OVNI et Extraterrestre

Varginha : crash d'Ovni au Brésil (1996)

6 Décembre 2018 , Rédigé par Crash Ovni Publié dans #ovni, #Crash ovni

Varginha : crash d'ovni au Brésil (1996)

Une affaire incroyable et troublante de crash d'ovni qui a eu lieu juste en bordure de la ville Brésilienne de Varginha, en janvier 1996. Avec le concours de l'armée Brésilienne et ensuite des Etats-Unis, des extraterrestres la plupart blessés furent pourchassés en pleine ville devant témoins et certains furent abattus. Malgré le black-out sur ces événements, malgré les menaces sur les témoins et les enquêteurs leur récit à fait le tour du monde.

Ovni Varginha
Ovni Varginha

En janvier 1996, plusieurs personnes sont témoins de l'écrasement violent d'un OVNI près de la ville de Varginha, au Brésil. Les pompiers municipaux, et ensuite l'armée, interviennent et s'interposent. Dans les jours qui suivent, d'autres personnes rencontrent des êtres non-terrestres tentant de se cacher ou de s'enfuir au quatre coins de la ville. L'armée, puis des agents en civils se livrent à une véritable traque, capturant voire tuant ces êtres, dont certains sont de toute évidence blessés. L'un d'entre eux est autopsié à l'hôpital de la ville, puis emmené en d'autres lieux. Les événements font grand bruit et sont rapportés par la télévision Mexicaine, puis font le tour du monde. En mai 1996, un scientifique accusé d'avoir participé à l'autopsie des aliens décédés déclare qu'il ne pourra s'exprimer sur le sujet que dans quelques années. En juin 1997, 15 témoins acceptent de parler et confirment l'implication de l'armée Brésilienne dans la capture des extra-terrestres. Un autre témoin rapporte qu'on lui a offert de l'argent pour se taire.

Le cas de Varginha est unique en plusieurs de ses aspects. C'est tout d'abord une chance extraordinaire pour beaucoup de chercheurs d'avoir pu travailler sur un cas actuel et solide. Des ufologues comme Stanton T. Friedman et John Carpenter, qui pour beaucoup sont en quelque sorte l'"élite" de la discipline. Mais aussi pour des chercheurs Mexicains comme Ubirajara Franco Rodrigues et Vitorio Pacaccini qui furent les premiers à enquêter et firent connaître l'histoire. Des chercheurs comme Stanton T. Friedman qui est devenu un expert dans le cas légendaire de Roswell et savent comment fonctionne la machine à secret, ce qui se révèle essentiel en cette affaire et pour les recherches concernant le destin des aliens décédés et vivants qui auraient été transportés vers la base de Albrook au Panama.


Documentaire sur le sujet

Chronologie de l'affaire de Varginha

Autour de 00:00 le 19-20 Janvier 1996, LE NORAD ANNONCE LA DESCENTE D'UN OVNI:

Autour du minuit entre le 19 et le 20 janvier, le NORAD (commandement de la défense aérienne Nord-Américaine) entre en contact avec leur alter ego Brésilien le CINDACTA (Centro INtegrado de Defesa Aerea e Controle de Trafego Aereo, soit Centre INtégré de Commandement de la Défense et du Trafic Aériens) et les préviennent qu'un OVNI descend au-dessus des parties méridionales de l'état de la Minas Gerais. Ceci est le témoignage qui a fui par un militaire Brésilien de l'Armée de l'Air et un employé des services de radars de la base aérienne VI Comar, qui a reçu l'information, le tout selon John Carpenter et Ricardo Varela Correa.

Autour de 01:30 dans la nuit du 20 janvier 1996 - Témoignages de l'accident d'un OVNI:
 

Le couple d'agriculteurs Augusta et Eurico Rodrigues ont été réveillés par l'agitation des vaches et des moutons de leur ferme. Alors qu'ils regardaient par la fenêtre pour voir que ce qui se passait, ils ont vu les animaux courir en tout sens. Alor qu'ils ont regardé dans le ciel, ils ont vu un OVNI silencieux sans lumières. John Carpenter nous donne une description de l'OVNI:

"C'était un "minibus" en forme de sous-marin qui tremblait comme un rideau et émettait de la fumée ou du brouillard tandis qu'il descendait à moins de 5 mètres au-dessus de la terre. Un témoin militaire admet maintenant qu'il s'est écrasé et qu'il faisait partie de la récupération de débris. Le matériel était tordu et de poids léger."

La ferme du couple Rodrigues est située dans une zone de café localisée à 10 kilomètres au nord-ouest de la ville de Varginha, à mi-chemin entre Varginha et Tres Coracoes. La maison se trouve au bord de la route. Et l'UFO est censé s'être écrasé entre 1:30 du matin et 5:00 du matin cette nuit.

Tôt le matin du 20 janvier 1996 L'OVNI EST ENELEVE:

Un civil américain était présent quand l'OVNI en forme de cigare a été chargé à bord d'un camion à plateau tôt le matin du 20 janvier, un samedi, selon UFO Magazine du Brésil.

Tôt le matin du 20 janvier 1996 - Des extraterrestres repérés:

Entre le site du crash allégué et les périphéries du parc Jardim Andere où l'EBE a a été repèré et capturé plus tard, s'étend une forêt. Un scénario probable est qu'un certain nombre d'EBE ont survécu à l'accident et sont passé à pied par les bois et se sont retrouvés dans le parc de Jardim Andere à 6 miles au sud-est. Les gens du coin ont immédiatement associé ce vaisseau spatial à l'EBE qui est apparu 7 heures plus tard.

Il y a également eu l'apparition de déclarations par une source militaire disant qu'un fermier (pas Rodrigues) a tiré sur un des EBE qui rampait hors de l'OVNI écrasé.

08:00 du matin le 20 janvier 1996 - Premier ET capuré dans le parc de la ville:

Selon John Carpenter - ceci est la description du parc:

"Jardim Andere est une zone ou un quartier suburbain où quelques maisons sont en construction. Il y a une pente herbeuse allant vers quelques bois entre cette zone et la zone de Santana tout près."

L'étudiant de collège Hildo Lucio Galdino, 20 ans, qui vit dans la section de Jardim Andere de Varginha, a censément dit aux ufologues enquêteurs Ubirajara Franco Rodrigues et Vitorio Pacaccini qu'il a vu un des survivants extraterrestre peu après 08:00 du matin. Ouvrant la fenêtre de sa salle de bains, Hildo a regardé dehors et a vu une créature "ayant une peau brun foncé huileuse qui s'est tapi dans l'allée." L'étranger, que Hildo a décrit comme ayant de petites mains "avec trois doigts extrêmement longs, genre étoile de mer", a couru au loin quand Hildo a appelé dehors. La créature n'avait eu aucun poils et aucun habillement et avait 4 ou 5 pieds de haut.

alien Varginha
alien Varginha

Portrait robot d'un alien aperçu à varginha

De 07:00 à 10:00 du matin le 20 janvier 1996 - La chasse aux extraterrestres commence:

Plusieurs appels arrivent au département des pompiers (dès 7:00 du matin) au sujet d'un certain animal sauvage qui circule dans le parc Jardim Andere u nord de la ville, comme un jaguar ou un peccari. Et dans une interview confidentielle enregistrée sur banque magnétique, un sergent de la station des pompiers confirme qu'à 9:00 du main le département des pompiers de Varginha a été appelé pour capturer un animal étrange dans le secteur. Quand quatre pompiers sont arrivés dans un camion, ils ont remarqué que ce n'était pas du tout un animal étrange, et ils ont également trouvé les militaires déjà sur place. L'homme responsable de l'envoi des quatre pompiers à Jardim Andere pour vérifier la situation était le major Maciel. Ces pompiers, au moment où ils sont arrivés là, ont appelé leur commandant par radio et lui ont demandé de les rejoindre car la situation était plus compliquée qu'ils ne l'avaient pensé. Le major est arrivé vers 10:30 du matin, mais à ce moment là la capture de l'ET était chose faite. Cela a été fait avec un filet pour animaux sauvages et il en employant des gants ordinaires, avec une peur des radiations. Selon des témoins sur les lieux, il y avait du monde, y compris des enfants qui ont jeté quelques pierres vers l'ET, qui a semblé apathique à la manière dont il a été traité. Il a seulement donné à entendre un bruit semblable a des abeilles qui bourdonnent. L'adresse d'où l'ET a été capturé est devant la maison au 3, Rua Suecia, Jardim Andere. L'ET a été ensuite placé dans une boîte en bois couverte avec une bâche en plastique blanc, bien tendue pour rendre vraiment impossible de voir à travers, et transporté au loin dans un camion de l'armée.

Les militaires et les pompiers sur l'emplacement étaient:

Lieutenant Colonel Olimpio Wanderley - Chef des opérations
Lieutenant Tiberio
Captain Ramirez
Sergent Pedrosa - Sevice secret S-2 de l'Armée Brésilienne

Les conducteurs du camion de l'ESA (l'école militaire, à 25 kilomètres de Varginha dans la ville de Tres Coracoes):

le major Maciel, chef de la première opération de capture
le caporal Cirilo
le soldat Vassalo
le soldat De Mello

Tout ceci est soutenu par un témoin de l'intérieur du département de pompiers ayant l'accès à plusieurs des informations secrètes, et également par les témoins civils comme Henrique Jose da Silva.

Vitorio Pacaccini indique également qu'il y a preuve de l'existence d'un film vidéo tourné par l'armée d'un (ou plus) ET. Tout d'abord: de nombreux témoins ont vu le personnel de l'armée portant une caméra vidéo dans le parc de Jardim Andere le 20 janvier à 10:30 du matin. Deux reporters qui étaient à Varginha ont été également approchés par une personne qui s'est identifiée comme le cousin du fils d'un militaire de l'ESA. Cette personne a dit qu'il pourrait obtenir l'accès à un film enregistré à l'ESA montrant les créatures. Il l'avait déjà montré à son cousin, qui l'a alors offert à SBT (Sistema Brasileiro de Televisao - système brésilien de télévision), le deuxième grand réseau de TV au Brésil. Le garçon demandait 70.000 reais ($68.000). Il a visité la station et a discuté l'affaire avec le directeur de réseau mais n'a pas conclut l'affaire et plus tard le garçon a dit qu'il n'était plus en mesure de fournir la vidéo.

Également, la fille d'un policier militaire (écolière de 16 ans) dit qu'elle a observé "un film horrible" qui a montré les créatures capturées. Comme le père de la fille a réalisé que la situation était dangereuse, il a disparu avec la bande. Pacaccini indique qu'il a beaucoup d'indices de ce que le film est encore à Varginha.

Matin du 20 janvier 1996 - Trois coups de feu:

Pendant que les pompiers capturent le premier ET vu, d'autres témoins encore ont observé des mouvements étranges. Un avocat de Varginha qui est un ancien militaire a été témoin deux avions qu'il a identifiés comme des F-5, à très basse altitude. En tant qu'ancien militaire, il a remarqué que les avions n'étaient pas en formation habituelle mais formation d'attaque. Il a été également témoin des véhicules de l'armée près des bois (près d'où les pompiers ont capturé l'ET). Il passait par là et a vu un camion transporter environ sept soldats en uniformes de campagne verts (camouflés) et certains d'entre eux en vêtements civils.

Il y a bien plus de témoins de leur activité. Un ami de ce témoin était en un autre lieu et dit qu'il a entendu trois coups de feu et que les soldats sont revenus des bois avec deux sacs de campagne. L'un était immobile et l'autre avait du mouvement. Une autre source s'est présentée et a indiqué qu'un des soldats a tiré sur un ET trois fois dans le torse et que la créature est morte instantanément. Le fusil serait de type FAL (FAL - Fuzil Automatico Leve, ou fusil automatique léger). Les détails autour de ceci sont toujours en train d'être étudiés par le chercheur Claudeir Covo. L'opération des militaires et du département des pompiers a été jugée très silencieuse et rondement menée, la brigade du feu et les militaires se sont retirés autour de 10:30 - 11:00 du matin, avec la deuxième opération militaire (celle qui a tiré les trois projectiles). On dit que l'ET pris dans un fielt a été emmené directement à l'Escola de Sargento das Armas (ESA) - une école militaire dans la ville de Tres Coracoes, à 25 kilomètres de Varginha. Le lendemain le décompte éait de 6 ET vivants et deux morts mis au secret à l'ESA. Quelques civils curieux ont ratissé le parc tandis que le personnel militaire ou S-2 étaient partis dans ses camions, mais ils n'ont rien trouvé. Il y a également de l'information sur une opération plus tardive du S-2 (service secret d'armée brésilienne) après environ 19:00 - 20:00 le 20 janvier au cours de laquelle un nombre non défini d'ET a été capturé dans le parc.

Un décompte des 8 ET:

1 tué.
2 blessé (1 décédé ensuite).
5 vivants et non blessés.

13:30 le 20 janvier 1996 - des agents secrets:

L'avocat qui a fait l'observation autour du 10:30 mentionné ci-dessus dit qu'il a remarqué une autre équipe de recherche arrivant à 13:30 et s'arrêtant sur le côté opposé d'un raccourci de terrassement, tandis que lui quittait son bureau. Un autre témoin parle d'une équipe de rechercher du S-2 en vêtements civils (il n'a pas pu être découvert comment ils ont été identifiés comme étant des hommes du S-2) autour de 13:30 - 14:30 dans le même secteur. Ces deux rapports sont probablement de la même opération. On pense q'ils n'ont rien trouvé.

15:30 le 20 janvier 1996 - Trois filles tombent sur un autre extraterrestre:
 


Trois filles, deux soeurs - Liliane Fatima Silva (16), Valquiria Fatima Silva (14) et leur ami Katia Andrade Xavier (22 ans, ayant trois enfants), était sur leur chemin du retour vers maison (elles vivent à Rua Tapajos - rue de Tapajos) revenant de leurs travail comme femmes de ménage. Pendant qu'elles marchaient au milieu de la voie dans le Jardim Andere (2 kilomètres du centre ville), Liliane Fatima a regardé au-dessus de son épaule gauche et a crié. Une créature avec trois protubérances sur la tête et une peau graisseuse et foncée était à environ 7 mètres du groupe à côté d'un mur d'un vieux garage. La créature s'accroupissait sur le sol comme si elle était blessée.


RR3 - L'affaire Varginha - le 21 janvier 1996 - 3m14s (FR)

Ceci vient du magazine brésilien "Isto E":
 
"Il s'accroupissait, avec ses longs bras entre ses jambes", se rappelle la fille. "D'abord j'ai vu ses yeux, énormes et rouges." Effrayé, Liliane a tourné le dos à la créature, alors que sa soeur Valquiria et son amie Katia continuait à l'observer. "Il n'était pas animal ou humain, c'était une chose horrible", dit Katia. "Il a semblé sourd-muet, n'a fait aucun son", ajoute Valquiria. La créature, cependant, a semblé déplacer légèrement sa tête et les trois filles se sont enfuies en courant.

Quarante minutes plus tard, la mère de Liliane et de Valquiria, Luiza Helena Silva (38), est allée sur les lieux rechercher ce qui avait effrayé ses filles (son mari Jose Lopes da Silva était au travail, comme conducteur d'autobus). Elle n'a rien trouvé excepté une odeur particulière que d'autres témoins, qui ont entendu la rumeur et se sont hâtés à l'endroit où l'ET a été vu, ont décrite comme étant celle de l'ammoniaque. La même odeur a été rapportée plus tard indépendamment par du personnel à l'hôpital général où l'ET a été apporté dans la soirée du 20 janvier.

Le Dr John Mack de Harvard, spécialiste des abductions, est venu à Varginha à la fin de mai et a eu une entrevue enregistrée avec les trois filles. Carpenter indique que Mack lui a déclaré:

"Il parierait sa carrière là dessus: ces trois filles disaient la vérité."
 

Après midi du 20 janvier 1996- Suite de la poursuite des extraterrestres:

Pendant l'après-midi des gens observent un certain nombre de camions de l'armée qui patrouillent dans la ville et autour de 19:00 - 20:00, les militaires d'Escola de Sargentos, avec des officiers du service secret de police militaire (appelé P-2) sont entrés dans le parc (selon John Carpenter cela 'est produit à 23:00) et ont encore capturé de nouveau un ET blessé (je n'ai trouvé aucun témoignage de cette capture). Cette capture était beaucoup plus discrète que la première (10:30 du matin), parce que les militaires sont arrivés en vêtements civils, à l'aide de véhicules civils. La créature était dans un secteur près des bois, où les militaires l'ont encerclée et l'ont attrapé.

Après midi du 20 janvier 1996 - ET emmené à l'hopital:

L'ET a été immédiatement emmené à l'hôpital général au centre de ville où le docteur a ordonné que la créature soit transférée à l'hôpital plus grand et mieux équipé de Humanitas, où il était plus facile de maintenir et se cacher des civils curieux. L'hôpital de Humanitas est également situé à 1.5 kilomètres du centre de ville (Varginha a 3 hôpitaux en tout). Quelques infirmières et du personnel de l'hôpital général régional avaient confirmé certains faits et tout a été censuré. Des personnes qui ont eu des contacts avec la deuxième créature ont reçu le conseil d'éviter la presse et les ufologues et et de ne pas en parler, même pas avec leurs familles ou amis.

Le chercheur Ubirajara Franco Rodrigues a contacté une des infirmières qui était d'abord peu disposée à parler du chambardement à l'hôpital régional mais a plus tard a indiqué qu'une des sections de l'hôpital a été fermée pendant quelques heures afin d'éviter l'accès des employés, des patients et des visiteurs et que des médecins sont arrivés, qui n'étaient pas de Varginha.

Selon son témoignage, le directeur a dit que tout ce mouvement devrait être ignoré, parce que "c'était juste une formation pour les médecins et le personnel militaire." Selon le témoin (l'infirmière) la réunion a culminée avec le rapport suivant du directeur:

"Ici à Varginha il y a des gens qui aiment traiter de choses "cool", je veux dire, surnaturelles, étrange... Il est probable que ces personnes vous rechercheront, particulièrement cet avocat Ubirajara. REFUSEZ TOUT A CES GENS. J'insiste, niez tout."

La police et le personnel de l'armée gardaient la section fermée de l'hôpital pendant le temps où l'ET y était. Mais un certain nombre de civils ont vu la créature de près et les rumeurs se sont propagées.
 
Un autre témoin, un ami d'Ubirajara lui-même, a indiqué qu'elle avait été dans l'entrée de l'hôpital à 22:30, ainsi qu'un ami d'elle. Elle a demandé au réceptionniste s'il ce que les rumeurs disaient au sujet d'un "petit monstre" reçu à l'hôpital était vrai. L'employé a confirmé, mais a également dit que la créature avait été déplacée vers l'hôpital Humanitas. On dit que ceci a été fait autour du minuit entre le samedi 2 janvier et le dimanche 21. Donc l'infirmière n'a probablement pas su que la créature était toujours dans l'hôpital en attendant d'être transporté, mais dans la section fermée. Le transport a été géré par les pompiers.

Le Capitaine Alvarenga de la brigade des pompiers nie toute participation de ses hommes dans un déplacement - maintenant fait - de l'ET à l'hôpital Humanitas. Mais juste avant qu'il l'ait démenti, Ubirajara avait été en contact avec le directeur de l'Hopital Regional, M. Adilson, qui lui a confirmé que le département des pompiers de Varginha avait participé au transport du cadavre. Le Capitaine Alvarenga a alors dit que c'était une erreur de M. Usier. M. Ulsier a ensuite démenti lui-même auprès de UFO Magazine Brésil, disant:
 
"Nous ne pourrions pas garder un extraterrestre ici, nous ne pourrions pas le traiter, [nous ne nous occupons] que des humains."

A l'hôpital les extraterrestres auraient traités par le docteur Rogerio (un orthopédiste). Il a déclaré:

"Je ne comprends pas comment vous pouvez perdre votre temps avec ce genre de choses, c'est du non-sens. Il n'y a pas d'extraterrestres." D'un autre côté ce même docteur Rogerio a dit à un journaliste des Nouvelles de Varginha: "Je ne sais pas ce qu'il est (l'ET), ce pourrait être un monstre (humain), mais je n'avais jamais vu quoi que ce soit comme lui (auparavant)."

Soir du 20 janvier 1996 - extraterrestre décédé déplacé à l'ESA et ensuite à Campinas:
 


Pendant que tout ceci se passait, on rapporte que deux Américains prenaient une chambre dans un motel près de l'Hôpital Regional, avec un étrange équipement. On les a vu plus tard à l'Hôpital Humanitas (avec l'équipement et une caméra vidéo) et au restaurant Churrascaria Gaucha, au 515 de l'avenue du Dr Campos Sales à Campinas, tard dans la soirée du 21 janvier. John Carpenter dit:

"Des Américains ont été repérés pour s'être enregistrés dans un hôtel sous de faux noms , c'étaient apparemment des médecins. Je ne sais rien au sujet de n'importe quel équipement ou de leur présence à l'hôpital."

On a interdit a tout autre personnel militaire de porter leur vestes et d'utiliser des magnétophones, des appareils photo ou des caméras vidéo. Les véhicules du département des pompiers et de la police militaire ont été vus en dehors de l'entrée avec six hommes, ainsi que deux hommes du service secret de l'armée et quelques médecins. Les deux agents secrets de service ont rencontré plus tôt un lieutenant du S-2, qui est arrivé dans une Volkswagen brun blanc (type Fusca) et s'est arrêté près du supermarché "Paes Mendonca," à Varginha. De là ils ont été envoyés à l'hôpital Humanitas et ont été vus entrant dans l'hôpital.

Mme Thereza Starace de Magalhaes Teixeira de Campinas a dit à l'ufologue Ubirajara que son mari, Adalberto, qui était à l'hôpital Humanitas pour une opération, a vu l'étranger mort transporté hors de la morgue sur un brancard.

L'extraterrestre mort a été gardé à l'hôpital Humanitas pendant approximativement 30 heures avant qu'il n'ai été déplacé à l'Escola de Sargento das Armas (ESA), où le personnel militaire a été posté pendant l'incident entier. Ce déplacement de l'extraterrestre mort depuis l'hôpital Humanitas a eu lieu à 18:00 le 22 janvier et a eu plusieurs témoins. L'hôpital est situé tout près d'une petite route periphérique, qui mène directement à l'autoroute de Fernao Dias, qui relie Belo Horizonte à Sao Paulo, et cela a rendu le transport très discret. Cependant, les conducteurs des camions (3 en tout) n'aient pas semblé savoir ce qu'ils transportaient et ont été tenu en dehors du secteur de l'hôpital jusqu'à ce que le transport ait démarré.

Le même convoi serait parti de l'école à Tres Coracoes à 4 heures du matin, le mardi 23 janvier. Destination: Campinas (une bien plus grande ville a nord de l'état de Sao Paulo) où la "cargaison" aurait été livrée à une autre unité militaire, probablement l'Ecole de Préparation des Cadets de l'Armée.

Toute cette opération a été coordonnée par le lieutenant-colonel Olimpio Wanderley Santos", dit M. Rodrigues.

"Nous avons le témoignage d'un officier de l'Ecole de Sargento à Tres Coracoes qui a été directement impliqué dans l'opération. Il décrit en détail tout qui s'est produit pendant ces jours", ajoute M. Pacaccini. Dans un enregistrement de 42 minutes, cette personne dit que la décomposition avait déjà commencé et que quand le cadavre a quitté l'hôpital Humanitas sonodeur était vraiment mauvaise.

Les interviews de certains des militaires qui ont participé à cette nouvelle opération, enlevant la créature de l'hôpital de Humanitas, ont déclaré que trois camions de l'armée ont été utilisés, chacun conduit par deux soldats différents. On pense que trois camions ont été utilisés pour enlever seulement un corps pour [empêcher] les soldats de savoir dans quel camion il serait transporté. Les conducteurs et leur [escortes] n'ont pas pu voir les détails des opérations, car ils ont été gardés en dehors du secteur de l'hôpital. Le personnel militaire du renseignement interne de l'armée (appelée les "S-2" au Brésil, des gens extrêmement violent et répressif) était responsable pour chercher le cadavre de l'intérieur de l'hôpital, le placer dans une boîte et ensuite dans un des camions.

Ceci a été observé par plusieurs personnes car la police avait stoppé tout le trafic pour dégager la route pour les trois camions et le convoi de jeep.

21 avril 1996 Un autre extraterrestre vu:
 


Le 21 avril 1996, à 21:00, Mme Therezinha Gallo Clepf (67 ans), une femme au foyer, a aperçu une créature semblable (selon sa description) à celle que les filles ont vue dans le parc en janvier.

Elle était à une fête au restaurant du zoo et était sortie pour fumer un cigarette sur le porche. Elle a vu la créature sur le parapet du porche, seulement au-dessus du cou. Mme Therezinha a été très effrayée et s'est figé sur place, restant de ainsi environ cinq minutes, regardant tout le temps la créature depuis une distance de 4 mètres, sans faire le moindre geste. La différence entre sa description et celle faite par les deux soeurs Da Silva et leur amie était que cette fois la créature avait comme un genre de casque sur la ête. Il était de couleur dorée. Cela l'a empêché de voir les oreilles de la créature. Le reste était la même description: la peau brune, brillante et huileuse, un visage arrondi, des yeux rouges, et par de joues, ni barbe, ni moustache ou nez, et à l'emplacement où nous avons nos lèvres il y avait seulement une découpe.

Fin avril 1996 - Décès mystérieux d'animaux du zoo:

Quelques jours après l'observation par Mme Therezinha de la créature en dehors du restaurant du zoo, cinq animaux ont été trouvés morts là. Le biologiste du zoo, le Dr Leila Cabral, a trouvé des traces d'une certaine substance toxique dans un des animaux. La cause de la mort des autres est encore inconnue et non expliquée.


Dr Leila Cabral

16 juin 1996 - Emission de TV:

L'émission de TV "Programa de Domingo" a identifié des hommes impliqués dans le convoi de trois camions qui a transféré les extraterrestres vers Campinas, à environ 200 miles de distance, le 23 janvier à 4:00 du matin. Selon l'émission, le liettenant-colonel Olimpio Wanderley Santos commandait le convoi, accompagnée de deux officiers, le capitaine Ramirez et le lieutenant Tiberio, plus le sergent Pedrosa du S-2, le renseignement militaire brésilien. Le caporal Cirilo et le sergent Pedrosa conduisaint le camion du milieu avec les extraterrestres à l'intérieur. Les autres camions ont été conduits par le soldat Vassalo et le soldat De Mello. Une jeep (du type Engesa) faisait également partie du convoi. Et depuis l'école de préparation des cadets de l'armée, où le convoi est resté pendant 9 heures, l'extraterrestre mort a été pendant ce temps emmené à l'université de Campinas, où le célèbre Dr Fortunato Badan Palhares (il est le médecin qui avait pratiqué l'autposie du Nazi Mengele, il y a environ dix ans) a fait une autopsie de l'ET. Palhares, aussi bien qu'une autre autorité impliquée, dément une telle opération. Mais du personnel de l'université a été vu dans le parc de Jardim Andere, rassemblant des échantillons de sol et de végétation de là où on a rapporté qu'un des ET a été attrapé.

Et le chercheur Eduardo Mondini a trouvé ceci:

"Nous sommes parvenus à entrer en contact avec l'IML (Institut Médico-Légal) et les quartiers généraux de l'armée à Campinas, mais les deux autorités nient l'exhumation. Cependant, nous avons trouvé des militaires de Campinas qui ont prétendument vu un document sur le bureau de leur commandant, prouvant que l'ET avait été à Campinas. Nous avons obtenu d'un employé de l'IML l'information que du 20 au 26 janvier, il y avait eu mouvement militaire à l'intérieur d'IML, dans les tiroirs appartenant à l'armée, afin d'en retirer un cadavre."

Il y a également l'information d'une autopsie faite à l'hôpital Humanitas de Varginha par la même docteur Fortunato Badan Palhares, et le Dr Coradin Nesve. Et que l'extraterrestre décédé plus tard a été emmené au cimetière d'Amarais près de l'université de Campinas, où il a été congelé pour expédition. Mais c'est probablement la même autopsie faite à l'université de Campinas que concerne la congélation postérieure du corps, aussi à Campinas.

A 21:00, les 6 ET vivants ont été conduits à l'aéroport de Campinas où ils ont pris mis à bord d'un bimoteur EMB [Embraer] Buffalo apparenant à la Forca Aerea Brasileira (l'Armée de l'Air brésilienne) et emmenés à Sao Paulo, où ils ont changé d'avion pour un avion de transport C-17 de l'Armée de l'Air des Etats-Unis. A ce moment ON A FAIT MARCHER LES ET POUR ALLER À BORD du C-17. et selon des sources dans la tour de contrôle de Sao Paulo, la destination du C-17 était la base aérienne d'Albrook au Panama. Et la piste se perd là... Nous ne savons pas si les deux extraterrestres morts étaient à bord. Mais le chercheur Claudeir Covo dit qu'il a receuilli des déclarations indépendantes de plusieurs gardes, selon lesquelles un des extraterrestres morts est toujours au laboratoire de l'Université de Campinas:

"Trois militaires, un de Campinas, un de Jundiai et des un autre de Sumare nous ont fourni cette information. Ils ne se connaissent pas", assure Covo. Nous sommes sans aucun doute au sujet de l'existence réelle du laboratoire. Nous essayons maintenant d'en obtenir l'accès."

Selon Covo, le laboratoire secret est gardé et occupé par le personnel militaire résilien. L'équipement ressemble à celui d'un film de science-fiction. Il est dirigé par Konradin Nesve II, un professeur allemand et expert en médecine légale.

Les ufologues sont troublés par la découverte la semaine dernière de 25 cadavres d'animaux mutilés dans la zone de Souza, Campinas. Selon Covo, 13 chiens et 12 chats avaient eu leurs yeux extraits, apparemment à l'aide d'instruments d'une précision chirurgicale. Les organes sexuels des animaux masculins avaient été également découpés, ils ont ensuite été apportés à UNICAMP - l'université de Campinas.

"Toutes ces circonstances pointent vers un certain type de recherche effectué par des extraterrestres sur certains animaux," dit Covo. Pour lui, ce cas pourrait être lié à celui de Varginha.

TOUT DÉMENTIR - Qu'en est-il des déclarations des militaires, des pompiers et de la police sur cet incident?
Les militaires nient tout, jusqu'au point de dire qu'ils n'ont pas été au parc de Jardim Andere en dépit des témoins. Les militaires ont un problème car 17 personnes de leur propre personnel impliqué ont donné leurs témoignages enregistrés et même des témoignages enregistrés en vidéo. Parmi ceux-ci se trouve une cassette de 42 minutes où un officier militaire de position élevée donne chaque détail de leur participation (ceci selon investigateurs Rodrigues et Pacaccini). Les chefs militaires ont soumis les soldats de l'école militaire ESA à des ordres stricts de ne pas parler à la presse ou aux ufologues.

Ensuite il y a le personnel de l'hôpital qui a témoigné et rédigé des rapports qui confirment l'histoire. A ceux-là, nous pouvons ajouter les rapports contradictoires du directeur de l'Hôpital Regional aux chercheurs et à la presse.

Et finalement nous avons un grand nombre de fonctionnaire et de témoins civils "protégés" des plusieurs opérations et capture d'ET de l'armée dans Jardim Andere et les mouvements de convois.

A cela, s'ajoute un cas mystérieux où le fils d'un politicien local haut placé a été trouvé mort dans une cellule de la police par semaine après l'incident. Les militaires ont essayé d'expliquer l'incident entier comme causé par le décès et le transport de ce garçon à l'hôpital Humanitas. Les militaires veulent dire que tout est une confusion autour de cet incident non encore éclairé.

Ceci vient de l'interview du Captain Calza par le "Wall Street Journal":

"Le capitaine Calza dit qu'il ne peut se prononcer sur ce que les trois femmes ont vu en janvier. Mais l'activité sur la base ce week-end fatidique, insiste-t-il, était bien ordinaire: Les nouvelles recrues de l'école d'un sergent sont allés défiler et un convoi de camion a été conduit à l'atelier de réparations. Concurremment, à l'hôpital de la ville, des camions ont livré un nouvel équipement cardiovasculaire et une ambulance a déposé un cadavre, un corps humain, affirment les officiels."
 
Mais le garçon qui a été trouvé mort en sa cellule a été trouvé UNE SEMAINE après l'incident allégué dans Jardim Andere et à l'hôpital. Et un militaire au camp de l'ESA a dit à Pacaccini (sur enregistrement vidéo) qu'il a vu un dossier concernant l'ET sur le bureau d'un officier. Dans le dossier, il y avait une description et un dessin de la main de l'ET. Le journal de Wall Street: à écrit ceci "On dit que la copie ressemble à ce à quoi ressemblerait une main humaine avec la paume à plat, et un espace ouvert entre l'annulaire et le petit doigt et et les trois autres doigts."

1-4 novembre 1996 - Congrès OVNIS:

Grand congrès international d'ufologie à Londrina, dans le Parana, Brésil. Les orateurs étaient A.J. Gevaerd, Pedro Cunha, Jenny Randles, Jerome Clark, le Dr John Mack, Jorge Martin, Kevin Randle, Leah Haley, Marc Davenport, Tymothy Good, Vitorio Pacaccini et William Bramley.

1996, - Un témoin se voit offrir de l'argent pour démentir:
 

Un des développements les plus significatifs sont les quatre hommes qui sont arrivés à la maison de [Luisa Helena] da Silva, la maison de deux des filles qui ont rencontré l'ET à 15:30 le 20 janvier. Les quatre hommes conduisaient une Lincoln Continental 1994 bleu marine avec des plaques d'immatriculation du de Distrito Federal (Brasilia, la capitale). Ils étaient en costumes Armani blancs et crèmes. Les quatre hommes, un brésilien et trois Américains, ont offert à Luiza Helena Fatima da Silva, la mère, 20.000$ si ses filles allaient à la TV pour y dire qu'elles ont inventé toute l'histoire. Les filles et leur mère ont refusé. "Ils ont dit qu'ils payeraient en argent comptant," "ils ont également dit qu'ils reviendraient mais nous ne pouvons pas cacher la vérité ", dit Mme da Silva dans le numéro de juin de Revista UFO. Et nous savons qu'il y a eu dissimulation à l'école militaire en dehors de Varginha et que l'on a interdit à tout le personnel de parler aux enquêteurs comme Rodrigues et Pacaccini. Un soldat a été arrêté parce que l'officier senior a pensé qu'il était un risque pour la sécurité. Ceci a été confirmé aux enquêteurs par des personnes à l'intérieur de la base. Comme l'incident s'est produit pendant un week-end et que l'école militaire est presque totalement vide les week-ends, approximativement 98% du personnel est ignorant des détails.

Dernières nouvelles

Des détails font surface, ayant permis l'élaboration de la chronologie ci-dessus. Selon John Carpenter les chercheurs impliqués dans cette affaire au Brésil reçoivent des menaces directes par téléphone et ont des problèmes avec leur ligne téléphonique. Et des OVNIS ont été observés au dessus de presque chaque ville de la région du Minas Gerais, certains d'entre eux ont été photographiés et filmés.

UFO Magazine, Numéro 45, Août 1996:

L'ufologue Claudeir Covo:

"Bien que les autorités militaires et civiles nient tout, plusieurs sources ont décidé de parler. Un de ces sources affirme qu'un fermier local a tué un des êtres avec un revolver."

"Une autre source a indiqué qu'il a vu un bon nombre de personnel militaire en tenue civiles, battant les bois de Jardim Andere, dans Varginha. Un de ces hommes a fait feu par trois fois sur une créature étrangère, en plaine poitrine, tuant l'être sur le coup. L'arme serait un FAL [Fuzil Automatico Leve, soit fusil automatique léger]. Ces faits sont toujours à l'étude; nous n'avons pas encore enregistré de témoignages des sources militaires au sujet de ces mises à feu, mais notre enquête continue."

"... de quel droit les êtres humains (civil ou militaires) devraient assassiner ces êtres étrangers? Que prévoit donc la constitution Brésilienne? Que disent les lois dans les autres pays? Considérant les recommandations religieuses, que nous disent les lois de Dieu, ou les Dix commandements?".

L'ufologue Marco Antonio Petit:

"Récemment, de nouvelles informations [sur le cas de Varginha] ont commencé à surgir, y compris des indications sur la localisation des fragments métalliques d'un vaisseau spatial accidenté, qui documentent cet aspect mystérieux du cas. Ces matériaux peuvent être reliés à l'ovni aperçu au point du jour le 20 janvier 1996, parce que l'ovni aperçu libérait quelque chose qui a semblé être des fumées, et qu'il se déplaçait lentement. "

"Nous vivons les derniers moments d'un processus qui mettra notre humanité face à face avec une réalité à laquelle nous ne sommes pas préparés. Cinquante ans de mensonges peuvent mener une partie considérable de la population dans un abîme (...) des événements importants se produiront dans les années qui viennent et les gouvernements doivent assumer leurs responsabilités, alors qu'ils peuvent encore faire quelque chose, parce que le temps presse... "
 
Le texte ci dessous est une version écourtée (les passages répétitifs ont été supprimés) d'un article publié dans le magazine d'information Brézilien Isto E', N. 447, du 25 Juin 1997, pages 121-122. La traduction vers l'anglais est de P.H. Andrade.

Quinze témoins confirment l'implication du policier militaire décédé dans l'affaire, dit l'ufologue Ubirajara Rodrigues.

Rapports d'une rencontre de troisième type à Varginha, le Roswell Brésilien. Luiza Villamea, de Varginha (MG)

La ville de Varginha, dans l'état méridional de la Minas Gerais, est la version nationale [Brésilienne] de Roswell. Avec 120000 habitants, Varginha est devenu la capitale Brésilien de l'ufologie depuis que les récits de l'observation d'une créature étrange par trois filles a franchi ses montagnes et a gagné le monde (...)

La rencontre rapprochée du troisième type la plus extraordinaire jamais rapportée au Brésil a gagné en notoriété une fois associée à d'autres témoignages et même à des décès mystérieux.

Moins d'un mois après l'incident, le policier militaire Marco Eli Chereze, alors 23 ans, a succombé à une infection multiple sans cause apparente. "Il doit a été infecté quand il a touché la créature", suppose sa soeur plus âgée, Marta. Membre du P-2, le service de renseignement de la police militaire, Chereze est dédigné par les ufologues qui étudient le cas comme une victime d'une opération complexe de la police militaire qui a abouti à la capture de deux extraterrestres. (...)

Toutes les institutions cités par les ufologues nient l'affaire. Selon les informations publiées par la Police Militaire, Chereze n'a même pas été en service le 20 janvier 1996. La mère du policier, Lourdes, conteste cette affirmation. Elle souligne qu'elle se rappelle très bien ce samedi - un jour qui était d'abord ensoleillé et qui a eu un changement étonnant de la météo lors du coucher du soleil, avec des grélons qui brisèrent même les tuiles maisons. Lourdes indique que Chereze a travaillé en vêtements civils et a été employé pour conduire une voiture blanche Fiat (modèle "Premio") qui était sans fenêtre dans le côté du conducteur pour la Police Militaire. "Mon fils est passé à la maison à environ 18:00, avec sa chemise trempée", se rappelle-t-elle. "Il a changé ses vêtements et demandé de dire à son épouse qu'il ne rentrerait pas pour le dîner parce qu'il était en mission". (...)

Impliqué dans les investigations autour des ETs de Varginha depuis le jour suivant la rencontre rapportée par les trois filles, l'avocat Ubirajara Franco Rodrigues, ufologue depuis plus de 20 ans, certifie que la participation de Chereze dans l'épisode est confirmée par QUINZE TÉMOIGNAGES ENREGISTRÉS EN VIDÉO. Ce sont huit témoins militaires et sept civil, dont les identités sont maintenues secrêtes, pour des raisons de sécurité. Le "cas de Varginha n'est pas terminé", affirme Rodrigues. "Il est probable que la lumière ne soit faite que dans quelques décennies."

Parmi les nombreuses questions soulevées par les ufologues, il y a la mort de cinq animaux du zoo de la ville: deux cerfs communs, un macao bleu, un jaguar et un tapir. Sans raison apparente, ils sont décédés en même temps sachant que Terezinha Galo Clepf, 67 ans, femme au foyer affirme avoir vu un autre étranger au zoo en Avril 1996. L'endroit, d'ailleurs, accueillera d'ailleurs une statue en béton de l'Alien (...)

En raison des épisodes de ce genre, plus de quatre-vingts ufologues ont déjà été enquêter dans la région. Un d'eux, l'auteur espagnol J.J. Benitez, auteur de la série "Opération Cheval de Troie" a même annoncé la découverte des marques d'atterrissage d'un vaisseau spatial. "C'est complètement faux ", dit l'ingénieur Claudeir Covo, le président de l'INFA - institut national sur la recherche sur des phénomènes d'aérospatiaux. "Les marques alléguées ne sont rien d'autre que deux trous faits par un fourmilier", convient Rodrigues.

Actuellement, ces deux ufologues analysent le témoignage du petit entrepreneur Carlos de Souza, résidant de la ville de Sao Paulo, qui s'est récemment présenté comme témoin de la récupération d'un objet non identifié par l'armée, alors qu'il voyageait près de la ville [de Varginha]. "Quand ils m'ont vu, ils m'ont forcé à partir de là ", dit Souza. (...)

http://www.ufologie.net/htm/vargrep1f.htm

Laboratoires à accés restreint

Le Dr. Palhares affirme dans une conférence de presse qu'il pourra parler librement du sujet dans quelques années.

Mieux: les premières indications de l'existence de auqtres laboratoires secrets souterrains en rapport avec les OVNIS apparaissent. Ces nouvelles ont été diffusées par les ufologues Claudeir Covo et Ubirajara Franco Rodrigues.

Jusqu'ici, nous suspectons de l'existence de quatre zones d'accès limité, des laboratoires d'usage militaire, deux étant situé dans l'UNICAMP [université de Campinas dans l'état de Sao Paulo, Brésil] et deux au CTA (centre technique de l'Armée de l'Air brésilienne). Tous sont les laboratoires souterrains. On permet seulement à quelques civils de pénétrer à l'intérieur de ces laboratoires, seulement ceux ayant les autorisations appropriées.

Les deux laboratoires du CTA se trouvent à la route de Tamoios, situés au kilomètre 6 et à l'autre aux kilomètres 12, et qui peut-être ont reçu les métaux étranges récupérés de l'accident du vaisseau spatial.

Les laboratoires d'UNICAMP sont localisés l'un à l'institut de la biologie, et l'autre à l'hopital Das Clinicas. Selon les témoins, qui ne veulent pas s'identifier à la presse, ces laboratoires ont reçu les corps des créatures étranges capturées à Varginha.

Un témoin affirme qu'une personne importante dans le domaine de la recherches l'a mené(e) au laboratoire d'accès restreint sous l'institut de biologie, à UNICAMP. Le témoin a décrit le laboratoire comme hexagonal et ayant des murs métalliques.

Un employé qui travaille avec le Dr. Badan Palhares [note du traducteur: le scientifique qui a été accusé d'avoir autopsié les créatures] un des corps est arrivé à l'hôpital Das Clinicas dans une boîte métallique avec des trous, transporté par deux militaires. Ils sont allés jusqu'à une salle avec un couloir ayant de nombreuses portes. On a interdit à la femme et aux deux militaires le passage d'une de ces portes. On leur a demandé de poser la boîte au sol et de repartir. La boîte a alors été enlevée vers un niveau souterrain par d'autres militaires qui ont étaint déjà installés là bas.

Another person, friend of Dr. Palhares, informed that Dr. Palhares himself said that : Une autre personne, ami du Dr. Palhares, a informé que le Dr. Palhares aurait dit ceci:

"Lorsque les portes s'ouvriront, je voudrais bien voir qui pourra tenir face à face avec cette créature ne serait-ce qu'une minute... "

...se référant à la créature en vie, et a son aspect horrible et son odeur fortement ammoniaquée.

Maintenant à la fin de l'année [N.d.T.: 1996], le Dr. Palhares a parlé en tant que conférencier au Collège Judiciaire de Campinas. A la fin de son entretien, un étudiant lui a demandé que s'il était vrai qu'il a fait autopsié les créatures capturées à Varginha, ce à quoi il a répondu:

"Si vous me posez cette question dans quelques années, peut-être que j'aurais plus de liberté pour vous répondre."

Un employé du cimetière d'Amarais à Campinas a informé qu'un des corps des créatures étranges est resté stocké et fortement gardé par les militaires, à partir de Février à Avril 1996, dans un des congélateurs de l'IML [note du traducteur: Institut de la médecine légale] situé dans une construction annexe de ce cimetière.

Un autre fait curieux est qu'après que nous ayons commencé à divulguer l'existence d'un laboratoire souterrain et d'accès restreint à l'hôpital Das Clinicas dans UNICAMP, rapidement tout les copies héliographiques avec les schémas des projets de structures de cet hôpital ont été enlevées. Très étrange...

Conclusion provisoire

Quels est le nombre exact des êtres capturés par l’armée?

Certains prétendent environ 8, car pendant la capture des 2 premières créatures, de nombreux mouvements militaires furent observés par plusieurs témoins (vol d’avion [F-5], véhicules militaires près des bois, soldats en tenue de camouflage, coups de feu, et transport de sacs dont le contenu semblait bougé). Le cas Varginha surpasse et de loin l’événement Roswell de par ses nombreux témoins qui disent avoir vu des extraterrestres, la quantité d’information et les enquêtes approfondies des ufologues. Espérons qu'un jour la lumière soit faite sur cette affaire contrairement à Roswell.
 
Varginha: de nouvelles révélations

L'un des médecins qui a traité le policier décédé après la capture et le contact avec l'ET de Varginha fait de nouvelles révélations

Source: Magazine UFO Brésil Nº 102 www.ufo.com.br
Traduction: Christian Sannazzaro

L'un des faits les plus graves du "Cas Varginha" - et des plus déplorables - fut la mort, le 15 février 1996, du caporal Marco Eli Chereze qui avait alors 23 ans. Comme nous le savons, il faisait partie du service secret de la Police Militaire (P2) qui a participé à la capture de la seconde créature dans la nuit du 20 janvier 1996. La découverte de sa mort se répandit très vite, au cours des premiers mois des investigations, selon d'autres sources, qui révélèrent qu'un policier avait trouvé la mort à cause d'une infection généralisée après avoir eu un contact direct avec l' ET. Devant la gravité de la situation, le sujet fut traité avec une extrême prudence par les enquêteurs concernés par la recherche, alors que l'avocat et consultant de la revue UFO - Ubirajara Franco Rodrigues - était toujours à la recherche de nouvelles informations.

Rodrigues réussit à vérifier auprès de la mairie qu'un policier avait réellement trouvé la mort peu de temps après la capture des créatures. L'ufologue obtint même une copie du registre des décès, et par celui-ci, il parvint à localiser la famille du garçon. Le même témoin qui alerta les enquêteurs au sujet de la mort de Chereze, déclara également que la créature, au moment de sa capture, aurait tenté une légère réaction, obligeant le policier à toucher son bras gauche sans ses gants. Pour certains de ses collègues, il aurait été contaminé d'une façon ou d'une autre.
 


Marco Eli Chereze

La famille de Marco Eli Chereze avait réussi à faire ouvrir une enquête par le commissariat local afin de mettre en évidence d'éventuelles responsabilités médicales de son décès. A cette époque, ces recherches paraissaient vouées à l'échec, mais elles sont toujours en cours à ce jour. Les parents firent cela parce que, peu de jours après le 20 janvier, une petite tumeur semblable à un furoncle poussa sous l'une des aisselles de Chereze. Cette tumeur, selon ce que l'on a su à l'époque, aurait été rapidement extraite par le médecin de service dans les locaux mêmes de la caserne dans laquelle il servait. Nous savons aujourd'hui qu'il n'en fut rien. Mais ce qui a le plus attiré l'attention de la famille du garçon, ce fut le manque d'informations sur son état de santé et, plus tard, sur sa mort tragique. Même des mois après son enterrement, personne ne connaissait exactement la raison de son décès.

Autopsie refusée!

Le commissaire de Varginha lui-même qui a conduit l'enquête, malgré son insistance face au corps de police dans lequel servait Chereze, ne parvint pas à assister à l'autopsie du policier. La rétention ou/et la dissimulation des informations à propos de ce sujet fut purement et simplement un affront à la famille de Chereze et aux lois de la Nation. Pire encore, un tel affront fut commis par la Police Militaire elle-même. C'est seulement un an après l'événement de Varginha, le 20 janvier 1997, la dissimulation des faits ayant publiquement dénoncée avec insistance à la fois par les ufologues et par toute la presse, que les choses commencèrent à bouger.

Parmi les faits les plus inquiétants mis en exergue par les investigateurs figurait justement l'absence d'informations concernant le décès de Chereze, pièce la plus importante du casse-tête nommé: le Cas Varginha. C'est ainsi qu'au milieu d'une rencontre avec la presse en date du premier anniversaire de l'événement, les enquêteurs dénoncèrent le silence et réussirent à faire que la famille, le commissaire et la presse aient enfin accès au dossier de l'autopsie. D'après le contenu de celui-ci, le soldat Chereze serait décédé d'une infection généralisée. Le policier serait arrivé chez lui une certaine nuit après la capture de la créature ressentant de fortes douleurs dans le dos. Après l'ablation de la tumeur, il aurait présenté un processus graduel de paralysie et de fièvre qui, s'aggravant, l'obligea à se rendre à l'hôpital du Bom Pastor où il resta interné et pratiquement isolé de sa famille pendant plusieurs jours.

Les proches du policier, en particulier sa sœur, Marta Antônia Tavares, qui se rendait le plus fréquemment à l'hôpital, ne parvinrent pas à avoir de contact avec lui et eurent beaucoup de difficultés pour rencontrer le médecin responsable du traitement; et ce fut encore bien plus difficile pour eux de découvrir quelle était sa maladie. Peu de temps après son entrée à l'hôpital du Bom Pastor, le policier fut transféré à l'hôpital REGIONAL do SUL de MINAS, également situé à Varginha, c'est-à-dire le même où il aurait emmené dans la nuit du 20 janvier la créature qu'il avait capturée. Chereze fut conduit directement au centre des soins intensifs de l'établissement et pris en charge par le même médecin qui aujourd'hui révèle publiquement ce qu'il sait. C'est là que Chereze s'est éteint à exactement 11h le 15 février, 26 jours après son implication avec l'extraterrestre.

"Bien que tous les tests et examens possibles aient été pratiqués à la recherche d'un diagnostic, il n'a pas pu être sauvé à temps" devait déclarer le commissaire responsable de l'enquête au cours de sa déposition devant le juge de la "COMARCA". On a simplement découvert que les médecins qui s'occupaient de Chereze à l'époque n'avaient pas la moindre idée de la façon de combattre la maladie qui le terrassait. Après que le décès du garçon ait été dévoilé à la presse présente à la réunion de janvier 1997, le commandant de la Police Militaire de l'État du Minais Gerais démentit immédiatement les faits, y compris celui de la présence de Chereze qui était de service en cette nuit du 20 janvier. Or, afin de préserver une histoire absurde, ils en inventèrent une autre encore plus grossière.

La famille de Marco Eli Chereze confirma que celui-ci était bien de service cette nuit-là, en effet. De plus, il n'est pas mort tout seul à cause de ses activités professionnelles après le contact avec un alien, mais la créature qu'il avait capturée décéda également après ce contact, et bien plus rapidement que Chereze. "Il semble clair que la mort du policier soit devenue la pièce la moins contrôlable et la plus dangereuse du processus de dissimulation imposé par les militaires de l'ESA et de l'Armée brésilienne, a reconnu Marco Petit, co-éditeur du magazine UFO, qui participa activement à l'enquête.

Un document marquant

Aujourd'hui, tout se confirme et s'aggrave. Dans un effort hors du commun pour un ufologue, certainement mû par un désir incontrôlable de voir la vérité mise à la portée de tout un chacun, au prix d'un effort personnel et professionnel considérable, l'avocat Ubirajara Rodrigues, originaire de Varginha, "découvreur" du "Cas Varginha" et qui a alerté la presse, est devenu une sorte de directeur des plus importantes recherches ufologiques connues ici. Il nous présente de nouvelles et inquiétantes révélations.

…/… Ce qui va suivre représente le texte intégral de l'entrevue qu'il a eue avec le docteur Cesário Lincoln Furtado, cardiologue et expert officiel pour la justice. Le docteur Furtado exerce à Varginha depuis 1981 et n'a enfin accepté de recevoir Rodrigues qu'à la suite de l'insistance de ce dernier, et seulement à la condition évidente que rien dans ses déclarations ne serait modifié ni déformé. C'est ainsi que cette interview est parsemée de termes techniques qui ont été conservés dans leur intégralité.

 

 


Cesário Lincoln Furtado
 
Au final, il s'agit d'un document d'une extrême importance, plus que d'une simple déclaration. Le médecin déclara apprécier l'ufologie et connaître aussi le magazine UFO dont il approuve l'aspect sérieux, ce qui a été favorable dans son acceptation de rencontrer Rodrigues.

L'ufologie brésilienne doit énormément à Ubirajara Rodrigues, pour avoir été "Le" grand responsable de presque tout ce qui est connu sur l'un des cas ufologiques les plus extraordinaires de tous les temps, encore plus important que le célèbre "Cas ROSWELL". Notre dette envers lui s'amplifie chaque jour avec l'obstination dont fait preuve cet avocat qui continue à maintenir la pression à propos du "Cas Varginha".

A.J. Gevaerd, éditeur

La suite de cet article est ici
Quelle est la cause de la mort du policier Marco Eli Chereze?

Interview accordée à notre correspondant Ubirajara Franco Rodrigues
par le médecin cardiologue Cesário L. Furtado

 

 


  A mãe e a irmã seguram a foto do soldado Chereze

Ubirajara Franco Rodrigues - Docteur Furtado, j'aimerais que vous me racontiez quel a été votre rôle dans le traitement du policier Chereze dans les hôpitaux de Varginha en 1996.

Cesário L. Furtado - Le policier Marco Eli Chereze a été accueilli dans le département "Prontomed" de l'Hospital Regional par mon collègue Armando Martins Pinto le 12 février 1996. Il y est entré à cause d'une douleur intense dans la région lombaire et Armando a jugé qu'il était préférable de le garder à l'hôpital; c'est ainsi qu'il l'a dirigé sur l'hôpital du Bom Pastor. Là, en arrivant, il a rapidement été pris en charge par le docteur René, responsable en titre du département de cardiologie, qui a ordonné quelques examens. Le jour suivant, il était nommé par nous précepteur clinique de l'hôpital du Bom Pastor. Nous avons renouvelé la demande d'examens, car Chereze continuait à souffrir de la région lombaire. Nous avons fait procéder à des analyses d'urine, à des radios de la colonne, de la région lombaire et du sacrum, en plus d'une analyse par l'orthopédiste, parce que la douleur était intense et que nous suspections la présence d'une hernie discale.

R. - Cela s'est passé à l'hôpital Bom Pastor. La première fois que vous vous y êtes rendu, qu'avez-vous pensé de cet établissement?

F. - C'est ça. Le docteur Rogério Ramos s'est chargé de la partie orthopédique de l'état du patient et nous confia qu'il n'y avait aucune altération et que le problème ne venait pas de là. Il nous dit aussi qu'il nous fallait continuer nos recherches sur la cause des douleurs et sur celle de la fièvre qui a commencé à apparaître ce même jour. Les examens de sang arrivés dans l'après-midi montrèrent un hémogramme avec une leucocytose, une déviation à gauche et des granulations toxiques dans les neutrophiles. Ceci était un signe d'une importante infection hautement capable de provoquer un empoisonnement (toxémie) - car il y avait ces granulations toxiques. Nous avons alors procédé à l'administration de deux antibiotiques: de la pénicilline et de la gentamicine, parce que nous avons pensé qu'il pouvait s'agir d'une pneumonie, à cause de la localisation de la douleur, ou encore d'une infection urinaire. Nous avons donc administré des antibiotiques susceptibles de répondre aux deux possibilités. Son cas fut évalué à nouveau le 13 février: même état.

R. - Toujours à l'hôpital du Bom Pastor?

F. - Oui, à l'hôpital du Bom Pastor. Le jour suivant, le 14 février, il passa la journée avec de la fièvre et des douleurs, mais à un stade acceptable. Cela jusqu'au 15 au matin où il se réveilla en proie à de la fatigue, à une torpeur et à des signes de cyanose (coloration bleuâtre de la peau due à un manque d'oxygène - NDT). Ces symptômes tendaient à confirmer un empoisonnement général véhiculé par le sang, avec une issue possible de septicémie. Il fut alors immédiatement transféré au CTI de l'Hospital Regional, où il fut accueilli et mis sous médication.

R. - Cela signifie que jusqu'à son transfert au CTI de l'Hospital Regional, il n'avait passé que le temps d'être accueilli par la "Prontomed"?

F. - Oui. Écoutez, la "Prontomed" est un poste d'urgence disposant de médecins spécialisés dans les cas d'urgence, pour les particuliers et pour les gens disposant d'une convention particulière (comme les militaires par exemple - NDT). Comme il bénéficiait d'une convention de la police, il fut accueilli là-bas.

R. - Vous avez souligné le moment où il avait été transféré au CTI du Regional.

F. - Absolument. Là, l'un des premiers examens demandés fut celui du HIV, parce le patient semblait souffrir d'une déficience immunitaire et d'une simple infection urinaire ou d'une pneumonie - ou des deux - mais cela n'aurait pas conduit ce patient à une septicémie, alors qu'il se trouvait sous deux antibiotiques. Cela est quasi-impossible et n'arrive que dans les cas graves d'immunodéficience, et la plus courante à ce jour, principalement chez les jeunes et chez les célibataires est le SIDA. Mais l'examen se révéla négatif. Marco n'était pas porteur du SIDA. …/… Au CTI, il décéda en quelques heures, son état s'aggravant sans cesse, malgré la prise d'antibiotiques dès les premières heures de son hospitalisation.

R. - Dites-nous en davantage sur son état clinique.

F. - Son état septique empira malgré les antibiotiques. Marco ne présentait aucune amélioration, malgré tous les recours thérapeutiques qui pouvaient lui être administrés dans le moment. C'est alors que son état intrigua tout le monde et que son corps fut ensuite autopsié. Il n'a pas été démontré qu'il souffrait d'une infection urinaire. …/… La culture de ses urines ordonnée par l'hôpital du Bom Pastor, et qui n'était pas encore parvenue, confirma pourtant l'infection. Il souffrait également d'une infection pulmonaire: une légère pneumonie. L'infection urinaire fut, à mon avis, ce qui causa la septicémie, car l'infection pulmonaire était tellement minime qu'elle n'aurait pas pu être responsable de cet état.

R. - Quelle a été la réaction des proches du policier lorsqu'ils apprirent son décès et tout de suite après?

F. - Après quelques jours, les proches de Marco, principalement sa sœur, m'ont appelé et me dirent qu'ils avaient l'interdiction de parler. Ils ajoutèrent que le garçon, quelques jours auparavant, pendant cet événement au cours duquel il se dit que des extraterrestres auraient été vus à Varginha, avait été l'un des militaires ayant participé à la capture de ces extraterrestres. Ils me dirent également que, pendant cette opération, il avait été blessé à l'aisselle gauche - si je ne me trompe pas, à gauche, ou au bras un peu en dessous de l'aisselle - ce qui généra un abcès. Le drainage de l'abcès fut réalisé à l'hôpital Bom Pastor.

R. - Quelle importance a eu cet abcès dans la mort de Marco Eli Chereze?

F. - A l'époque de son hospitalisation, cet abcès était pratiquement guéri, il n'y avait plus d'écoulement et l'abcès n'était plus ouvert. Par la suite, ses proches décidèrent même de lancer un procès contre le médecin qui avait traité cet abcès, disant que ce dernier avait dû commettre une erreur au cours du drainage (ou qu'il l'avait réalisé sans assez de précautions), ce qui aurait pu être la cause des infections. Mais il n'y a rien de vrai dans tout cela car la bactérie trouvée dans l'aisselle lors de l'opération n'était pas la même que celle trouvée dans les reins - celle qui fut responsable de l'infection urinaire - ni dans les poumons. Il s'agissait d'autres bactéries totalement différentes. Celle trouvée dans son bras était un staphylocoque, ce qui est courant dans la peau - n'importe quelle inflammation d'un poil, n'importe quelle petite infection de la peau, n'importe quel petit bouton peut en être responsable. Par ailleurs, le drainage fut correctement exécuté, sans aucun effet secondaire. Mais les proches firent un amalgame avec le fait que les policiers militaires avaient dissimulé la capture de la créature, selon les ordres des supérieurs de cette même police - et, selon la sœur de Marco, également les militaires de l'armée de terre (Exército). Elle me demanda si je savais quelque chose à ce sujet. Je lui répondis que j'en ignorais absolument tout. Antônia me dit qu'elle avait des ordres pour ne pas faire de commentaires à ce sujet. Cependant, elle les faisait avec moi.

R.. - Qu'avez-vous pensé de l'attitude de la sœur de Marco à ce moment-là?

F. - Je n'ai pensé qu'à une seule chose: que la cause du décès de ce garçon - la causa mortis - n'avait pas été éclaircie. Comme je l'ai déjà évoqué, l'infection paraissait relativement simple, et, quelques jours auparavant, le garçon jouissait d'une très bonne santé, celle de quelqu'un qui n'avait jamais eu de passé incluant un traitement difficile ayant pu justifier une immunodéficience antérieure. Cela aurait pu venir d'une immunodéficience congénitale, mais ce n'était pas son cas, sinon il ne serait pas arrivé à l'âge de 23 ans en pleine santé.

R. - L'hypothèse selon laquelle Marco Eli Chereze aurait souffert d'une immunodéficience congénitale et qu'il aurait pu malgré tout réussir à atteindre ses 23 ans avec cette belle santé ne vous paraît pas sérieuse?

F. - Bon, son risque de mourir dans son très jeune âge aurait été bien supérieur. N'importe quelle maladie peut être fatale pour toute personne souffrant d'immunodéficience. Il n'est pas possible de survivre au-delà d'une vingtaine d'années sans contact avec le moindre germe, particulièrement pour quelqu'un souffrant d'immunodéficience de ce type. Nous sommes tous susceptibles d'avoir une infection ou pas. Tout cela dépend de notre propre résistance. Un immunodéficient n'est pas très résistant (devant la maladie - NDT). Donc, assurément, il ne faisait pas partie de cette catégorie, ou il n'était pas immunodéficient lors de sa mort. C'est pour cela que nous pouvons dire avec certitude que son immunodéficience fut acquise. Comment l'a-t-il acquise? Cela personne ne le sait. Je répète que la cause de la mort ne fut pas élucidée car il est clair que ce ne fut pas à cause d'une pneumonie, ni d'une infection urinaire, ni de l'abcès qu'il est décédé. Maintenant, la cause, nous l'ignorons.

R. - Vous avez dit que la famille du jeune homme a poursuivi votre collègue médecin, alléguant qu'il aurait mal procédé au drainage de l'abcès, et vous confirmez que cette opération fut exécutée au sein de l'hôpital du Bom Pastor. C'est bien cela? C'est bien ce médecin qui l'a accueilli au Bom Pastor, qui s'est occupé de son cas dans cet hôpital?

F. - Oui, là-bas au Bom Pastor, avec un dossier bien complet. Je ne sais pas pourquoi le drainage fut exécuté en utilisant la convention entre Marco et le "SUS", alors que cela aurait pu être fait à travers la convention dont il bénéficiait avec la police. Mais ils optèrent pour le "SUS".

R. - On avait cru que le drainage avait été réalisé dans une clinique du cartel.

F. - Ses proches l'ont dit au début. Mais par la suite il a été prouvé qu'ils se trompaient. Ce ne fut pas au cartel car là-bas ils n'avaient pas les possibilités matérielles de procéder à cette opération. Ils n'avaient qu'un service de premiers secours où il aurait pu être reçu en consultation, ou encore être informé par le médecin qu'il avait un abcès et qu'il devait en subir l'ablation, mais dans un hôpital. Il fut sans aucun doute accueilli là-bas, mais seulement pour une consultation, et non pour la chirurgie de son abcès. Marco fut dirigé vers des lieux appropriés pour se faire opérer. C'est sa famille qui a cru comprendre que cela s'était passé au cartel, mais c'était un malentendu.

R. - Il a seulement été accueilli la première fois aux urgences, mais il n'a pas été hospitalisé à l'Hospital Regional à ce moment-là?

F. - Non. Il y a seulement passé une visite. Je ne sais pas pourquoi il a été dirigé sur le Bom Pastor plutôt que de rester au Regional. Peut-être parce qu'il n'y avait plus de place au Regional, ou bien qu'il ne pouvait pas faire valoir sa convention. Mais je ne peux pas vous le dire. Peut-être était-ce à cause de ces deux raisons, car je n'en vois pas d'autres (rires).

R. - Il y a eu plusieurs médecins qui ont suivi le policier Marco Eli Chereze, dont vous. Est-ce que vous avez été le premier?

F. - Non. Le premier a été le docteur Armando. Ensuite le docteur René, et moi, je suis arrivé après. Après ça est venu l'orthopédiste, le docteur Lemos.

R. - Le docteur Armando est cardiologue, le docteur René, cardiologue et généraliste, de plus, il faisait partie du staff de l'hôpital du Bom Pastor à cette époque, le docteur Rogério est orthopédiste, mais vous, pour quelle raison avez-vous été appelé?

F. - En tant que précepteur du séjour là-bas. Un précepteur est une espèce de coordinateur. J'étais précepteur de la radiologie de l'hôpital Bom Pastor à ce moment-là.

R. - Parlons spécifiquement du docteur Rogério Lemos. Pourquoi pensez-vous qu'on l'ait appelé pour s'occuper du policier?

F. - Parce qu'il souffrait beaucoup et que ses douleurs étaient très violentes dans la région de la colonne vertébrale. René et moi avons pensé qu'il nous fallait obtenir le concours d'un orthopédiste afin de lui confier le traitement d'une hernie discale ou d'un quelconque autre problème orthopédique concernant notre patient. Lui (le docteur Rogério Lemos) écarta immédiatement la possibilité d'une affection d'origine orthopédique. Il n'ordonna d'ailleurs aucune médication.

R. - C'est bien le docteur Rogério qui s'est occupé de Marco Eli Chereze au Bom Pastor?

F. - Oui, au Bom Pastor. À l'hôpital Regional, le médecin responsable était le docteur Alberto Severo de Paiva car c'est lui qui était de garde.

R. - Dans l'hémogramme envoyé par le laboratoire des analyses cliniques du Bom Pastor, il est dit à la rubrique observations: "Présence de vacuoles cytoplasmiques. Présence de granules toxiques fines de 8% dans les neutrophiles. Discrète polikilocytose". Comment pouvez-vous, comme médecin, interpréter la présence de 8% de ces granulations toxiques fines dans les neutrophiles?

F. - Elles apparaissent dans les neutrophiles d'une personne qui est victime de l'agression d'une bactérie très virulente. Cela provoque une zone de combat, appelons-la ainsi, qui pourrait arriver à 50 ou à 60%. Le dossier mentionne 8%, parce qu'il se réfère à la première analyse de sang. Et cela démontre déjà qu'il y a infection, ce qui nous a conduit à prescrire deux antibiotiques.

R. - C'est alors, docteur Furtado, que ces granulations toxiques ont alerté le médecin sur la présence d'une infection grave. Sont-elles toujours présentes dans les cas d'infection?

F. - Non, pas systématiquement. Cependant leur présence révèle une infection importante et grave.

R. - Leur présence est très courante ou non?

F. - Non, cela n'est pas courant. Mais, dans les cas graves, c'est très fréquent. Dans toutes les infections les plus graves, vous avez fréquemment la possibilité de les rencontrer en nombre qui varie de 5 à 50% et même plus.

R. - Dans les milieux ufologiques, lorsque quelques enquêteurs liront cette affirmation dans les résultats de l'hémogramme, ils vont interpréter que ces 8% de granulations toxiques étaient des choses inconnues, la présence d'une nouvelle substance ou encore quelque chose d'autre.

F. - Non, rien de tout cela, absolument rien. Comme je l'ai déjà dit, elles n'apparaissent pas dans d'autres infections, mais elles sont fréquentes dans les graves infections.

R. - Docteur Césario, les profanes interprètent les pièces de l'enquête policière, les rapports médicaux et ceux des laboratoires etc… comme si les médecins qui ont suivi le policier Marco Eli Chereze avaient étés indécis dans leurs diagnostics. On dirait qu'ils ignoraient en réalité ce dont celui-ci souffrait, le traitant pour trois ou quatre maux différents.

F. - Lorsqu'il est arrivé à l'hôpital, il avait une douleur qui n'était pas très bien définie, ou qui n'était pas très caractéristique d'une infection urinaire, d'une pneumonie ou d'une hernie discale. Lors de l'apparition de la fièvre, et lorsque nous avons découvert l'altération de son hémogramme, il devint évident qu'il s'agissait d'une infection. Mais où était-elle localisée? Puisque la douleur se situait dans la région lombaire, elle aurait pu provenir des reins ou des poumons. Vingt-quatre heures après son entrée à l'hôpital, Marco était sous traitement pour ces deux infections. Au cours de l'autopsie, le type d'infection fut confirmé. Jusqu'à aujourd'hui, nous n'avons aucune preuve, seulement des hypothèses. Pour le traitement, la partie orthopédique fut abandonnée. Dans ces traitements, lorsque le patient arrive, le diagnostic n'est pas toujours clair. Il y a de nombreuses hypothèses.

R. - L'infection urinaire était alors privilégiée?

F. - Elle prévalait, une infection rénale à la base, en vertu de la présence de la bactérie "entérobactérie". D'ailleurs, lorsque j'ai parlé d'immunodéficience, il est important d'observer que, en moins de 20 jours, trois bactéries ont attaqué le policier. TROIS! Ce qui est une chose très rare dans le monde. Une infection urinaire, de la gorge ou de la peau est une chose normale chez un jeune de 23 ans. Mais TROIS bactéries? L'une d'elles se trouvait dans le bras quelques jours plus tôt, mais guérit. Ensuite vint l'infection urinaire avec cette "entérobactérie" qu'il a également été possible d'éliminer. Mais il y avait aussi une infection pulmonaire, oui, une autre bactérie.

R. - La bactérie du poumon n'était pas importante?

F. - Marco n'avait déjà plus de défenses immunitaires. Dans ce cas, n'importe quelle bactérie peut arriver à prendre possession de la personne. La bactérie présente dans l'aisselle était déjà détruite et avait disparu. A l'époque où il a été hospitalisé, il n'en avait déjà plus de trace, juste une cicatrice.

R. - Serait-il possible que cette bactérie-là l'ait tué?

F. - Non. Parce que c'est une autre bactérie qui a été trouvée. La découverte de celle de l'aisselle en était une et celle de l'infection urinaire en était une autre. La première décelée dans la peau seulement, ce qui est son milieu ambiant normal.

R. - Cette "entérobactérie" peut-elle être acquise par voie cutanée, à travers n'importe quelle lésion?

F. - Non. Ce n'est pas courant. Les entérobactéries sont des bactéries qui vivent dans les appareils digestif et urinaire, et même dans la gorge ou dans le pharynx. Sauf qu'elles restent en équilibre, elles ne causent pas d'infections. Ce n'est que lors d'une faiblesse de l'organisme qu'elles se multiplient et qu'elles passent à l'action.

R. - Pendant tout le temps où vous avez suivi le policier, avez-vous remarqué, aussi bien au Bom Pastor qu'au Regional, la présence d'un quelconque médecin inconnu, de l'extérieur?

F. - Non, je n'ai pas remarqué. Je n'ai pas vu non plus les supérieurs de Marco Eli Chereze, que ce soit de la police ou de l'armée (Exército). Ils ne m'ont pas cherché, même pas pour recueillir la moindre information concernant le garçon, pendant les deux ou trois jours.

R. - Pendant ces jours-là, qui s'est occupé du policier?

F. - Je n'en sais rien parce que, lors de son hospitalisation, je n'ai rencontré personne de la famille. Et comme il se croyait dans un endroit réservé, nous n'avions pas de contacts avec des tiers. Ni avec des militaires.

R. - Vous avez mentionné qu'un membre de sa famille vous avait affirmé qu'il désirait savoir de quoi il était question à propos de sa maladie, puisque le policier avait participé à la capture de quelque chose d'étrange. Ceci vous a été dit avant ou après sa mort?

F. - Quelques jours plus tard, alors que son décès était encore récent. Je ne me rappelle pas très bien, mais sa sœur était terriblement choquée et elle est venue parler avec moi.

R. - La bactérie dont vous faites mention et qui peut être acquise par la peau, peut-elle mortelle?

F. - Elle le peut. Si quelqu'un attrape une pneumonie avec des staphylocoques, ou même une infection urinaire avec des staphylocoques, cette personne peut mourir. Si la personne se trouve immunodéprimée, n'importe quelle bactérie peut la tuer.

R. - Dans l'enquête qui conclut au décès de Marco, il y a la déposition d'un dermatologue. Il évoque une infection sanguine, dans laquelle les globules rouges auraient été attaqués par les globules blancs. Ces 8% de l'examen du sang, ainsi que le dit le dermatologue, auraient pu dénoter une contagion par la peau d'une éventuelle substance toxique qui aurait attaqué ses globules rouges. Que pensez-vous de cela?

F. - Cela n'a rien à voir. Il n'y a pas de relation entre ces éléments. Le rapport dit aussi qu'il aurait pu se passer quelques jours avant que le processus se concrétise, mais lorsqu'il apparaît, il est fulgurant - ceci n'est pas la vérité. Bien au contraire. Si une contagion apparaissait de cette façon par la peau, nous serions décimés de façon fulgurante tous les jours.

R. - Avez-vous réussi à voir le corps?

F. - Non, non, je n'ai pas pu. Ce n'est pas courant. Après le décès, le corps est emmené pour que l'on procède à l'autopsie et il n'y a aucun autre recours. Après le décès de la personne, vous prévenez la famille - et dans le cas en question, ce n'est même pas moi qui en ai été chargé, parce que lorsqu'ils l'ont emmené au CTI, j'ai transféré mes responsabilités à l'autre médecin du CTI.

R. - Au CTI, quel aspect avait-il?

F. - Après l'hôpital du Bom Pastor, l'état de Marco empira avec un manque d'air, une septicémie et une cyanose. Il souffrait également de confusion mentale et sa tension commençait à chuter. Il présentait un état délirant. Mais je n'ai pas remarqué si, lors de l'état qui était le sien à ce moment, il parla de choses notables ou différentes.

R. - La famille pensa à faire procéder à l'exhumation du corps?

F. - Non, pas que je sache. Parce que, malgré le fait que l'immunodéficience n'avait pas été prouvée, ce n'est pas une exhumation qui en aurait apporté la preuve. La "causa mortis" immédiate fut confirmée. Ce qui causa la mort à l'instant où elle est intervenue. Cela dit, ce qui l'a provoquée ne fut pas éclairci. C'est une immunodéficience, certainement. L'attaque de trois bactéries dans un tel espace de temps, en des lieux différents de l'organisme, c'est une chose difficile (emphatique).

R. - Le médecin qui signa le certificat de décès désigne aussi que ce qui a été fatal à cette personne comme sa cause immédiate, non?

F. - Oui. Si le médecin connaît la cause initiale du décès, il la note sur le certificat de décès, mais, dans le cas de Marco, il n'y avait pas le moindre élément permettant de garantir quoi que ce soit. C'est pour cela que la cause du décès ne fut pas inscrite sur le rapport.

R. - A l'époque des événements, dans lequel des établissements travailliez-vous le plus?

F. - Je n'étais pas plus fréquemment dans l'un que dans l'autre. Notre statut supposait que nous fassions des stages au Bom Pastor ou au Regional, en général pour un mois dans l'un et un mois dans l'autre. Je me déplaçais souvent dans les deux institutions.

R. - Vous vous rendiez dans ces hôpitaux pour plusieurs heures ou plusieurs jours?

F. - J'allais tous les matins au Bom Pastor. Au Regional, je n'y ai pas travaillé ce mois de janvier 1996. Mon "contrat" était avec le Bom Pastor, et un autre mois, je me rendais éventuellement au Regional. Déjà à l'hôpital Humanitas, il était convenu avec le médecin d'interner un patient ou non, et je ne me souviens pas s'il y en avait. J'ai été de garde au CTI (urgences) de l'hôpital Humanitas, mais là-bas, il y en a un tous les dix jours. Je n'ai jamais rien vu…

R. - Sans vouloir extrapoler la finalité de cette entrevue, et en restant rivé aux faits, est-ce que vous avez observé un quelconque mouvement différent à cette époque, dans l'un ou l'autre de ces hôpitaux?

F. - J'ai entendu parler de beaucoup de choses, mais je n'ai assisté à aucun mouvement particulier. Mais les rumeurs allaient bon train dans toute la maternité de l'hôpital Regional, et moi je n'y ai jamais travaillé parce que je n'étais pas obstétricien. En plus, la maternité était un peu séparée, et la porte d'entrée et le reste bien à l'écart. A l'hôpital Humanitas, où j'ai aussi travaillé à cette époque, je n'ai rien remarqué. Pas même des commentaires entre les médecins, les infirmières ou les fonctionnaires.

R. - Il est clair que la question suivante n'engage pas votre responsabilité, mais pourriez-vous nous dire, si l'on devait garder un "matériel" comme celui qui concerne le cas Varginha à l'hôpital Regional, où cela se serait-il passé, afin que personne ne soit au courant?

F. - Ecoutez, c'est difficile, parce que dans toutes les chambres comme celles-ci, lorsqu'elles sont fermées, personne ne peut entrer. Il y a des ailes et des chambres qui sont réservées, comme à la maternité.

R. - La maternité du Regional possède-t-elle une aile réservée? Comment cela fonctionne-t-il?

F. - Oui, en bas, il y a un centre d'obstétrique et une aile réservée. Cela sert pour les patients souffrant d'infections et les contagieux, et là seuls n'entrent que les responsables et les infirmiers. Normalement les proches n'y avaient pas accès, mais ils avaient droit aux visites aux heures prévues, dans une salle voisine. L'entrée est la même que celle de l'hôpital. En d'autres époques, les hôpitaux avaient ainsi des locaux d'isolation, mais en 1996, il n'y en avait plus.

R. - Et à l'hôpital Humanitas?

F. - A l'époque, Humanitas n'avait que peu de mouvements et beaucoup de salles sans activité, y compris dans la partie du bas.

R. - Docteur Césario, chaque grand hôpital se doit de posséder une aire réservée, des salles d'isolement, ou quelque chose de ce genre là?

F. - Autrefois, oui. Plus aujourd'hui, excepté dans les hôpitaux pour les maladies infecto-contagieuses. Au CTI de l'hôpital Regional, par exemple, il y a un appartement qui est parfois utilisé pour des cas très spéciaux.

R. - Qu'est-ce qui vous paraîtrait encore intéressant de nous dire sur cet épisode?

F. - Ecoutez, il y a cette histoire rapportée par la famille (note de l'interviewer: à propos de la capture d'un être), que je ne connais pas et dont je ne sais rien. S'il a été fabriqué une histoire autour de cet événement, on ne le sait pas. Mais si nous analysons bien la façon dont les choses se sont passées, nous ne trouvons aucune explication rationnelle quant à la mort du garçon. Aurait-il acquis à travers ce contact, ou par une blessure qu'il aurait eue sur la peau, une chose quelconque qui aurait eu raison de sa résistance de façon foudroyante? Parce que cela a été terriblement rapide, vous comprenez? Je vous garantis qu'aucun abcès ne provoque une immunodéficience. Un abcès peut être la cause d'une septicémie, mais cela ne tue personne. Par ailleurs, n'importe quel antibiotique en vient à bout. Ce ne fut pas le cas. Ce n'est pas la bactérie entrée par le bras qui provoqua l'infection.

R. - A moins qu'il ne se soit agi d'une bactérie totalement inconnue, ce qui est peu vraisemblable?

F. - Oui. Bon, si nous parlons de quelque chose de complètement inconnu, il est évident qu'il serait impossible de se risquer à des conjectures. Il n'y a aucune réponse possible. Maintenant, est-ce que quelque chose aurait pénétré à l'intérieur de son organisme, quelque chose d'inconnu également, qui l'aurait privé de son système immunitaire? Ceci est une autre question sans réponse.

R. - Vous pourriez nous dire quel type de chose serait susceptible de provoquer cela, par exemple?

F. - Je ne sais pas. Cela pourrait être un "poison" injectable, une infection dans la peau blessée, au visage ou au pied. Cela pourrait être une blessure causée par un clou, qui provoquerait le tétanos etc. Mais le tétanos, nous connaissons. Une multitude de choses, pourrais-je dire, et je ne le dis que pour énumérer quelques exemples de ce qui aurait pu contaminer le garçon et le priver de sa résistance immunitaire. Je répète que je dis que cela "POURRAIT ÊTRE".

R. - Vous êtes en train de me dire que la mort de Marco Eli Chereze fut une mort étrange?

F. - Une mort étrange et sans explication rationnelle. Au cours de ma vie professionnelle, j'ai déjà vu deux personnes d'environ 25 ans mourir ainsi d'une infection, mais pour toutes les deux nous étions au courant de leur déficience immunitaire. Et toutes les deux, si je me souviens, avaient subi l'ablation de la rate (splénectomie) par suite d'un accident dans le passé. Après un certain délai, cela cause une immunodéficience. Dans cette situation, la personne peut décéder rapidement si elle se trouve dans les conditions d'une septicémie. Mais, une fois encore, là ce ne fut pas le cas.

Marco Eli Chereze

A.J. Gevaerd

 http://www.ovni.ch/guest/sannazz.htm

Des militaires sud-américains parlent

L'information ci-dessous a été publiée par A.J. Gevaerd, éditeur du magazine brésilien UFO Magazine. Il allait organiser un grand événement d'ufologie au Brésil qui, promet-il serait le important jamais organisé.

Une grande conférence OVNI au Brésil:

Au moins une soirée entière sera cinsacrée au cas de Varginha.

14 avril 1997 - Les chercheurs Brésiliens organisent la plus grande conférence ayant jamais eu lieu sur les OVNIS: "The First World UFO Forum". - par A.J. Gevaerd

Du 7 au 14 Décembre [1997], à Brasilia, la capitale fédérale du Brésil accueillera la plus grande conférence sur les OVNIS jamais organisée dans le monde jusqu'ici. Une coalition de six chercheurs Brésiliens en ufologie a reçue la mission par une grande organisation non gouvernementale appelée "Legiao da Boa Vontade" d'organiser la conférence et pour inviter autant d'orateurs internationaux que possible. Jusqu'ici, la liste des invités comporte 52 chercheurs parmi les plus avancés dans le domaine des OVNIS de partout dans le monde et plus de 30 conférenciers Brésiliens.

La coalition des chercheurs contractés pour accueillir la conférence est composée de Claudeir Covo, de l'Institut National des investigations des phénomènes aérospatiaux (INFA); Rafaël Cury, du Noyau de Recherches OVNIS (NPU); Reginaldo de Athayde, du Centre de recherches d'Ufological (unité centrale de traitement); Marco Antonio Petit, de l'association de recherches OVNIS de Fluminense (AFEU); et Ubirajara Rodrigues et A.J. Gevaerd, tous les deux du Centre Brésilien pour la Recherche sur les Soucoupes Volantes (CBPDV), le plus grand groupe d'ufologie dans le pays.

La conférence se tiendra en 8 jours (de 08:00 à 23:00, quotidiennement), elle est intitulée "le premier forum ufologique au monde" et son objectif principal est de favoriser un sommet des meilleurs chercheurs en ufologie de toutes les parties de la planète. Ces personnes seront invitées à préparer un document couvrant la plupart des aspects des visites d'OVNIS et des contacts étrangers, qui sera remis aux autorités principales de plusieurs pays, CERTAINS D'ENTRE EUX SERONT PRÉSENTS AU FORUM.

Brasilia a été choisi pour accueillir le forum parce qu'elle est considéré comme la ville centrale au Brésil pour la discussion des phénomènes OVNIS. De nombreux Brésilien et d'autres représentants civils et militaires sud-américains seront invités à assister aux discussions. Les représentants d'autres organismes non gouvernementaux, de la communauté scientifique et d'associations sont également dans la liste de parties invitées. Les Brésiliens essayent certainement d'organiser le plus grand événement relatif aux OVNIS et la seule publication dans le pays -- le magazine brésilien UFO Magazine -- se dévoue pour organiser le forum aussi intensivement que possible.

La liste des orateurs internationaux qui seront invités:

    * Antonio Las Heras (Argentina)
    * Barry Chamish (Israel)
    * Bob Brown (USA)
    * Budd Hopkins (USA)
    * Colin Andrews (England)
    * Cynthia Hind (Zimbabwe)
    * Darush Bagheri (Iran)
    * Derrel Sims (USA)
    * Donald Ware (USA)
    * Edgar Mitchell (USA)
    * G.C. Schellhorn (USA)
    * Gabor Tarcali (Hungary)
    * Glennys Mackay (Australia)
    * Graham Birdsall (England)
    * Jaime Maussan (Mexico)
    * Jaime Rodriguez (Ecuador)
    * James Hurtak (USA)
    * Javier Cabrera Darquea (Peru)
    * Javier Sierra (Spain)
    * Jerome Clark (USA)
    * Jesse Marcel Junior (USA)
    * Joaquim Fernandes (Portugal)
    * John Carpenter (USA)
    * John Mack (USA)
    * Johsen Takano (Japan)
    * Jorge Alfonso Ramirez (Paraguay)
    * Jorge Martin (Puerto Rico)
    * Leo Sprinkle (USA)
    * Leonard Nimoy ["Dr.Spock"] (USA)
    * Linda Howe (USA)
    * Mario Dussuel (Chile)
    * Mark Carlotto (USA)
    * Mauricio Baiata (Italy)
    * Michael Hesemann (Germany)
    * Per Andersen (Denmark)
    * Richard Hoagland (USA)
    * Robert Bauval (England)
    * Robert Dean (USA)
    * Roberto Banchs (Argentina)
    * Roberto Pinotti (Italy)
    * Rodrigo Fuenzalida (Chile)
    * Ryszard Fiejtek (Poland)
    * S.O. Svensson (Sweden)
    * Stanton T. Friedman (Canada)
    * Sun-Shi Li (China)
    * Timo Koskeniemmi (Finland)
    * Tony Dodd (England)
    * Vicente-Juan Ballester Olmos (Spain)
    * Walter Andrus (USA)
    * Wendelle Stevens (USA)
    * Yuri Guerassimov (Russia)
    * Yves Bosson (France)
    * Yvonne Smith (USA)

Selon le comité d'organisation du premier forum OVNI du monde UFO, chaque orateur international et local sera invité à parler plus qu'une heure sur un sujet spécifique dans sa spécialité, afin de couvrir la plupart des aspects de l'ufologie moderne de A à Z. Le Forum inclura des tables rondes et des séries d'activités pour porter la discussion sur les OVNIS à un niveau élevé. On s'attend à ce que quelques personnalités du show-biz en relation avec le phénomène OVNI soient invitées aussi (N.d.T il s'agit de Steven Spielberg notament qui serait censément interressé à produire un film sur l'affaire de Varginha. Rien n'en a été fait).

Pendant au moins une nuit entière les chercheurs brésiliens présenteront une description complète, détaillée et mise à jour du cas de Varginha aux conférenciers internationaux et à l'assistances. On pense que le cas est un des événements le plus intensivement étudié impliquant l'accident d'un vaisseau spatial, qui s'est produit le 20 janvier, 1996. Jusqu'ici on sait qu'au moins 2 créatures étrangères ont été capturées par l'armée brésilienne ainsi que par le Département du Feu de Varginha dans cet incident.

On s'attend à ce que 1,5 à 2,5 mille personnes participent à ce premier forum, qui se déroulera entièrement dans les multiples amphitheatres du "Legiao da Boa Vontade" à Brasilia. Tous ceux intéressés à participer à la conférence sont invités à écrire à l'adresse ci dessous.

      A.J. Gevaerd, international coordinator
      First World UFO Forum
      c/o Brazilian UFO Magazine
      P.O. Box 2182, CEP 79008-970,
      Campo Grande, MS, Brazil

      Phone : +55 (67) - 724-6700
      Fax : +55 (67) - 724-6707
      gevaerd@alanet.com.br

http://www.ufologie.net/htm/vargrep3f.htm

Risquer sa vie pour enquêter sur le cas:

Beaucoup de gens qui ne croiaient rien du tout au sujet des OVNIS ont commencé - pour le moins - à suspecter que quelque chose ne va pas après que le cas ait été largement publié. Tout devient très controversé. Nous savons, par exemple, qu'après que nous ayons fait cette conférence de presse mentionnant les noms des militaires impliqués dans le cas, les officiers militaires étaient déjà parvenus de Brasília à Varginha. Personne n'avait jamais imaginé que les choses atteindraient ce point. Même dans les forces armées il y avait une grande alarme. Les officiers étaient hors d'eux et voulaient savoir qui a diffusé l'information qui ne devait pas être diffusée. Un de nos témoins n'a plus voulu nous parler à nouveau, parce qu'avait peur d'être "éliminé".

(...) Nos lignes téléphoniques et les lignes d'autres ufologues brésiliens sont enregistrées. Nous en avons reçu une confirmation récente, d'une source que nous gardons secrête. Nous avons peur que quelque chose nous arrive. (...)

Il est très probable que la ligne téléphonique de CBPDV [centre brésilien pour la recherches sur les soucoupes volantes, qui édite "Revista UFO"] soit également enregistrée, parce que chacun sait que l'information ufologique converge toujours vers ce magazine. (...) Les ufologues réalisent seulement maintenant le sérieux de tout ceci. Nous avons toujours condamné a dissimulation mondiale sur les OVNIS, et les manipulateurs du cas de Roswell, mais nous n'avions jamais fait face auparavant aux autorités constituées, Nationales et proches de nous.

http://ufologie.net/htm/vargrep6f.htm

OPÉRATION SECRÈTE
 
(...) Je sais que je ne mens pas au sujet de ce cas, je suis absolument sûr de ce que je dis et la vérité doit être dite. Il n'y a pas dans la constitution Brésilienne un seul article qui interdit la recherche ufologique et c'est assez de raisons pour que nous continuions. (...)

S'il y a la possibilité pour nous d'être assis sur une véritable bombe, que diriez-vous du futur de la recherche ufologique, qui a lutté contre ce secret pendant plus de 50 années? (...) Tout a été toujours fait dans le secret absolu. Cependant, à notre chance, cette fois l'information a fui au dehors. Nous savons que la situation ici est très délicate, mais ce n'est pas ce qui arrêtera nos recherches.
 
Un témoin se voit offrir de l'argent pour démentir l'histoire

A.J.Gevaerd, Editeur: Mme Luisa Helena da Silva est la mère de Liliane et de Valquiria. Le 29 Avril 1996, à environ 10 heure du soir, quatre hommes bien habillés se sont rendus à son domicile en vue de la suborner, avec de l'argent et des marchandises, si leurs filles nient l'histoire entière, revenant sur leur compte rendu précédent. [...]
 
Luisa Helena da Silva: "Je ne sait pas qui sont ces personnes qui ont essayé de m

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