient sur un étrange feu dans la forêt: "L'air était empli d'électricité et nous vîmes un objet de la taille d'un tank" déclare Penniston. "Il était triangulaire, moulé dans un verre sombre et orné de symboles. Tout d'un coup il décolla plus rapidement qu'aucun avion que j'ai jamais vu". La nuit suivante l'objet fut encore repéré et le commandant de la base par intérim, le Lieutenant Colonel Halt participa à l'enquête. Il déclara: "Je ne pouvais pas croire ce que je voyais: cela ressemblait au soleil couchant avec un centre sombre et pulsant. On avait l'impression que des gouttes de métal en fusion en tombaient".

 

Les enregistrement sonores et les photographies prises par Halt ont été confisquées par des officiers de la défense américaine et les informations furent dissimulées.
 

http://ufologie.net/htm/rendles5f.htm

 

Source http://ufologie.net/htm/rendlesf.htm

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P
hippothèse et certitude<br /> 1 tous les êtres de l'univers sont soumis à l'entropie: cela est certain<br /> 2 les êtres venus d'ailleurs ? sont concernés<br /> 3 Donc ceux-ci s'intéressent au 4 ci-dessous<br /> 4 La Résurrection est l'inverse de l'entropie<br /> <br /> lire:<br /> https://www.alleluia-france.com/jesus-plus-fort-que-notre-entropie/<br /> En physique, le principe d’entropie mesure le degré de dégradation d’un système. En effet, tout système créé se détériore inéluctablement jusqu’à sa destruction complète. Par une miséricorde du Créateur pour sa création, cette destruction est créatrice, puisqu’elle autorise la création d’un nouveau système, plus performant, mais qui se détériorera à son tour et sera détruit. Ce principe d’entropie s’étend à tous les domaines : sociaux, politiques, économiques. Il impacte le cosmos mais aussi les civilisations humaines (L’Égypte, la Grèce, Rome, le Moyen âge, la Renaissance, l’Ancien Régime…) On peut prévoir qu’il en sera de même pour la République, le transhumanisme, le système financier, les lois sur l’avortement, le faux mariage gay, la laïcité, principes mortifères qui ont fait exploser l’entropie générale au XXème siècle.<br /> <br /> Mais alors où est donc notre raison d’espérer, de vivre malgré tout ? Justement avec le fait nouveau et universel de la venue de Jésus-Christ ! Un ami prêtre prêchait ainsi à Albi : « Jésus est l’anti-entropie envoyé par le Père pour le salut du monde. En effet la mort du Christ et ses fruits sont l’effet papillon qui annihile l’entropie du monde. Pour certains la mort du Seigneur sur une croix leur semble plus insignifiant qu’un battement d’aile du papillon… et pourtant selon la théorie de l’effet papillon, la mort du Seigneur il y a 2000 ans sur une petite colline à Jérusalem a causé la plus immense tornade de transformation permanente de l’histoire et de toute l’humanité : elle annihile TOUTE dégradation inéluctable du monde ! L’homme découvre que, concrètement, Jésus est son espérance et la rédemption du cosmos. »
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X
Les sphères lumineuses existent maintenant cela sert à rien de se demander, alors ça existe ou pas ?
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P
c'est un doublon mes excuses<br /> https://www.alleluia-france.com/jesus-plus-fort-que-notre-entropie/