OVNI et Extraterrestre

Ovnis dans les textes anciens

17 Janvier 2019 , Rédigé par Les mystères des ovnis Publié dans #Ovni légendes, #ovni

Ovnis dans les textes anciens

Les sceptiques affirment que les ovnis sont des engins secrets ou les conséquences du développement de la science fiction ou encore une mode une croyance de notre société moderne. Ici ils vont devoir remballer toutes ces explications et constater que les ovnis sont présents tout au long de notre histoire. Plus nous recherchons dans les textes anciens et plus nous découvrons des évènements extraordinaires similaires à des observations d'ovnis et des rencontres avec des êtres étranges. Inutile de nier cela est écrit noir sur blanc et nous ne vous présentons qu'un petit échantillon ici.

Ovnis dans les textes anciens
Ovnis dans les textes anciens

Observation à Londres en 1710

Avant toutes choses nous devons comprendre que nous décrivons les choses en fonction de nos connaissances. Par exemple, les Indiens d'Amérique, pour désigner la locomotive créé par les Américains, la nommaient "cheval de fer". Ceci explique les noms donnés au phénomène Ovni, "chariots de feu", "nuées lumineuses", "cheval ailé", "bouclier lumineux", " boucliers de feu" "Vimanas" des Indes antiques, "cercles de feu" dans le ciel d'Egypte, "Arche dans la nue", "Nuée" avançant devant le peuple hébreux dans le désert, dont regorgent les textes anciens et quantités d'autres étranges engins volants, assurément réels pour les témoins de leur temps, attestent que les "dieux" de l'Antiquité se déplaçaient dans le ciel, sinon dans l'Espace. Pas de manière allégorique comme le célèbre "char du soleil" d'Hermès aux pieds ailés qu'on imagine peut-être à tort comme une représentation purement symbolique de la course du soleil dans le ciel, mais bel et bien en chair et en os pour les voyageurs et de métal pour les engins. Certains même se livrèrent des batailles titanesques depuis ces engins volants si l'on en croit les "Vedas" et l'Epopée de Gilgamesh.

Nos ancêtres ont vu des choses dans le ciel

Une observation illustrée datant de 1566:

Entre 1561 et 1566, les habitants de Nuremberg en Allemagne et Bâle en Suisse furent témoins de phénomènes extraordinaires dans le ciel: de véritables ballets aériens de sphères, disques, tubes engagés dans des ballets voire des batailles sont décrits.

(Gravure de la collection Wickiana, Zurich)

 

Le 7 août, à l'aube, de nombreux citoyens de Bâle (Suisse), effarés, peuvent voir pendant plusieurs heures des sphères noires se livrant à une formidable bataille aérienne, envahissant le ciel de leur cité: "à l'heure du lever du soleil, on a vu dans l'air beaucoup de grosses boules noires qui se dirigeaient à grande vitesse vers le soleil, puis qui firent demi-tour, s'entrechoquant les unes les autres comme si elles menaient un combat, un grand nombre d'entre elles devinrent rouges et ignées, par la suite elles se consumèrent et s'éteignirent" écrivit Samuel Coccius, l'étudiant en "écritures sacrées et en arts libéraux" qui consigna les étranges événements dans la gazette de la ville.

 

REFERENCES:
Voir aussi Nurnberg 1561.

Ces observations ont été mentionnées dans:

"Ein moderner Mythus Von Dingen, die am Himmel gesehen werden"
"A modern myth: things seen in the skies"

Carl Gustav Jung
Zürich, Stuttgart
Rascher Verlag 1958.

 

http://ufologie.net/htm/1566f.htm

 

Une observation datant de 1561 Bâle en Suisse :

 

Entre 1561 et 1566, les habitants de Nuremberg en Allemagne et Bâle en Suisse furent témoins de phénomènes extraordinaires dans le ciel: de véritables ballets aériens de sphères, disques, tubes engagées dans des ballets voire des batailles avec crash à la clé.

 

Voici une gravure d'une bataille aérienne entre ovnis au dessus des cieux de Nuremberg en Allemagne le 4 Avril 1561. Certains vaisseaux se sont écrasés. En raison des croyances religieuses des artistes médiévaux, les fuselages et ailes deviennent des croix et les fusées des tubes emplis de sphères.

 

(Gravure de la collection Wickiana, Zurich)

 

Vous noterez qu'il semble que deux personnages sont témoins du crash d'au moins un des objets volants.

 

Le 4 avril à l'aube, dans le ciel de Nuremberg (Allemagne), beaucoup d'hommes et de femmes voient se produire un très effrayant spectacle où interviennent divers objets, dont des boules: "environ 3 dans la longueur, de temps en temps, quatre dans un carré, beaucoup restaient isolées, et entre ces boules, on vit nombre de croix couleur de sang. Puis on vit deux grand tuyaux, dans lesquels petits et grands tuyaux, se trouvaient 3 boules, également quatre ou plus. Tous ces éléments commencèrent à lutter les uns contre les autres." (Gazette de la ville de Nuremberg).

 

L'événement dure 1 h et connaît un tel retentissement qu'un artiste, Hans Glaser, en exécute une gravure à l'époque. On décrit deux immenses cylindres noirs lançant de nombreuses sphères bleues, noires et rouge sang, des croix rouge sang et des disques. Ils semblent se livrer bataille dans le ciel. A en juger par la gravure de Glaser, certaines de ces sphères se seraient écrasées au sol, à l'extérieur de la ville.

 

REFERENCES:

Voir aussi Bâle 1566.

Ces observations ont été mentionnées dans:

"Ein moderner Mythus Von Dingen, die am Himmel gesehen werden"
"A modern myth: things seen in the skies"
"Un mythe moderne: les objets vus dans le ciel"

Carl Gustav Jung

Zürich, Stuttgart

Rascher Verlag 1958. http://ufologie.net/htm/1561f.htm

 

Observation à Hambourg, 1697:


Encore une autre observation d'OVNIs, parmi les nombreuses observations anciennes de toutes époques et de toutes cultures, qui montre au moins que le phénomène OVNI, quel qu'il soit, a existé avant les bandes dessinées de science-fiction.


 


Cette illustration montre l'observation de deux OVNIs au-dessus de Hambourg, en Allemagne, le 4 Novembre 1697. Les objets ont été décrits comme "deux roues lumineuses".

 

http://ufologie.net/htm/hamburg1697f.htm

 

Observation au château de Windsor, 1783:


Encore une autre observation d'OVNI, parmi les nombreuses observations anciennes de toutes époques et de toutes cultures, qui montre au moins que le phénomène OVNI a existé avant les bandes dessinées de science-fiction.

 

UN CAS ILLUSTRE DE 1783:

 

Cette illustration dépeint une observation qui a eu lieu à 21:45 dans la soirée du 18 août 1783, quand quatre témoins sur la terrasse du château de Windsor ont observé un objet lumineux dans les cieux de Home Counties en Angleterre. L'illustration a été réalisée d'après les indications de Thomas Sandby, un fondateur de l'Académie Royale, et de son frère Paul, tous les deux ayant été témoins de l'événement.

 

Le recit:


L'observation a été enregistré l'année suivante dans les "Transactions Philosophiques de la Société Royale", qui rapporte ce que les témoins ont observé:

 

"Un nuage oblong se déplaçant plus ou moins parallèlement à l'horizon. Sous ce nuage on pouvait voir un objet lumineux qui est rapidement devenu sphérique, s'est brillamment éclairé, puis qui a fait une halte. Cette sphère étrange a semblé d'abord être de couleurs bleu-clair, mais alors sa luminosité a augmenté et bientôt elle est partie plus loin vers l'Est. L'objet a alors changé de direction et s'est déplacé parallèlement à l'horizon avant de disparaître au Sud-Est; la lumière qu'il fournissait était prodigieuse; elle éclairait tout sur la terre."

 

Toutefois, par une personne qui participait à une discussion sur cette affaire, j'ai pu recevoir des scans d'un texte visiblement d'époque, malheureusement sans sources, mais qui raconte deux toutes autres histoires.

 

La première est un témoignage sur ce qui apparaît être le même événement, témoignage qui semble assez "fantasque", il y a est question de brûmes sulfureuses, et d'un phénomène décrit comme d'abord immobile puis se déplaçant, aucune durée n'étant indiquée.

 

La deuxième semble être de la même source inconnue, mais cette fois le témoignage semble bien plus précis, et ne laisse pratiquement aucune place au doute: il s'agit bien d'un météore.

 

REFERENCES:Philosophical Transactions of the Royal Society, 1784.

 http://ufologie.net/htm/windsor1783f.htm


Gennes sud de la France (1608)

 



En Août 1608, les habitants du Sud la France, de Marseille à Gênes, assistent à une véritable vague d'OVNIs, relatée dans une chronique d'époque intitulée "Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes".

Voici un des plus vieux documents découvert il y a peu datant de 1608 rédige par un certain Pierre Ménier "portier de la porte saint-victor", ici il n'est pas question de"soucoupes volantes" puisque le terme n'existait pas encore.

le document se présente sous le forme d'une vieille brochure comme on en voyait tant au XVIIe siècle , le récit s'étale sur 7 pages, et est écrit en français de l'époque pour vous faire votre propre interprétation je vous préssente donc le document tel qu'il fut écrit.

" Discours des terribles et épouvantables signes apparus sur la mer de Gennes au commencement d'aoust dernier avec les prodiges du sang qui est tombé du ciel, en pluye du costé de Nice et en plusieurs endroicts de la provence,ensemble l'apparition de deux hommes en l'air lesquels se sont battus par plusieurs fois, sur l'isle de Martegue qui est une ville sur la mer a cinq lieues de Marseille "

Mr Ménier parle de pluie de sang , phénomène météorologique tres connu de nos jours , sans doute des pluies venues d'Afrique du nord et rougies par la présence de micro organismes. lui y voyait l'expression de la colère de dieu . pour ne pas perdre de temps je passerais donc directement aux recits de combats aeriens et d'apparitions d'engins étranges dans le ciel de notre beau sud.

" Au commencement du moys d'aoust de l'an mix six cens huit, sur la mer de Gennes s'est veu les plus horribles signes que de mémoire d'homme ait esté parlé, ny escrit, les uns estoient en figures humaines ayant des bras qui semblaient estre couverts d'écailles et tennaient en chacune de leur main deux horribles serpens volans, qui leur entortilloient les bras, et ne paraissoyent que depuis le nombril, en haut hors de la mer et jettaient des cris si horribles, que c'estoit chose du tout épouvantable, et parfois se plongeoyent dans la mer, puis ressortoyent en d'autres endroits loin de la, heurloyent des cris si épouvantables que plusieurs en ont este malades de la peur qu'ils en ont eu, ils en voyaient qui semblaient estre en figure de femmes ; d'autres avoient le corps comme corps humains, tout couvert d'écailles, mais la teste estoit en forme d'un dragon."

Prenez bien en considération que pour ces événements l'auteur compare ces événements avec des éléments familiers propre a l'epoque (par exemple "la tête était en forme de dragon" qu'est ce qu'un dragon pour ces gens à l'époque?). Quoi qu'il en soit les Gennois voient des formes métalliques sortir de la mer se déplaçant sous l'eau et produisant un bruit terrifiant, ces apparitions ayant débutée depuis le premier Aout et se reproduisaient souvent , les autorités décidèrent de passer a l'attaque.

" la seigneurie fit tramer quelques canons pour tascher de les faire oster de ce lieu, et leur fut tiré quelque huit cens coups de canon, mais en vain, car ils ne s'en estonnerent nullement."

vous rendez vous compte 800 coups de canon! qui ne donnèrent rien, le 15 aout ( jour de l'assomption) les choses deviennent encore plus sérieuse pour les Gennois , depuis deux semaine déjà ils vivaient
dans l'angoisse :

" le quinzième aouut apparurent sur la dite mer du port de Gennes trois carrosses trainant chacune par six figures toutes en feu, en semblance de dragon. et marchaient les dictes carrosses, l'une a l'oposite de l'autre et estoient les dits carrosses trainées par lesdicts signes qui avoient toujours leurs serpens, en continuant leurs cris épouvantables et s'approchaient assez prés de Gennes, tellement que les spectateurs, du
moins la plus grand part, étonnez s'enfuirent, craignant les effets d'un tel prodige, mais comme ils eurent faict la virevolee par trois fois le long du port apres qu'ils eurent jette des cris si puissants de bruit qu'ils faisaient retentir les montagnes des environs, ils se perdirent tous dedans la dite mer et depuis l'on n'en a veu ny sceu aucune nouvelle."

Trois carroses propulsés par ces fameuses figures en feu ressemblant a des dragons  qui se balladent au dessus de la ville terrorisant la populations:

"ceci apporte grand dommage a plusieurs des citoyens de Gennes, les uns qui en sont morts de peur comme entre autres le fils du sieur Gasparino de Loro , et aussi le frere du signor Antonio Bagatelo, plusieurs femmes aussi en ont esté affliges et en sont mortes. Depuis l'on chante le te deum , ils se sont evanouis."

Vague d'ovnis à Nice en 1608 (France)

NICE 1608 - Dans les archives de la ville de Nice, une bien curieuse histoire d'intervention extraterrestres fût retrouvée. Nous allons maintenant vous livrer ce document.

LE PORT DE NICE 1608

Au début du xvii ème siècle, Nice port principal du Royaume du Piémont connait une période de grande prospérité. L'imposante forteresse qui domine la ville décourage les incursions barbares qui ravagent régulièrement les côtes voisines. Sur le quai de riches demeures aux balcons ouvragés. Dans cette charmante cité maritime on respire la paix dans un climat paradisiaque, quand soudain !…..

Au crépuscule du 5 aout 1608, les niçois voient apparaître dans le ciel, trois masses lumineuses se déplaçant à grande vitesse. Les engins s'arrêtent au dessus de la forteresse. Ils descendent à 1 m de la surface de la mer, à faible vitesse. Les habitants peuvent examiner en détails les trois engins. Se maintenant proche de l'eau les trois masses provoquent une sorte de bouillonnement de l'eau avec dégagement d'une vapeur ocre-orangé, dans un bruit infernal. De l'un des engins surgit un être, puis deux……

Ces deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la verticale deux tubes raccordés à la ceinture. Pendant deux heures les engins les engins restent pratiquement en cette position. Puis les êtres embarquent vers 22 h, les engins partent vers l'Est, dans un bruit infernal, et disparaissent en quelques secondes.

Les Niçois attribuant ce phénomène à un avertissement de Dieu, ils s'ébranlent en de longues processions religieuses, portant le christ en tête, jusqu'à l'aube du 6 août 1608. Au matin du 22 août, les trois engins se présentent à Gênes. Informé des évènement survenus à Nice 17 jours accaparant, ils déclenchent un violent tir d'artillerie sur les trois vaisseaux. 800 boulets sont ainsi tirés, sans que les engins ne subissent de dommage. Après une heure d'évolution au dessus des flot, un engin se détache du groupe et fonce sur la ville à une vitesse vertigineuse. Une folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et blessés après le passage de l'engin à la suite de piétinement, émotions ou radiations émises par le vaisseau. Les trois vaisseaux se regroupent ensuite et disparaissent vers l'Est à une vitesse vertigineuse.

Le 25 août 1608, dans le ciel de Martigues apparait un vaisseau spatial qui évolue durant une 1 h 30 au dessus de l'agglomération. Deux êtres sortent du vaisseau, évoluant autour de l'engin et semblant se livrer à un duel en plein ciel. Ce sera la dernière manifestation relaté par cet écrit dans la région Méditerranéenne. Une semaine plus tard, d'abondantes pluies rouge comme le sang tombent dans la région. Les habitants pensent qu'il s'agit de sang, et qu'ils ont à faire à une vengeance divine, à la suite des événements de Martigues, Nice ou Gènes !…..Pendant quarante jours les chapelles, églises et cathédrales de la région allant de Martigues à Gènes, voient une foule énorme venir prier jour et nuit.

Sources : www.les-repas-ufologiques.com/index.htm


Globe de feu au-dessus de la frégate de Forbin,

 

Golfe de Noto (Sicile), Janvier 1702

par Jacques Costagliola

Le célèbre marin français Forbin, chef d’escadre des armées navales de Louis XIV, rapporte dans ses mémoires, l’observation qu’il fit, âgé de 45 ans, capitaine de vaisseau commandant la frégate Galatée, une nuit de janvier 1702, de ce qu’on appelait alors globe de feu volant et que l’on confondait plus ou moins avec la foudre en boule, les comètes, les météorites, et qui ressemblent bougrement aux ovnis sphéroïdes hyper lumineux d’aujourd’hui. Notons qu'il semble que ce soit la première observation d'un tel phénomène rapportée par un témoin bien identifié.

Nous reçumes l’ordre, le sieur Clairon et moi, de monter, moi, une frégate de seize canons et lui, une de huit, et de partir incessament de Toulon pour aller croiser dans le golfe Adriatique (intercepter les renforts envoyés de Croatie vers Trieste et Fiume au prince Eugène en Lombardie. Les frégates Galatée (commandant Claude de Forbin) et Gentille (Cléron de Kerdreux) ont été armées à Toulon le 23.12.1701). Je partis donc avec ma conserve pour aller selon mes instructions mouiller à Brindes dans le royaume de Naples à l’entrée de la mer Adriatique… Le mauvais temps qui, depuis mon départ ne me quitta plus, me sépara assez tôt du sieur Clairon. Les vents étoient si contraires que je fus trois semaines depuis Toulon jusqu’à la hauteur de la Sardaigne. Enfin, ne pouvant résister à la mer qui étoit fort grosse, je fus contraint de relâcher à Cagliari… De Cagliari, je continuai ma route, le vent contraire m’ayant repris vers le cap Passaro, sur les côtes de Sicile, je fus obligé de trouver un asyle et d’y mouiller. On vint m’avertir pendant la nuit qu’il paroissoit un nouveau soleil dans le ciel. Je montai sur le pont, et je vis effectivement un grand feu qui brûloit en l’air et qui éclairoit assez pour pouvoir lire une lettre. Quoique le vent fût très-violent, ce météore ne branloit point ; il brûla environ pendant deux heures, et disparut en s’éteignant peu à peu. Les pilotes, les matelots et tout l’équipage, effrayés, le regardèrent comme la marque infaillible d’une tempête dont nous étions menacés. Il ne fut jamais possible de les tirer de là ; j’eus beau leur dire que ce feu ne pouvoit être formé que par des exhalaisons du mont Gibel, dont nous étions fort près, il n’y eut jamais moyen de les persuader, et ils ne revinrent de leur terreur que lorsque nous fûmes devant Brindes où nous arrivâmes sans que notre navigation eût été troublée autrement que par le vent contraire, contre lequel nous eûmes toujours à lutter.

…Je fis voile vers Duras, port de mer appartenant au Grand Seigneur. J’y trouvai le sieur Clairon qui commandoit ma conserve.

…Il (l’ambassadeur de France à Venise) s’en retourna en riant bien fort de la panique que ma seule chaloupe avait répandu dans Venise. Il est vrai qu’on me craignoit si fort dans ce pays, que j’y étais passé en proverbe et que le souhait ordinaire que les patrons allant en mer s’entrefaisoient les uns les autres étoit de dire, après s’être recommandé à Saint-Marc : ‘Iddio ci guardi della bollina1 e del cavaglier di Forbino.2

(1) Bollina est une espèce de météore que les matelots regardent comme le présage d’une tempête prochaine. (Note de Forbin) Dieu vous garde de la bolline et du chevalier de Forbin. Bollina semble différent de bolina (bouline) et de bollino (tiquet).

(Mémoires du comte de Forbin, chef d’escadre, chevalier de l’ordre militaire de Saint Louis, à Amsterdam, François Girardi, imprimeur, 1730, 1748, T.II, p.50 & 140

Résumons les éléments qui pourraient être ovniens :

Un soir de tempête de janvier 1702, Forbin met sa frégate à l’abri relatif du golfe de Noto. En pleine nuit l’officier de quart fait réveiller le commandant : un deuxième soleil est apparu ! Il monte sur le pont et constate qu’un globe de feu stationne au-dessus de la frégate, insensible aux rafales de vent et de pluie, éclairant assez pour lire une lettre, s’y maintient deux heures, et finalement se dissipe peu à peu sur place. Il ne donne ni la taille apparente, ni l’altitude, mais on peut inférer de la comparaison de l’homme de quart que ce globe avait la taille de la lune et, de cette grandeur et du temps épouvantable, une hauteur du phénomène inférieure à celle des nuages. L’équipage est paniqué par ce phénomène dont ils ont entendu dire qu’il présageait la colère du ciel, qu’ils subissaient déjà. Forbin les rassure en parlant d’exhalaisons du mont Gibel, qui est à 50 km à l’intérieur des terres et culmine péniblement à 900 m. Il aurait pu aussi bien invoquer une éruption de l’Etna à 150 km dans le nord, dont les vomissements n’ont pas pour habitude de stationner dans le ciel. Exhalaisons est l’ancêtre du gaz des marais d’Hynek, invoqué en urgence deux siècles et demi plus tard dans des circonstances proches.

De ce phénomène, appelé bollina par les pêcheurs de l’Adriatique, Forbin écrit encore quelques pages plus loin qu’ils en font une incantation avant de prendre la mer. Je n’ai pas trouvé Bollina dans le dictionnaire mais seulement Bollino : tiquet, timbre, crampon et Bolina : bouline ou cordage d'une voile destiné à soulager une voile qui fatigue, et punition à coups de boulines. Est-ce un autre mot ou une faute d’orthographe de Forbin ? Comme il en fait une à Cléron. Je penche pour un dérivé de boule.

Il ne peut s’agir d’une météorite, ni d’un ballon, qui ne viendra au jour qu’en 1780. Le diagnostic différentiel est facile, la station de deux heures élimine tout météore solide, et aucun objet aérien artificiel créé par l’homme n’existait en 1702. On pourrait invoquer la lune, ce serait faire injure à des officiers de marine, et elle ne fait pas du sur place ni n’éclaire comme le soleil, ou une aurore boréale, qui ne donne pas à ces latitudes une image proche et n’éclaire jamais comme en plein jour. Reste le globe de feu volant de nature et d’origine inconnue (Le Roy), forme dixhuitième siècle de l’ovni. De plus, il semble que, tant les marins français qu'italiens connaissaient ce type de météore et le craignaient comme annonciateur de catastrophe. Cette observation parlante par son auteur et les termes précis qu’il emploie, qui sont ceux d’aujourd’hui, n'a jamais été citée. C'est aussi la première fois qu'on tient le témoignage direct d'un Ancien, de plus marin habitué à scruter la mer et le ciel ! D’autant plus crédible qu’il croyait, comme les savants de l’époque, qu’il s’agissait d’un phénomène naturel qu’on finirait par comprendre un jour.

Jacques Costagliola
octobre 2005

http://www.ufocom.org/pages/v_fr/m_archeo/Forbin.htm


Des ovnis dans l'antiquité

Julius Obsequens, historien romain païen du IVe siècle, dans son "livre des prodiges" parle :

"De trois lunes qui apparurent dans le ciel de la mer Égée et de la détonation épouvantable qui accompagna l'apparition d'un globe de feu du côté du septentrion".

Il relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie"

Trois soleils resplendirent en même temps cette nuit dont je parle et plusieurs étoiles traversèrent le ciel à Lanuvio, en 175 avant J.C..

A Capou, on vit, au milieu de la nuit, le soleil et, le même jour, à Formie, deux soleils apparurent ensemble...

En 122 avant notre ère, en Gaule, apparurent trois soleils et trois lunes.

En 91 avant notre ère, près de Spolète, une boule de feu jaune roula sur le sol, grandit puis remonta vers l'Orient en se faisant si grosse qu'elle cacha le soleil."

Pline l'Ancien, 30-79 ap. JC à Rome, dans histoire naturelle, relate  :

"Le vol d'un bouclier de feu (clypeus, bouclier rond) qui se propulsa d'est en ouest en jetant des étincelles vers l'an 100 av. J.C."

"Des barres brillantes apparaissent dans le ciel, semblables à celles qu'on vit après la défaite de la flotte qui coûta aux Lacédémoniens leur suprématie en Grèce ; Une étincelle détachée d'une étoile augmente de volume en se rapprochant de la terre et, après avoir atteint la taille de la lune, diffuse une faible clarté pour se retirer ensuite dans le ciel sous la forme d'une torche. Ce phénomène s'est passé sous le consulat de G. Octavius et de C. Siribonius et il eut pour témoins le proconsul Sclanius et ses amis ; On voit aussi des étoiles « aller dans toutes les directions sans qu'on sente le moindre vent se lever »

Sous le consulat de Valerius et de G. Martius, une plaque de feu ronde traverse le ciel au coucher du soleil, de l'occident à l'orient, en laissant des traînées d'étincelles. "

Sénèque, vers 4 - 65 ap. JC dans Questions naturelles :

" On discute pour savoir si on doit considérer comme de la même sorte les barres tonnantes et les météores tonnants dont l'apparition est assez rare ; et ces boules de feu qui se rencontrent et qui dépassent parfois la taille du soleil (...) et ce ciel enflammé dont l'histoire fait souvent mention ; et cette lumière parfois si puissante qu'on la confond avec celle des astres, et quelquefois si faible qu'on peut la prendre pour un incendie lointain "

Cicéron, dans De Divinatione , livre I, Chap. 43, 50 avant J.C  :

"Combien de fois le sénat n'a-t-il pas ordonné aux décemvirs de consulter les livres sibyllins. Dans combien d'affaires et combien souvent ne s'est-il pas conformé aux indications données par les haruspices ! Par exemple quand le soleil a paru se dédoubler, quand on a vu trois lunes, quand des lueurs semblables à des torches allumées sont apparues dans le ciel, quand la nuit la lumière solaire a resplendi, quand un fracas s'est fait entendre au firmament, quand la voûte céleste a semblé s'entrouvrir et qu'on a cru apercevoir des globes par delà."

Tite-Live, dans " L'Histoire Romaine :

"Dans la province d'Amiterna, on vit en de nombreux endroits, l'apparence d'hommes vêtus de blanc venant de très loin . Le globe du soleil devint plus petit. A Praeneste, des lampes , à Arpia, un bouclier et des vaisseaux fantômes sont apparus dans le ciel."

Ramayana, texte Hindou IIIe siecle av. J.C. et IIIe siecle ap. J.C. :

Note : le terme vimana est utilisé en hindi moderne (langue officielle de l'Union indienne) pour décrire un avion.

"Solide et durable doit être fait le corps du vimana, comme un grand oiseau Volant fait de matière légère. A l'intérieur doit être mis le moteur à mercure avec son appareil métallique chauffant en dessous. Grâce à la puissance latente dans le mercure qui permet le déplacement, un homme assis à l'intérieur peut voyager à grande distance dans le ciel. Les mouvements du vimana sont tels qu'il peut monter verticalement, descendre verticalement, s'incliner en avant et en arrière. Avec l'aide des machines, l'être humain peut voler dans l'air et finalement revenir sur le sol. "

Srimad - Bhagavatam, texte Hindou, classique de la littérature védique :

"Voici maintenant le grand chariot de Vata ! La destruction vient avec lui et le tonnerre est son bruit. Les cieux il touche, faisant rougeoyer la lumière et fait tourbillonner la poussière sur la terre "

Rig-Veda, le plus ancien des textes hindous appelés Vedas. :

"Un chariot aérien, le Pushpaka, transporte beaucoup de personnes à la capitale d'Ayodhya. Le ciel est plein de machines volantes suspendues, aussi noires que la nuit, mais pleines de lumières avec un halo jaune. "

"Le cruel Salva est arrivé monté sur le chariot Saubha qui pouvait aller n'importe où, et de lui, il a tué beaucoup de jeunes vaillants Vrishni et à méchamment dévasté tous les jardins de la cité. "

Mahabharata, épopée sanskrite de la mythologie Hindou :

"Il s'accrocha à son Saubha dans le ciel, à une longueur d'avance… il me jeta des lances, des pointes, des haches, des javelots, des torches, et sans aucune pause… le ciel semblait contenir des centaines de soleils, une centaine de lunes… et des myriades d'étoiles. A ce moment, il n'était plus possible de faire la différence entre le jour et la nuit. "

"Le vimana occupé par Salva était mystérieux. Il était si extraordinaire que quelquefois beaucoup de vimanas pouvaient apparaître dans le ciel, et parfois aucun n'étaient visible. Quelquefois le vimana était visible et quelquefois pas, et les guerriers de la dynastie Yadu étaient perturbés par ce vimana spécial. Quelquefois ils pouvaient le voir sur le sol, quelquefois voler dans le ciel, quelquefois rester sur le sommet d'une montagne et quelquefois flotter sur l'eau. Le vimana merveilleux volait dans le ciel comme un tison tourbillonnant. Il n'est pas resté sur place un seul moment."

Boital Pachis, légende Hindou :

"Et voici q'une nuit de la saison chaude, alors qu'ils étaient tous les deux endormis profondément sur le toit en terrasse de leur maison d'été, le voile de la jeune femme glissa de son visage. A ce moment un demi-dieu traversait les airs dans son char. Son regard tombât tout à coup sur elle ; il fit descendre son char, pris la femme à son bord, encore endormie, et l'emporta. Quelques temps après le brahmane se réveilla. Hélas ! sa femme n'était plus auprès de lui. Pris d'inquiétude, il la chercha dans toute la maison, fouilla toutes les rues de la cité, en vain. "Qui a pu l'enlever ? se lamentait-il, où est elle donc allée ?" Son chagrin lui fut fatal. Il mangea du riz qui avait été empoisonné par un serpent, et mourut."

Tibet, "Naissance du Monde", Au Tibet, éd. du seuil. Selon la doctrine  dite "la plus secrète" du vieux Tibet :

"Le premier ancêtre de la famille Rlangs était venu d'en haut, «Après avoir traversé neuf couches atmosphériques », atterrissant sur une haute montagne pour se faire roi chez les hommes. Il était, dit-on, apparenté à six nains (ou êtres de petite taille), lesquels pouvaient à leur gré descendre du ciel et y remonter."

L'Enéide, Livre II, vers 692 et sq., Avant J.C. :

"... A peine eut-il parlé que le tonnerre retentit à gauche ; Un astre détaché du ciel sombre, courrut en rayonnant une vive lumière,. Nous le vîmes descendre jusque sur le toit du palais, puis s'en aller vers la forêt du mont Ida pour y dissimuler sa clarté, laissant derrière lui un long sillage de lumière. Une odeur de souffre fumant remplit les lieux. Alors mon père, vaincu, se lêve, invoque les dieux et adore l'astre sacré."

On notera que le Mont Ida, territoire réservé et consacré à Cybèle, était pour virgile le point de ralliment des Corybantes (ou Khéroubim). Découvrez cette fameuse démonstration de Paul Misraki sur le mot Khéroubim [ICI : Nouvelle fenêtre]

Chroniques du Nihongi, Japon, remonte de la nuit des temps et s'arrête en 697 après J.C. :

"Depuis le moment où notre aïeul céleste descendit sur terre jusqu'à aujourd'hui, un million sept cent quatre-vingt-douze mille quatre cent soixante-dix années se sont écoulées."

"J'ai entendu de la bouche de l'Ancien de la mer qu'à l'est existe un beau pays entouré de montagnes. qui plus est, il y a là Celui qui descendit du Ciel en conduisant une barque oscillante."

L'évèque grégoire de Tours, (historien de Charlemagne) dans "Histoire des Francs" :

"Il évoque un mystérieux passage de "globes de feu" (en 583).

Il vit « une grande sphère descendre comme un éclair dans le ciel de l'Est vers l'Ouest. C'était si brillant que le cheval du monarque rua et que Charlemagne se blessa sévèrement en tombant » . "

William de Newburghs, dans ses "Chroniques" en 1290  raconte :

" qu'un objet rond, plat et argenté vola au-dessus de l'Abbaye en causant une grande frayeur."

Les historiens d'Alexandre le Grand, rapportent :

"l'apparition de « grands boucliers argentés, jetant du feu autour de leur bord » qui survolèrent l'armée du grand Alexandre."

Hérodien, 170-240, dans "Histoire de l'Empire après Marc Aurèle", livre 1 :

"De grands prodiges arrivèrent en ce temps là... On voyait souvent en plein jour des étoiles suspendues en l'air "
Charlemagne, roi de France dans les Capitulaires de l'Empereur,

"déclara que ces Sylphes et leurs engins étaient capables de déchaîner les tempêtes. Il était décidé à leur donner une chasse impitoyable jusqu'à ce que, finalement, il y renonçât. En effet, en accord avec Louis le Débonnaire, Charlemagne rendit des édits qui condamnaient à la torture et à la mort ces Sylphes, ou tyrans de l'air.

Le 1er chapitre des Capitulaires de l'Empereur est significatif à l'égard de ces entités cosmiques et des activités dont elles étaient responsables. Il nous apprend que les Aériens étaient boulversés de constater qu'ils répandaient la terreur dès leur apparition dans les cieux. Cela les incita à se poser dans leurs véhicules volants et à se saisir des hommes et des femmes. Ils voulaient ainsi les instruire pour dissiper la mauvaise opinion que les gens avaient de leur innocente flottille."

Thoutmès III, Pharaon de l'Egypte ancienne (1504-1450 avant J.C.) dans un papyrus (papyrus de Tulli) faisant partie de ses annales :

" En l'année 22, au 3ème mois de l'hiver, à la sixième heure du jour... Les scribes de la Maison de la Vie virent que c'était un cercle de feu qui apparaissait dans le ciel...Il n'avait pas de tête et son haleine avait une odeur fétide. Son corps était long d'une perche et large d'une perche. Il n'avait pas de voix. Comme il jetait la confusion dans leurs coeurs, ils se prosternèrent à plat ventre... Ils se présentèrent à Pharaon... pour le lui raconter. Sa Majesté ordonna... Ainsi tout est écrit dans les rouleaux de papyrus de la Maison de la Vie. Sa Majesté méditait et songeait à cet évènement. Or, au bout de quelques jours, ces choses devinrent encore plus nombreuses dans les cieux. Les cercles de feu brillaient dans le ciel, plus que le soleil, et s'étendaient aux bornes des quatre soutiens du ciel... L'armée de Pharaon les considérait. Sa Majesté se tenant au milieu. C'était après souper. Alors ces cercles de feu montèrent plus haut dans le ciel, vers le sud. Des poissons et des volatiles tombèrent du ciel. Une merveille jamais observée depuis la fondation de la nation. et Pharaon fit apporter de l'encens qu'il brûla afin d'attirer la paix sur le foyer... Et ces évènements furent inscrits sur l'ordre de Pharaon dans les annales de la Maison de la Vie... afin qu'ils ne soient jamais oubliés. "

http://extraneens.free.fr/textes.htm

 

 

LES OBSERVATIONS ET RENCONTRES EN GRECE ANTIQUE

 

 

Une chose est certaine à ce debut du 21ème siècle, Kenneth Arnold n'était pas le premier homme à aperçevoir un OVNI. Dans le passé, en Grèce antique, à Rome, en Israël, en Chine, en Inde, en Colombie (d'aujourd'hui), en Australie... des gens disent avoir vu des OVNIS ou rencontré des extraterrestres. Malheureusement nous ne savons que peu de choses de la Grèce antique, bien que les archéologues apportent de temps en temps des nouvelles informations concernant l'antiquité. Il est certain que ces êtres visitaient la Grèce dans le passé, mais peût-être aussi dans les temps oubliés...

 

LES HISTOIRES DES ANCIENS ECRIVAINS...

 

Diogenes Laertios (3ème siècle AVANT JC) VIII 72

 

 

"Heraklides Pontikus a parlé d'un homme qui est tombé de la lune"


Plutarque (Cheronia, 50-120 APRES JC) "Themistokles XV"


"Pendant cette étape de la bataille une lumière provenant d'Elefsis a brillé ; des pleurs et des échos sont remontés du Thriasian à la mer, comme si une foule de mille hommes avait marché vers la mer. C'est alors que de ces sons de la foule est venu un nuage qui est monté lentement au ciel et s'est déplacé à la mer là où les bateaux Perses avaient jété leurs ancres."


Darmiachos


"L'année 468/7 avant JC, un grand objet flambant et brillant fût tombé au sol après 75 jours des mouvements bien curieux dans le ciel "


Diodorus le Cicilean (1er siècle avant JC)


"En 372 avant JC, un mauvais présage annoncait la chute de Sparte. Pendant plusieurs jours une lumière était visible dans le ciel pendant la nuit, une lumière qui ressemblait à un rayon de feu. Quelques jours plus tard les Spartiates ont perdu la bataille"


Callisthenes (4Th Siècle avant JC)


"Le même signe a été vu à 373 avant JC, avant Vouron et Eliki, deux villes d'Achaide à côté de la mer."


Lucian (Samosata de Syrie 121 après JC - Athènes 181 après JC)


"Ikaromenippos" "La distance de la terre à la lune était de 4800 kilomètres et de là au soleil encore 500 lieux et à jusqu'à la planète de Zeus cela devait être un vol de plusieurs jours d'aigle"

 

En 83 avant JC, le général romain Syllas a réuni son armée pour attaquer la Grèce. Lorsque son armée est passé à côté d'Illyrian Apollonia, une ville près de la ville od Dirach en Albanie d'aujourd'hui, ils ont rencontrée un être étrange.


Plutarque (Cheronia, 50-120 après JC) "Syllas"

 


"Près d'Apollonia et dans les environs se trouve Nympaio, un lieu sacré avec une marche, une vallée étroite et des rivières de feu. Là les soldats de Syllas ont attrapé un satyre. Les soldats ont apporté cette créature étrange devant Syllas et il l'a interrogée, mais elle ne pouvait pas parler, seulement elle a gémi et crié comme une chèvre ou un cheval"


Titos Lucresius Karo (99 - 55 BD) "de rerum natura"


"Il faut considérer que d'autres parties de l'univers sont habitées par des tribus de gens divers et des animaux sauvages "

 

RENCONTRES ANCIENNES

 

Il y a des histoires de créatures humanoïdes qui sont apparues dans le passé et des gens qui les ont rencontré et qui les ont souvent adorées.


Une d'entre elles était Pan, une créature qui a donné son nom au mot "panique" (et panikos en grec). Les paysans grecs étaient heureux avec Pan, une créature qui ressemblait à une chèvre et qui jouait sa flûte (une pipe de canne semblable à celle employée aux Andes).


C'était Pan la créature que Phedipedis, le soldat et coureur de fond a rencontré pendant que les Perses envahissaient la Grèce et marchaient vers Athènes. En 490 avant JC, cette rencontre a dû être très importante parce qu'elle a forcé les Athenians de construire un temple pour la chèvre comme semi Dieu. Phedipedis courait 120 kilomètres par jour d'Athènes à Sparta et retournait à Athènes le jour suivant. Il a rapporté le message d'aide mais les Spartiates ont refusé d'aider.


Plutarque et Hesiod ont écrit que pendant la bataille de Marathon "un homme" inconnu (?) a aidé l'armée grecque avec une sorte d'arme à rayons à plusieurs occasions. Plutarque dans "THESEUS" a écrit que la déesse Athéna et les semis dieux Hercule et Theseus sont venus d'Olympe pour aider à vaincre l'armée Perse. Epimenides, un poète célèbre de la Crète avait une expérience de disparition dans le temps. Etant enfant, son père l'a envoyé à trouver un mouton disparu. Mais c'était un jour chaud et le jeune  Epimenides a trouvé abri à l'intérieur d'une caverne pour se reposer et se protéger du soleil. Quand il s'est réveillé et qu'il est retourné chez lui, il a trouvé son frère 57 ans plus âgé ! Epimenides était tombé dans un sommeil profond, comme Rip Van Winkle. Et c'est arrivé au 7ème siècle avant JC.


On a aussi des histoires racontées par des historiens antiques et des biographes.

 

Les observations d' Alexandre Le Grand

 

Alexandre le Grand ou Alexandre III de Macédoine (en grec ancien Ἀλέξανδρος Γ' ὁ Μακεδών / Aléxandros III o Makedốn, Ἀλέξανδρος signifiant « protecteur ou repousseur de l’homme ») (né le 21 juillet -356 à Pella, mort le 13 juin -323 à Babylone) est l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité.

 

Alexandre le Grand et l'armée macédonienne auraient vu et rencontré des disques étranges - ils sont mentionnés comme des boucliers métalliques volants - Dans beaucoup d'occasions ces boucliers passaient devant l'armée et semblaient plonger vers la foule des soldats grecs. Par conséquence, les éléphants et les autres animaux utilisés pendant la campagne ont eu peur et les soldats pris de panique, se sont dispersés.

Il y a aussi un renseignement notable concernant le siège de la ville fortifiée de Tyros qu'Alexandre a capturé. Tyros était la première ville à être prise par une équipe de forces spéciales, une unité macédonienne d'élite qu'Alexandre a nommé pour cette tâche difficile.

 

Des observations plus que troublantes

Alexandre Le Grand - Inde ( 329 av. JC. ) a fait des observations d'ovnis pendant des batailles. Voilà les textes qui se rapportent à ces évènements.

"En 329 avant J.C., deux "boucliers d'argent brillant" plongent du ciel vers les troupes d'Alexandre Le Grand, entraînant la dispersion des chevaux et des éléphants. alors qu'ils franchissent le fleuve Jaxarte en Inde et sèment la panique dans les rangs."

Prise de Tyr par Alexandre le Grand

" En 322 avant J.C., lors du siège de Tyr en Phénicie par Alexandre Le Grand et ses troupes, une formation triangulaire composée d'un grand bouclier volant et de quatre plus petits est observée par les soldats des deux camps. Ils décrivent des cercles autour de la cité puis le plus gros envoie un rayon lumineux contre le mur de la cité et le troue, ce qui profite aux troupes d'Alexandre. Les objets repartent après la victoire.

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Il est par ailleurs rapporté que ces « boucliers volants » auraient détruit les murailles de la ville de Tyr, permettant sa prise par les troupes macédoniennes.

C'était pendant le siège de Tyros (332 avant JC) qu'une formation de ces objets a attaqué les murs de cette ville fortifiée et a laissé le champ libre à l'attaque macédonienne, comme l'ont écrit les anciens biographes. "Ces deux armées étaient debout et observaient les boucliers volants argentés venir du ciel et attaquer les murs de Tyros"
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Alexandre assiège Tyr, une ville de Phénicie (le Liban actuel). Les soldats des 2 camps observent avec stupéfaction un large bouclier volant en formation triangulaire avec 4 plus petits boucliers, et décrivant des cercles autour de la cité en guerre. Soudain, le plus gros des ovnis lance un rayon de lumière contre le mur de la cité en face des assaillants et le troue. D'autres rayons sont émis, détruisant les défenses de la citadelle. Les troupes d'Alexandre tirent vite avantage de la situation et pénètrent dans la ville. Les ovnis demeurent dans le ciel jusqu'à ce que l'armée se soit totalement emparée de la ville. Ce n'est qu'alors qu'ils se remettent en route en disparaissent.

Les livres d'histoire et http://www.ufologie.net/htm/histoire.htm
http://ipani.free.fr/Dossiers/dossier-greceantique.htm

 

Source : http://the18thfile.homestead.com/files/UFO_ancient_Greece.htm

 

 

Période de 480 avant J.C. à 1700 après JC.

Salamine - Grèce Antique ( 480 av. JC. )

Un objet en forme de corne apparut dans le ciel pendant la bataille de Salamine que les Grecs coalisés livrèrent contre les Perses.

Grèce Antique ( 428 av. JC. )
Le philosophe Anaxagone qui vécut de -500 à -428, dont Périclès et Euripide furent les disciples, vit dans le ciel une lumière considérable et extraordinaire de la dimension d'une grosse poutre. Ce météore resta en place plusieurs jours.

Cnide Grèce Antique ( 395 ou 394 av. JC.)
Des poutres brillent aussi tout à coup, de type semblable, appelées " doxoi " en grec, comme il en apparut lors de la défaite navale qui coûta aux Lacédomiens l'empire de la Grèce ( bataille de Cnide ).

Alexandre Le Grand - Phénicie ( 322 av. JC. )
En 322 av. JC, Alexandre assiégeait Tyr, une ville de Phénicie ( le Liban actuel ). Les soldats des deux camps observèrent avec stupéfaction un large " bouclier volant ", se déplaçant en formation triangulaire accompagné de quatre " boucliers " plus petits, et décrivant des cercles autour de la cité en guerre. Soudain, le plus gros des ovnis lança un rayon de lumière contre le mur de la cité en face des assaillants et le troua. D'autres rayons furent émis, détruisant les défenses de la citadelle. Les troupes d'Alexandre tirèrent vite avantage de la situation et pénétrèrent dans la ville. Les ovnis demeurèrent dans le ciel jusqu'à ce que l'armée se soit totalement emparée de ville. Ce n'est qu'alors qu'ils se remirent en route et disparurent.

Italie - Rome antique ( 223 av. JC. )
A Ariminium une lumière brillante comme le jour illumina la nuit; en de nombreuses régions de l'Italie, trois Lunes devinrent visibles au cours de la nuit.

Italie - Rome antique ( 222 av. JC. )
Trois Lunes sont aussi apparues en même temps, par exemple, sous le consulat de Gnaeus Domitius et Gaius Faunus.

Italie - Rome antique ( 218 av. JC. )
Dans la province d'Amiterna, on vit en de nombreux endroits l'apparence d'hommes en vêtements blancs, venant de très loin. Le globe du Soleil devint plus petit. A Praeneste, des lampes scintillantes dans le ciel. A Arpia, un bouclier dans le ciel.. Des vaisseaux fantômes apparurent dans le ciel.

Arpi - Rome antique ( 217 av. JC. )
A Arpi on vit des boucliers dans les airs et le soleil luttant contre la lune. A Capène deux lunes s'étaient montrées en plein jour. A Faléries il s'était fait dans le ciel une large ouverture par où s'était échappée une grande lumière.

Cannes - France ( 216 av. JC. )
Des objets ronds et des formes de navires avec des occupants furent observés.

Italie - Rome antique ( 216 av. JC. )
Julius Obsequens, un historien romain païen du IVe siècle, relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie. Le même phénomène réapparut au-dessus de Rome l'année suivante, et fut également observé au-dessus de la ville de Lanupium ( à 25 km de Rome ) en 170 av. JC., selon un texte allemand du XVIe siècle.

Hadria -Rome antique ( 213 av. JC. )
L' historien romain Titus Livius, né en 59 av. JC et mort en l'an 17 de notre ère ) rapporte une observation faite en 213 av. JC à Hadria, dans le golfe de Venise en Italie, et parle de la présence dans le ciel de ce qui ressemblait à un autel, entouré " de l'étrange spectacle d'hommes vêtus de blanc ".

Setie - Rome antique ( 203 av. JC. )
Julius Obsequens écrit qu'en 203 av. JC., " à Setie ( 80 km de Rome ), une lumière éblouissante comme une torche fut observée dans le ciel, se déplaçant d'Est en ouest ", et qu'elle était accompagnée d'un autre objet.

Messala - Rome antique ( 190 av. JC. )
Sous le consulat de Messala et C. Livius on aperçut en divers endroits des feux célestes dont la flamme légère brûla les vêtements de plusieurs personnes.

Capoue et ailleurs - Rome antique ( 175 av. JC. )
Julius Obsequens écrit que ce jour la on vit au milieu de la nuit, le soleil et le même jour à Formie, deux soleils apparurent ensemble. Sur l'île de Céphalonie, une trompette résonna du haut du ciel et une pluie de terre tomba.

Italie - Rome antique ( 170 av. JC. )
A Lanupium, sur la Via Appia, à environ 25 km de Rome, on vit le spectacle remarquable d'une flotte de vaisseaux évoluant dans les airs.

Pesaro - Rome antique ( 163 av. JC. )
Un soleil brilla dans la nuit.

Consa - Rome antique ( 156 av. JC. )
Sous le consulat de L. Optimius, des armes volèrent dans le ciel.

Rome - Rome antique ( 154 av. JC. )
On vit en divers endroits comme des toges qui disparaissaient aux yeux de ceux qui s'en approchaient.

Préneste, Céphalonie - Rome antique ( 142 av. JC. )
On vit tomber du ciel des drapeaux.

Rome antique ( 136 av. JC. )
Sous le consulat de P. Africanus et C. Fulvius, durant la nuit le soleil répandit pendant quelques instants une vive clarté.

Gaule - France ( 122 av. JC. )
En Gaule, trois Soleils et les trois Lunes.

Italie - Rome antique ( 113 av. JC. )
Le phénomène, appelé généralement "Soleils nocturnes" c'est-à-dire une lumière émanant du ciel pendant la nuit, a été vu sous le consulat de C. Caecilius et Cn. Papirius et en maintes autres occasions, faisant luire de nuit un semblant de jour...

Ombrie ( Italie ) - Rome antique ( 103 av. JC. )
Un cliquetis d'armes et des sons de trompettes furent entendus dans le ciel, nous dit-on, pendant la guerre contre les Combres et maintes fois avant comme après. Au cours du 3e consulat de Marius, les habitants d'Améria et de Tudertum eurent le spectacle d'une rencontre entre des armes célestes venant les unes de l'Orient, les autres de l'Occident.

Rome antique ( 102 av. JC. )
Une torche ardente sillonna le ciel et au coucher du soleil un corps sphérique semblable à un bouclier se dirigeait de l'ouest en est. Peu avant la bataille d'Aix-en-Provence à Amérie et Turderte, on vit pendant la nuit des javelots et des boucliers de flammes, qui d'abord séparés, tombaient ensuite les uns sur les autres en prenant des dispositions et en décrivant des mouvements qu'affectent les armées combattantes. A la fin, les uns cédant, les autres allant de l'avant, tous s'étaient précipités vers le couchant.

Lucanie - Rome antique ( 95 av. JC. )
Des flammes voltigèrent autour d'un troupeau de moutons et l'enveloppèrent encore pendant la nuit dans l'étable sans rien brûler.

Vulsinium Rome antique ( 95 av. JC. )
On vit à l'aube une flamme jaillir d'un point du ciel, se resserrer peu à peu et prendre la forme d'une boucle de feu d'un rouge foncé. Le ciel parut descendre et laissa voir, par une large ouverture, des flammes qui avaient l'aspect d'un tourbillon.

Rome - Rome antique ( 93 av. JC. )
Au lever du soleil, il avança du septentrion un globe de feu de couleur or qui tomba en tournoyant sur la terre. Il augmenta ensuite de volume, puis remonta dans les airs, il se dirigea alors vers l'orient.

Spoletum ( Italie ) - Rome Antique ( 90 av. JC. )
Julius Obsequens écrit qu'en 90 av. JC, " En territoire de Spoletum, un globe de feu, de couleur dorée, tomba du ciel sur la terre, se mit à tourner… Puis devint plus grand en taille, et on vit s'élever de la Terre, aller vers l'est, et obscurcir le disque solaire de sa grandeur ".

Italie - Rome antique ( 76 av. JC. )
Une étincelle tombant d'une étoile, qui s'accroît en approchant de la Terre, après avoir atteint la grandeur de la Lune, répand la clarté d'un jour nuageux, pour se retirer ensuite dans le ciel sous forme de torche, voilà un phénomène que la tradition mentionne sous le consulat de Cn. Octavius et C. Scribonius et qui eut pour témoin le proconsul Silanus avec sa suite.

Italie ( 66 av. JC. )
Pline l'Ancien ( 23-79 ) parle de " rayons brillants dans le ciel " dans son Historia Naturalis, et raconte comment en 66 av. JC. une " étincelle " tomba d'une étoile sur la Terre, devint plus grosse que la lune puis, diminuant de taille, s'en retourna au ciel. Dans son Historia Naturalis, Pline affirme : " Une lumière dans le ciel nocturne, phénomène généralement appelé ''soleil de minuit'', fut observé sous le consulat de Gaius Caecilius et Gnaeus Papirius, ainsi qu'à de nombreuses autres occasions, créant en pleine nuit une lumière semblable à celle du jour. Sous le consulat de Lucius Valerius et de Garius Marius, un bouclier de feu semant des étincelles traversa le ciel d'Est en ouest alors que se couchait le soleil ".

Italie - Rome antique ( 45 av. JC. )
Des espèces d'armes et de javelots s'élevèrent de terre avec un grand bruit et se dirigeaient vers le ciel.

Italie - Rome Antique ( 42 av. JC. )
A Rome une lumière brilla si fortement à la tombée de la nuit que les gens se relevèrent pour travailler bien que le jour fût tombé. A Murtinum, on vit trois Soleils vers la troisième heure du jour et qui se rassemblèrent alors en un seul globe.

Japon ( 9 av. JC. )
Neuf Soleils apparurent au-dessus du Japon.

Egypte ( 22 )
D'après un papyrus retrouvé dans les papiers d'un directeur du Musée égyptien du Vatican, " en l'an 22, au troisième mois de l'hiver et à la sixième heure du jour (...), les scribes de la Maison de Vie s'aperçurent qu'un cercle de feu apparaissait dans les cieux... Il n'avait pas de tête, le souffle de sa bouche avait mauvaise odeur. Son corps faisait une perche (environ 5 mètres) de long et une perche de large. Il n'avait pas de voix ". Les scribes sombrèrent dans la confusion. Ayant entendu parler de l'événement, le pharaon médita sur le sujet, mais au bout de quelques jours, " ces choses dans le ciel devinrent plus nombreuses que jamais. Elles brillaient dans le ciel plus fort que l'éclat du soleil, et s'étendaient jusqu'aux limites des quatre colonnes supportant les cieux... L'armée du pharaon, et lui au milieu d'elle, observa cela. C'était après le dîner. Sur ce, ces cercles de feu montèrent plus haut dans les cieux en direction du sud... ".

Jérusalem - Palestine ( 21 mai 70 )
Flavius Josèphe décrivit un fantôme démoniaque d'une taille incroyable. Avant l'aurore surgirent sur le pays entier, des chars et des soldats armés.

Calédonie - Ecosse ( 80 )
Lorsque l'empereur Agricola était en Calédonie, des flammes apparurent au-dessus de la forêt, et par temps clair, il était possible de distinguer un vaisseau dans le ciel.

Notorita - Japon ( 200 )
Il y avait au village de Notorita un homme appelé Hashiro-Kima-Washi. C'était un individu de forte taille qui possédait des ailes sur son corps de sorte qu'il pouvait voler et s'élever très haut dans le ciel. Il refusait d'obéir aux ordres impériaux et dépouillait les gens.

Chine ( janvier 235 )
Un météore rouge émettant des rayons pointus tomba du nord-ouest vers le sud-ouest dans le campement de Liang. Le météore se déplaça trois fois d'avant en arrière au-dessus du camp, chaque fois d'une plus grande magnitude lors de son mouvement en avant et lors de son retrait. (Christiane PIENS: "Les Ovni du passé" - Marabout 1977 - p. 39)

Chine ( janvier 314 )
Le soleil tomba sur le sol et trois autres soleils surgirent ensemble au-dessus de l'horizon. Et un autre jour, le soleil s'abaissa rapidement vers le sol et trois autres soleils volèrent côte à côte, après s'être élevés à l'ouest, se dirigeant vers l'est.

Chine ( janvier 317 )
Trois soleils brillèrent en même temps dans le ciel teint de couleurs multicolores. Les soleils étaient entourés d'une auréole et suspendus à dix mètres au-dessus du sol. Le centre des soleils avait une couleur verdâtre.

Antioche - Turquie ( 394 )
Une nuit, il apparut une chose ressemblant à une femme vêtue et qui se déplaçait haut dans le ciel. Cela avait des dimensions colossales et un aspect si horrible que les témoins qui la contemplèrent en furent épouvantés. Cela allait ça et là dans le ciel, au-dessus des rues de la ville. Elle émettait sans arrêt un bruit semblable au sifflement d'un fouet et l'air en résonnait. Ce bruit-là était comme celui que fait habituellement un dompteur lorsqu'il excite les bêtes féroces pour les enrager avant de les présenter aux spectateurs d'un amphithéâtre...

Byzance ( 436 )
J. Obsequens: " les tremblements de terre se succèdent à un rythme effrayant.... Tout d'un coup, et au milieu de tous les assistants, un enfant fut enlevé par une force inconnue assez haut dans le ciel pour qu'on le perde de vue; après quoi, étant redescendu comme il était monté, il déclara au patriarche Procus, à l'empereur lui-même et à la multitude réunie qu'il venait d'assister à un grand concert d'anges louant Dieu ".

Europe ( 457 )
Conrad Wollfart, connu sous le nom de Lycosthenes, professeur à l'université de Bâle, en Suisse, depuis 1539, rapporte qu'en 457, au-dessus de la Grande-Bretagne et du nord de la France, " une chose flamboyante en forme de globe fut vue dans le ciel. Sa taille était immense et de cette boule de feu sortaient deux rayons, l'un qui allait plus loin que la France, et l'autre qui allait en direction de l'Irlande, et se terminait en feu, comme des faisceaux ".

Mont Katsuraki - Japon ( 460 )
4e printemps, 2e mois. L'empereur participa à une chasse à l'arc sur le mont Katsuraki. Soudain un homme de haute taille apparut, qui de visage et d'allure, ressemblait à l'empereur. "De quel endroit es-tu?" demanda l'empereur. "Je suis le dieu des hommes visibles. Dis-moi d'abord ton nom royal et ensuite je t'informerai du mien." L'empereur répondit: "Nous sommes le Waka-taka-no-Mikoto." L'homme de haute taille dit: "Ton serviteur est le dieu Hito-Koto-Mushi. Le dieu qui chasse d'un mot le bien et d'un mot le mal. Il se joignit à l'empereur jusqu'au coucher du soleil, quand la chasse prit fin. Le dieu raccompagna l'empereur jusqu'aux eaux de Kume.

Irlande ( 575 )
Lorsque St Columcille réunit le synode de Drum Ceatt (ou Drom Ecart) il demanda à Aedh Mac Ainmuire de libérer Scandlann Mor, ce qui lui fut refusé. Au cours de la même nuit, on vit un pilier de feu au-dessus de la ville. Il se dirigea vers la prison où était enfermé Scandlann Mor, s'arrêta et émit un rayon lumineux qui pénétra dans la cellule. Les chaînes qui retenaient le prisonnier se détachèrent alors et il entendit une voix qui l'appelait. Un ange vint le libérer. A la suite de quoi Aedh Mac Ainmuire, très impressionné, reconnut la mission divine dont St Columcille était investi.

France ( 584 )
Saint Grégoire, évêque de Tours (France), raconte dans son Historia Francorum (" Histoire des Francs ") comment, en 584, " apparurent dans le ciel de vifs rayons de lumière qui semblaient se croiser et se heurter ", et comment, l'année suivante, " au mois de septembre, certaines personnes virent des signes, à savoir des rayons ou des dômes comme on voit généralement filer dans le ciel ". A un autre endroit, saint Grégoire décrit des " globes dorés " qui, à plusieurs occasions, furent observés alors qu'ils passaient à la vitesse de l'éclair dans le ciel de France.

France ( 585 )
Au mois de septembre, certains ont vu des signes, c'est à dire de ces rayons ou coupoles qu'on a coutume de voir et qui semblaient courir avec rapidité dans le ciel.

France ( 587 )
Pendant deux nuits de suite, au milieu du ciel, une espèce de nuage fort lumineux qui avait la forme d'un capuchon.

Japon ( 661 )
Pour l'année 661, les chroniques japonaises citent un événement intrigant : "Automne, premier jour du huitième mois. Le prince impérial, après être venu s'incliner sur la dépouille mortelle de l'impératrice décédée, regagna le palais d'Ihase. Ce soir-là, au sommet du mont Asakura, il y avait un esprit portant un grand chapeau, qui observa le déroulement des funérailles. Tous les gens présents poussèrent de grands cris d'étonnement."

Barking - Grande Bretagne ( 664 )
Alors que quelques religieuses priaient dans un cimetière voisin du couvent de Berecingum (Barking), une grande lueur descendit du ciel, les encercla, puis fit le tour du monastère avant de disparaître haut dans le ciel.

Osaka - Japon ( 1 octobre 679 )
Une matière semblable à du coton de cinq à six pieds de long tomba sur Ninawa ( ancien nom d'Osaka ).

Japon ( 692 )
Le vingt-huitième mois, sous le règne de Tokama-no-ara-hito-hime, on vit dans la nuit les planètes Mars et Jupiter se rapprocher l'une de l'autre puis s'éloigner quatre fois de suite, resplendissant et s'éteignant alternativement.

Meaux - France ( 729 )
Le moine Wilfred vit deux grandes comètes tourner autour du Soleil...

Grande Bretagne ( 746 / 748 )
On vit à plusieurs reprises des dragons dans le ciel, ainsi que des vaisseaux aériens avec des hommes à bord.

France ( 760 )
Sous le règne de Pépin le Bref ( 715-768 ) des phénomènes forts singuliers se montrèrent publiquement en France. L'air était plein de figures humaines, le ciel reflétait des mirages de palais, de jardins, de flots agités, de vaisseaux les voiles au vent et d'armées rangées en bataille. L'atmosphère ressemblait à un grand rêve. (...) On confondit les rêves et la veille et plusieurs personnes se crurent enlevées par des êtres aériens; il ne fut bruit que de voyages au pays des sylphes .... la folie gagna les meilleures têtes et il fallut enfin que l'Eglise s'en mêla ( Eliphas Levi dans " Histoire de la Magie " ).

Grande Bretagne ( 773 )
Une croix rouge apparut après le coucher du Soleil au-dessus de l'Angleterre
   
Sigisburg - France ( 776 )
Ces images de deux croisés datant d'un manuscrit du 12ème siècle " Annales Laurissenses " se réfèrent à la vision d'un OVNI en 776, pendant le siège du château Sigiburg, en France. Les Saxons sont assiégés par les Français quand pendant la bataille un groupe de disques apparu planant sur l'église. Les Saxons penserens que les français étaient protégé par ces objets et s' enfuirent: " et le même jour, alors qu'ils préparaient un nouvel assaut contre les chrétiens qui vivaient dans le château, la gloire de Dieu se manifesta au-dessus de l'église, à l'intérieur de la forteresse. Ceux qui faisaient le guet, dehors sur la place, dirent qu'ils virent la ressemblance de deux larges boucliers de couleur rougeâtre, flamboyants et en mouvement au-dessus de l'église même..."

Northumbrie - Grande Bretagne ( 793 )
En 793, la Anglo-saxon Chronicle rapporte: " En cette année, de terribles présages apparurent en Northumbrie, et affligèrent grandement ses habitants. Il s'agissait d'exceptionnels éclairs de foudre, et de dragons de feu qu'on voyait voler dans les airs ". Ces événements furent également consignés par Roger de Wendovert: " des dragons de feu dans le ciel effrayèrent l'infortunée nation des Anglais ".

Grande Bretagne ( 796 )
D'après le " Flores Historiarum " du bénédictin Roger de Wendover, on vit des petits globes tournoyer autour du soleil.

Saxe - Allemagne ( 810 )
Charles fût lui-même victime d'un accident significatif au cours de sa dernière expédition en Saxe contre le roi des Danois Godefrid. Un jour qu'il avait quitté le camp et s'était mis en route avant le lever du Soleil, il vit soudain une torche éblouissante descendre miraculeusement d'un ciel serein et traverser l'air de droite à gauche. Et comme l'on se demandait ce que présageait ce phénomène, le cheval qu'il montait baissa brusquement la tête et tomba en le précipitant à terre avec une telle violence que le fibule de son manteau se rompit et que le baudrier de son glaive fut arraché. Quand ses serviteurs, témoins de l'accident, se précipitèrent pour le relever, ils le trouvèrent sans armes, sans manteau, et l'on ramassa à au moins vingt pieds de distance un javelot qui lui avait échappé des mains au moment de sa chute.

Chine ( 814 )
Une étoile comme une demie natte de paille s'éleva de terre et sa lumière éclaira le sol. Une quantité de petites étoiles en sortirent.

Espagne ( 827 )
Eginard signale d'autre part que durant l'expédition en Espagne de Pépin Ir, second fils de Louis le Débonnaire, il se passa d'étranges choses: ".. en vérité ce désastre fut précédé de terribles apparitions de choses dans l'air. Durant la nuit elles étaient tantôt de pâles clartés, tantôt des feux brillants et rouges comme du sang.

Angers - France ( 842 )
Un objet traverçant les cieux au dessus de la ville d' Angers en 842.

France ( 1 décembre 848 )
On vit des lances dans le ciel. Trente jours après on aperçut à nouveau des lances effroyables dans le nord et l'orient du ciel.

France ( 877 )
Charles II, le Chauve ( 823 - 877 ) fut un jour entraîné par un être d'une blancheur éclatante, muni d'une arme jetant une lueur extraordinaire, comme celle d'une comète. Au cours du voyage, l'étranger protégea le roi de certains animaux sauvages en les enveloppant d'une clarté qui offusqua si bien ces dangereuses bêtes qu'elles ne purent l'atteindre.

Chine ( novembre 879 )
Il y eut un jour deux soleils qui se battirent ardemment. Et un autre jour du même mois, deux soleils montèrent ensemble et se battirent dans le ciel, se confondant en un seul astre sous les yeux de tous les spectateurs.

Japon ( 900 )
Vision d'une roue brûlante ( roue céleste flamboyante ) pendant l'an 900, sur le Japon.

Chine ( 905 )
A la troisième lune et le jour I-Cheou à minuit, il parut au zénith un grand globe de feu. Il était de la grandeur de cinq boisseaux. Il se dirigea vers le nord-ouest. A la distance de cent pieds il s'arrêta. On vit au-dessus de lui une multitude de petites étoiles, telles des étincelles d'un rouge jaunâtre. Sa queue était longue de cinquante pieds et ressemblait à un serpent. Toutes les petites étoiles étaient en mouvement. Peu après le globe s'éteignit pour faire place à une vapeur verdâtre, comme des touffes de bambou, qui s'étendait jusqu'au zénith et dont la couleur allait en s'affaiblissant.

Hongrie ( 919 )
Une torche ardente et des sphères brillantes comme des étoiles se déplacèrent ça et là dans le ciel de Hongrie.

Verdun - France ( 927 )
Dans les " Annales " de Flodoard, chroniqueur franc on peut lire qu'en 927 à Verdun et dans tout l'est de la France on vit des armées en marche dans le ciel.

Chine - ( 14 octobre 934 )
On vit au commencement de la nuit une étoile grande comme cinq boisseaux qui se dirigeait vers le sud-ouest. Elle avait une longue queue d'environ 10 degrés. Sa couleur était rouge. Elle se métamorphosa instantanément, prit la forme d'un dragon avant de figurer deux bêches qui se rapprochaient. Une petite étoile se déplaçant vers l'est fut aperçue au même moment.

Allemagne ( 940 )
Des armées ravagèrent le ciel.

France - ( 940 )
Dans la nuit d'un dimanche on vit des lances dans le ciel.

Cloera - Irlande ( 950 )
Il est arrivé, au bourg de Cloera, un dimanche où les gens étaient à la messe, un prodige. Il y a, en ce bourg, une église dédiée à la mémoire de Saint Kinarus. Une ancre métallique à laquelle était attachée une corde, tomba du ciel et une des pattes, qui étaient pointues, se prit à l'arche en bois qui surmonte l'église. Les gens se précipitèrent au-dehors et aperçurent dans le ciel un navire avec des hommes à bord qui flottait à l'autre bout de la corde de l'ancre, puis ils virent un homme sauter par dessus bord et descendre à la corde comme pour aller décrocher l'ancre. On aurait dit qu'il nageait dans l'eau. Les gens se précipitèrent pour l'attraper mais l'évêque leur interdit de le tenir de peur qu'ils ne le tuent. L'homme, une fois lâché, se dépêcha de remonter à la corde pour regagner le navire. L'équipage coupa la corde et le navire s'élevant, disparut. Mais l'ancre est restée dans l'église en témoignage de ce singulier événement (dans " Speculum Regali " manuscrit " Konungs Skuggsa "). Cet événement est aussi situé vers 1215 et il existe plusieurs versions ).

France - ( 2 novembre 979 )
Pendant toute la nuit des lances furent remarquées au milieu du ciel.

Japon ( 3 août 989 )
Les trois objets brillèrent d'une façon peu ordinaire et se réunirent en un même point de leur trajectoire.

Suisse ( 1104 )
Wolffart note qu'en Suisse, en 1104, " des torches ardentes, des traits de feu, du feu volant, furent souvent vus dans le ciel cette année-là. Et il y avait, proches des étoiles, comme des essaims de papillons et de petits vers ardents de nature étrange. Ils volèrent dans les airs et obscurcirent le soleil comme auraient fait des nuages ".

Grande Bretagne ( 1113 )
En Angleterre, en 1113, un groupe d'ecclésiastiques de Laon allaient de ville en ville dans le Wessex (sud-ouest de l'Angleterre), portant avec eux les reliques de la Vierge Marie, lesquelles leur permettaient d'opérer des guérisons miraculeuses. Arrivés à la ville côtière de Christchurch, dans le Hampshire, ils furent sidérés de voir un dragon sortir de la mer, " jetant du feu par les narines ". Les récits d'ovnis sortant de la mer constituent une véritable subdivision de l''ufologie.

Sussex - Grande Bretagne ( 9 mars 1170 )
Le chroniqueur du XIIe siècle Ralph Niger raconte que le 9 mars 1170, à St Ostwyth dans le Sussex, au sud-est de l'Angleterre, " un dragon incroyablement volumineux fut observé, quittant la Terre pour s'envoler dans les airs. L'air fut embrasé de feu par son action et une maison fut brûlée, réduite en cendres ainsi que ses dépendances ".

Kent - Grande Bretagne ( 1211 )
Durant une messe dominicale à Gravesend, dans le Kent (Angleterre), en 1211, l'on dit que l'assemblée des fidèles vit une ancre descendre et s'accrocher à une pierre tombale du cimetière. Les fidèles se ruèrent dehors et virent une étrange " nef " dans le ciel, avec des gens à bord. L'un des occupants du vaisseau sauta par-dessus bord mais ne tomba pas : " comme s'il nageait dans l'eau ", il se déplaça dans les airs jusqu'à l'ancre. On tenta de le capturer mais l'homme " se pressa jusqu'à la nef " sans doute toujours en " nageant ". Ses compagnons coupèrent la corde de l'ancre, et la nef " se mit à voguer jusqu'à être hors de vue ". Le forgeron local se servit de l'arche abandonnée pour décorer le lutrin de l'église.

Angleterre - Grande Bretagne ( 24 juillet 1239 )
Dans son Historia Anglorum ( Histoire des Anglais ), le chroniqueur britannique Matthew of Paris narre comment, alors que se couchait le soleil le 24 juillet 1239, " apparut une grande étoile semblable à une torche " au-dessus de Hereford et Worcester (des villes de l'ouest de l'Angleterre, proches de la frontière du pays de Galles), qui " se leva au sud pour monter dans le ciel en donnant une grande lumière. Elle avait la forme d'une grande tête, la partie avant était étincelante et la partie arrière faisait de la fumée et des éclairs ". Et, dit-il, " elle se tourna vers le nord… pas rapidement, ni vite en vérité, mais précisément comme si elle voulait monter jusqu'à un endroit dans le ciel ".

St Albans - Grande Bretagne ( 1er janvier 1254 )
Matthew of Paris raconte également qu'au-dessus de St Albans, au sud de l'Angleterre, le 1er janvier 1254 à minuit, " dans un ciel serein et clair, avec des étoiles brillantes et une lune de huit jours, apparut soudain dans airs une sorte de grand bateau, de belle forme, très bien équipé et d'une merveilleuse couleur ".

Cracovie - Pologne ( 6 décembre 1269 )
On lit dans la " History of Poland " de Martin Cromer un récit qui affirme que le 6 décembre 1269, " au crépuscule, une étrange brillance en forme de croix brillait haut dans le ciel et éclairait la ville de Cracovie ".

Grande Bretagne ( 1290 )
La Chronicle de William of Newburgh raconte comment, à l'abbaye de Byland dans le Yorkshire (l'une des plus grandes abbayes cisterciennes d'Angleterre), un jour de 1290, alors que l'abbé et les moines partageaient leur repas, un " objet plat, rond, argenté et brillant " survola l'abbaye, " causant le plus grand effroi ".

Comté de Leicester - Grande Bretagne ( Novembre et décembre 1388 )
La Continuation of the Chronicle of Leicester, de Henry Knighton, affirme qu'en novembre et décembre 1388, " un feu dans le ciel, comme une roue tournoyante et embrasée, ou un baril circulaire de flammes, émettant du feu d'en haut, et d'autres en formes de longs rayons ardents, furent observés une grande partie de l'hiver dans le comté de Leicester, et aussi dans le comté de Northampton ".

Comté de Leicester - Grenade Bretagne ( Avril 1389 )
La même source rapporte que l'année suivante, en la ville de Leicester, on vit à plusieurs endroits, courant avril, un dragon volant.

Bourgogne - France ( 1er novembre 1461 )
Le duc de Bourgogne, dans ses mémoires, rappelle que le 1er novembre 1461 un objet apparut dans le ciel nocturne, " long et large comme la moitié de la lune, il demeura sans bouger environ un quart d'heure, clairement visible, puis soudain... il se mit à tourner comme un ressort puis s'enfuit dans les cieux ".

Hollande ( 1528 )
En 1528, Wolffart raconte que, durant le siège de la ville d'Utrecht, en Hollande, " on vit dans le ciel un signe étrange et cruel " - la forme d'une croix bourguignonne, juste au-dessus de la cité, " de couleur jaune et horrible à contempler ".

Tübingen - Allemagne ( 5 décembre 1577 )
Dans ses Histoires Prodigieuses (1594), Pierre Boaistuau raconte une histoire qui se produisit à 7 h 00 du matin le 5 décembre 1577, à quelques kilomètres de Tübingen ( Allemagne ). Les gens du pays purent voir des nuages " de feu ", étrangement colorés, qui semblaient se rassembler autour du soleil. " Hors de ces nuages (sortaient) des reflets ressemblant à des chapeaux larges, longs et hauts et la Terre se révéla elle-même jaune et sanglante, et semblaient de différentes couleurs, rouge, bleu, vert, mais principalement noir ".

France ( 13 février 1606 )
C'est une " colonne de feu " qui est observée encore dans le sud-est de la France.

Kyoto - Japon ( mai 1606 )
Des boules de feu avaient survolé en permanence la ville de Kyoto et un soir une roue rouge était même venue tournoyer et planer au-dessus du château de Nijo.

kinki - Japon ( 4 mars 1614 )
On y observa le passage d'un objet carré.

Fluelen ( Uri ) - Suisse ( 1619 )
Herr Christophorus Schere, préfet du canton d'Uri vit près de Fluelen, le long du lac d'Uri, un objet volant long et brillant. (Henry DURRANT: "Le livre noir des S.V." - Laffont 1970, p. 61) En 1619, à Flüelen, un énorme objet allongé et de couleur de feu est vu près d'un lac par le professeur Christopher Scherer, préfêt du canton d'Uri: "M'étant attardé sur le balcon pour admirer la pureté du firmament, je vis un brillant dragon de feu sortir de l'une des cavernes du mont Pilate et se diriger rapidement vers Flüelen à l'autre extrémité du lac. Il était énorme, sa queue longue et son cou tendu...Il laissait derrière lui, en volant, de nombreuses étincelles...Je crus d'abord voir un météore, puis, en regardant plus attentivement, je fus convaincu par son vol...que je voyais un véritable dragon."

Quimper - France ( 1 février 1620 )
Entre 19 et 20 heures la foudre tomba sur la pyramide revêtue de plomb sur le toit de la cathédrale. Elle prit feu, explosa et s'écrasa au sol dans un bruit terrifiant. Les gens venus virent alors dans les flammes et la fumée un démon de couleur tantôt verte, tantôt bleue, qui faisait de son mieux pour attiser le feu.

Genève - Suisse ( dimanche des Rameaux 1620 )
Une autre brochure parue en 1620 intitulée: " Effroyable bataille aperçue sur la ville de Genesvre le dimanche des Rameaux dernier; on a veu deux soleils, l'un rouge et l'autre jaune qui se sont entreheurtez Un peu après est apparue une nuée longuette comme un bras, venant du costé du soleil, laquelle s'est arrestée près dudict Soleil, de cette nuée est sorty un grand nombre de gens habillé de noir, et armez comme gens de guerre. Et puis voilà qu'arrivent des nuées jaunes comme du safran, desquelles nuées sont sorties des réverbérations ressemblant à des grands chapeaux haults et larges et s'est monstré toute la terre jaune et sanglante. Le soleil se dédoubla et tout se termina en une pluie de sang ".

Genève - Suisse ( 28 juillet 1621 )
La présence d'une croix dans le ciel de Genève est encore signalée le 28 juillet 1621, croix qui jetait des flammes comme pour embraser la ville et ses alentours.

Paris et Saint-Denis - France ( 12 septembre 1621 )
Diverses petites nuées blanches apparurent lesquelles comme par escadrons, séparées les unes des autres, venoient par après à donner l'une dans l'autre d'une célébrité prodigieuse, après quoy disparoissants, d'autres se présentoient et aux approches envoyoient comme formes et manières de lances et de flèches les unes contre les autres de mesme que des escadrons qui viennent furieusement au choc et après s'estre quelque peu combattus, se perdoient et ne paroissoient plus..." écrit Pierre de l'Estoile. Tandis que Jacques Thevenyn, notaire décrit: "La nuit de dimanche douzième de septembre entre le lundi treizième, combien que fussions sans Lune, neaulmoings elle fut fort claire et se voyoit en l'air des cygnes de moy. Environ les dix heures du soir je vis, estant à nostre porte, au ciel comme trois longs chemins blancs, l'un plus petit que les autres et se mouvoient. J'estimois que ce fust du vent mais je ne sçay que c'estoit et sur ce, je vis comme une couronne qui n'estoit du tout closé du costé de la Porte Sainct Anthoine et l'estoit aux environs, contre laquelle y avoit plusieurs branches qui y venoient fondre.

Lyon, Nimes, Montpellier - France ( 12 octobre 1621 )
"La nuict du 12 octobre dernier, sur les huict heures du soir ou environ, n'ayant pour lors aucune clarté de Lune estant à son dernier cartier, l'air outre nature commença à s'esclaircir du costé du Levant et continuant une heure et demie ou environ, le temps se rendit aussi clair et net qu'il fait aux plus beaux jours de l'Esté, ce qui donna un grand estonnement aux habitants de Lyon. La plus grande partie d'iceux regardant en l'air apperceurent des choses du tout estranges et hors le cours de nature. Sçavoir sur la grande place de Bellecourt virent comme une grande montaigne, sur laquelle estoit la figure d'un Chasteau, duquel sortoient force éclairs qui donnoient de tous costez et perdoient leurs lumières à un instant. Et cette figure de Chasteau se consommoit à mesure que cesdits éclairs en sortoient. Cela sembloit couvrir tout le cartier de la porte du Rosne, de Sainct Michel, la rivière de Saone et donner jusques au faux-bourg de Sainct George. Du costé de la place des Terreaux il fut veu (par plus de quatrecents personnes) en l'air, comme la forme d'un Bataillon de gens d'armes, à cheval, à la teste desquels il y avoit une Estoille fort lumineuse, qui sembloit les conduire, laquelle estoit plus grande et plus claire que celles que l'on voit ordinairement au ciel. Cette estoille comme un second Soleil faisoit dissiper devant elle tous les nuages qui se présentoient de diverses figures et sembloient à voir, vouloir tenir sa clairté, mais estant surmontez par sa grande lumière perdoient entièrement leurs figures et ne paroissoient plus. Toute la ville et lieux circonvoisins furent couverts ceste nuict et autres, ensuivant de divers signes et prodiges, comme lance de feu ardant, qui sembloient venir du costé du faux-bourg de la Guillotière, les quelles s'approchant du Pont du Rosne ne dispersoient et ne paroissoient plus, et cela jusques au lever du jour. Sur la ville de Nismes (...) il se vit à mesme temps cy devant nommé par les habitants de la dicte ville, principallement la nuict du treizième du dit mois environ neuf à dix heures du soir, sur l'Amphitheatre comme un grand Soleil fort resplendissant, lequel estoit entouré d'un nombre d'autres flambeaux lumineux et sembloit vouloir cheminer droit sur la Tour Romaine.. sur laquelle il paroissoit comme des chariots en feu tout entouré d'estoilles fort éclairantes. Il parut aussi d'autres signes tant sur la Capitole que sur le Temple, les quels sembloient couvrir toute la vile, ce qui estonna grandement touts les habitants de la dicte ville et autres lieux circonvoisins. Sur la ville et cité de Montpellier... commença à paroistre sur icelle quantitez de flambeaux ardents en forme de torches de la lumières desquels sortoit nombre comme lances de feu qui alloient de part et d'autre. Cette façon de faire dura depuis les neuf à dix heures de nuit jusques à trois heures du matin que s'apparut une grande et lumineuse estoille avec une longue queue, d'autres petites estoilles, lesquelles sembloient faire dissiper une grosse nuée meslee de diverses esclairs qui la vouloit comme couvrir et empescher sa clarté... "

Belle-Ile ( Morbihan ) - France ( mars 1636 )
Extrait de la lettre du duc de Retz à son ami le R.P. Césarée - bibliothèque Méjanes d'Aix en Provence, manuscrit n° 1209) ... l'homme marain étoit sur un rocher du costé de l'ouest nommé d'Arbonne... et paroissoit comme assis. La grande hauteur de la coste l'empescha de juger comme étoit foit ce qui étoit sous l'eau, mais ce qui paroissoit dehors étoit le ventre, le nombril, le corps, la teste, les bras et les mains très bien proportionnez, fors les mains qui étoient extraordinairement grandes et blanches par dedans et les bras qui étoient un peu courts.Son Corps paroissoit de la grosseur d'une barique de vin et le reste à l'équipolent. Ses cheveux jusque sur les épaules fort gras et blanchâtres, sa barbe semblable et lui alloit jusqu'à l'estomac, ses yeux fort gros et rudes, la peau ni blanche ni basanée, mais elle avoit l'apparence d'être rude. ... mais bien virent-ils que l'entrejambe paroissoit large de plus d'un pied et que son dos étoit ainsi que le dessus de ses mains et de ses bras d'une peau grisâtre et sans écaille. .... au lieu de jambes, deux queues de poisson faites comme un saumon... quelquefois il se battoit les mains l'une contre l'autre et faissoit un certain sifflement qu'ils prirent pour rire... Au mêm temps qu'il paroissoit à Belle Ile des habitants qui alloient à Vannes assurent qu'en plain jour ils avoient vue une même choses.

Boston - USA ( mars 1639 )
James Everll vit une lumière flamboyante dans le ciel. Elle était de forme carrée ou rectangulaire de 2,5 m à 3 m de large et se déplaçait en zigzag.

Yuan ( province de Shansi ) - Chine ( avril 1639 )
Les villageois présentaient leurs condoléances aux membres de la famille de Yuan Yingta, ministre de la Défense nationale pendant la dynastie des Ming, qui s'était sacrifié sur le champ de bataille en résistant aux soldats des Man. On vit alors une chose lumineuse en forme d'étoile, de couleur rouge, blanche, jaune et bleue, survolant le cortège funèbre (…) Cette chose brillante ne se posa pas au sol, mais elle tourna au-dessus du village pendant très longtemps, puis elle remonta dans le ciel. Ses lumières se virent jusqu'à plus de cinq kilomètres de là.

Knokke - Belgique ( 1640 )
Le Memorial Historica Espanol tome XVI relate qu'en 1640 au fort de Kenoque ( Knokke ) qui était une défense de la ville d'Ypres, les soldats du fort aperçurent au zénith une armée complète marchant à travers les flammes. A peine était-elle déployée qu'ils en virent deux autres, une venant de l'est et l'autre de l'ouest. Selon le texte " ces deux armées se mirent en ordre de combat et bataillèrent contre celle venue du nord. Le combat dura une heure et les coups s'entendirent clairement ".

Boston ( Virginie ) - USA ( 18 janvier 1644 )
Vers 8 heures du soir plusieurs habitants du quartier de Boston situé en bord de mer virent une lumière de la taille de la pleine lune se lever au-dessus de la mer au nord-est. Peu après apparut une autre lumière, à l'est. Alors les habitants assistèrent à un curieux jeu de cache-cache entre les deux lumières. (...) Durant ce ballet céleste, plusieurs personnes connues comme étant sobres et pieuses qui se trouvaient sur l'eau entre Dorchester et Boston prétendirent avoir entendu une voix dans le ciel qui prononçait "d'une manière des plus terribles" les mots suivants: "Petit, petit, viens, viens" .... Ces appels furent répétés une vingtaine de fois de diverses directions. Une semaine plus tard, d'autres témoins virent le même ballet et entendirent les mêmes appels venant du fond des cieux.

La Haye - Pays-Bas ( mai 1646 )
D'étranges personnes et animaux apparurent dans le ciel de La Haye. Tandis que "venant du sud-est une importante flotte de navires aériens avec de nombreux marins à bord" s'approchait de ce spectacle insolite. Un gigantesque combat suivit et au moment de la disparition du phénomène on vit alors "comme une grande nuée apparaître là où il n'y avait rien auparavant."

Portugal ( 1655 )
L'inquisition fut requise suite aux allégations d'un homme d'affaire, brusquement apparu au Portugal, qui prétendit qu'à peine quelques secondes plus tôt il se trouvait à Goa, côte est de l'Inde, dans a rue, devant son négoce. Lui trouvant des pouvoirs diaboliques, l'Inquisition le condamna au bûcher.

Goult ( Vaucluse ) - France ( 1661 )
Antoine de Nantes, messager de Goult, en proie à un mal cruel, aperçut un enfant d'une merveilleuse beauté, planant au-dessus des débris d'une auréole de feu. Et quand la figure divine eut disparu, le messager se trouva parfaitement rétabli. Erection d'une chapelle, inaugurée le 3 janvier 1663; "les miracles se multiplièrent à partir de ce jour: les météores de feu éclataient dans les ombres sur le dôme béni."

Belozero - Russie ( 15 août 1663 )
Extrait du rapport du monastère St Cyrille: "Le paysan Levka Fedorov du village de Mys m'a dit ce qui suit: ... de diverses terres et de divers domaines se tenaient des gens à la messe,... en grande foule.. et à ce moment-là retentit, venant des cieux, un bruit très fort et beaucoup de gens sortirent sur le parvis et virent... du côté hivernal du plus clair des cieux, non d'un nuage, sortit un grand feu sur Roboziero et se dirigea vers le Midi, le long du lac, au-dessus de l'eau et avait cette flamme vingt sagènes (1 sagène = 2,13 m) et davantage de toutes parts, et une fumée bleue était à côté et devenant la flamme, sur vingt sagènes, deux rayons de feu aussi ... et du grand feu et des deux flammes plus petites, plus rien ne fut. Après une heure environ, le même feu revint à nouveau sur le lac, de la place même où il avait la première fois disparu et alla du midi vers l'ouest sur une demi-verste (1 verste = 1.066m) et disparut de la même manière. La troisième fois ce feu devint plus effrayant que la première par sa grandeur et par la suite s'en alla vers l'ouest. Et resta en tout sur Roboziero, ce feu, au-dessus du lac, environ une heure et demie et ledit lac à deux verstes en long et une en travers... Sur le lac naviguaient des paysans dans une barque et la flamme de ce feu était si brûlante qu'ils ne purent s'en approcher. Et le lac lui était éclairé jusqu'au fond, au plus profond, au centre il, ce lac, quatre sagènes et le poisson qui s'enfuyait vers les rives, tous l'ont vu et en dessous du feu, l'eau devenait par la flamme, comme couverte de rouille.

Leipzig - Allemagne ( 23 mars 1665 )
Il y aurait eu une chute tellement abondante de filaments de soie bleue, que des champs entiers en furent recouverts. Ces filaments seraient tombés du ciel et s'accrochaient aux pieds des hommes et des animaux. (Inforespace n° 52 - 1980, p. 3)

Mer dans la Manche ( 8 février 1672 )
" A une heure après mydy par le temps du monde le plus serain, s'est apparue à nous une estoille au-dessus de nostre teste, environ de la longueur de quinze pieds. De là est allée tomber du costé du nort, lessant une fumée qui s'est formée en deux navirs avec chacun leurs deux hunières et la mizene et leurs grandes voiles serrés et envergés, ayant tous deux le devant au sus. Celuy du nort estoit plus grand que celuy du sus. Et comme ils alloient ainsy, ils se sont séparés environ de quatre pieds de large l'un de l'autre, au milieu desquels s'est formé un autre navire, paroissant plus gros que les autres, tout noir, nous monstrant le derrière et tournant le devant au nort, sans aucune voile mais pourtant garny de ses mas, vergues et cordages, comme s'il avait esté à l'ancre. Ce qui nous a paru l'espace d'une grosse demi heure. Et puis après, s'estant point ensemble, se sont dissipés en allant du costés du sus sans en lesser aucune marque...".

Grenade - Espagne ( 1677 )
Pierre Boutard, officier à bord du brûlot " La Maligne " note dans le livre du bord: " le jeudy 30ème décembre 1677 le matin su les 4 heures, nous avons veu unne estoille o nord/ouest 1/4 d'ouest et a finy du suest 1/4 d'est, mais portant une grande lumière que nous croyons tous dens nostre bord que le feu fut partout, mais elle estoit acompengnée de plus de 200 rayons portant tous un clerté sans pareille, que nous estions tous esperdus. Nous mouliame sur les 9 ou 10 heures du matin à la pettite rade de la Grenade".

Crosford, Nanark - Ecosse ( juin et juillet 1686 )
Du chroniqueur Patrick Malker: " ... près le bac de Crosford, deux miles au-dessous de Nanark et particulièrement aux Mains, sur la rivière de la Clyde, une grande foule se rassembla plusieurs fois l'après-midi. Il y avait là une pluie de bonnets, de drapeaux, de fusils et d'épées. Les arbres et le terrain en étaient couverts. Des compagnies d'hommes armés marchaient en ordre le long de la rivière , des compagnies rencontrant des compagnies se ruaient les unes contre les autres et tombant à terre, disparaissaient. D'autres réapparaissaient immédiatement et marchaient dans la même direction... ceux qui avaient vu étaient saisis d'une telle frayeur et d'un tel tremblement que ceux qui n'avaient pas vu en étaient troublés".

Kunmin ( province de Yun'nan ) - Chine ( 1688 )
Notes du Gu-Sheng, chap. 6: " Entre la fin du printemps et le début de l'été de l'an vingt-sept sous le règne de l'empereur Kangxi de la dynastie des Qing, mon beau frère Bixilin se rendit chez lui dans les montagnes à 20 kilomètres de la ville de Kunmin. Pendant son séjour, il vit chaque midi, lorsqu'il faisait beau, un grand couvercle jeune comme un parapluie monter lentement d'une crête. Cette chose jetait de brillantes lumières qu'il n'osa pas regarder en face. Elle prenait de la hauteur et pénétrait dans les nuages. Peu après elle descendait, toujours lentement, pour remonter et redescendre de la même façon. Quand la nuit tombait, l'objet volant perdait l'éclat de sa couleur jaune et devenait plus pâle et flou. Il disparaissait complètement lorsque le ciel devenait noir "

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